vendredi 19 septembre 2008

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L’actualité Santé du 19/09/ 08


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Chine: retrait massif des produits laitiers des rayons des supermarchés.


La découverte de mélamine dans le lait classique a provoqué une psychose vendredi en Chine avec le retrait massif de produits laitiers des rayons des magasins, ainsi que la colère de nombreux consommateurs.

Yili, Mengniu et Guangming, trois grandes marques chinoises bénéficiant jusqu'à présent de la confiance du public, ont dû rappeler une partie de leurs produits après que les autorités eurent découvert dans certains de leurs lots des traces de ce produit chimique utilisé pour la fabrication de plastique.

"Tous les produits qui ont des problèmes ont été retirés de nos magasins", a indiqué à l'AFP Mme Zhao, une responsable de Jian-Mart, une chaîne de supermarchés chinoise.

A Hong Kong, l'ancienne colonie britannique qui est repassée sous le giron chinois en 1997, les deux principales chaînes de supermarchés ont décidé vendredi de retirer de leurs rayons tous les produits de Mengniu.

"Nous suivons de près la situation en Chine. Nous agissons de notre propre initiative, la sécurité du public étant notre priorité", a dit à l'AFP une porte-parole de Wellcome, l'une des deux chaînes avec Park'n Shop à avoir décidé le retrait de la marque.

Vendredi, l'Administration chinoise en charge du contrôle de qualité a fait état des résultats d'une enquête nationale, montrant que 24 des 295 lots contrôlés provenant des trois sociétés avaient été contaminés.

"Les producteurs doivent rappeler leurs produits lorsque de la mélamine est découverte", indique l'Administration sur son site internet.

Cette enquête avait été lancée après la découverte de mélamine dans du lait maternisé, un scandale de sécurité alimentaire qui a provoqué le décès d'au moins quatre enfants et rendu malade plus de 6.200.

L'adjonction de cette substance chimique, une pratique illégale, est destinée à faire apparaître le taux en protéine du lait plus élevé.

Les trois sociétés mises en cause n'étaient pas joignables vendredi.

Certains distributeurs se sont plaints vendredi des pertes occasionnées.

"Normalement nous pouvons vendre quotidiennement pour 53.000 yuans (plus de 5.000 euros) de produits laitiers, mais aujourd'hui nous avons fait moins de 10.000 yuans", a témoigné Wang Feiqi, responsable d'un magasin de la chaîne Wu-Mart.

"Cela durera au moins une semaine ou deux, les consommateurs n'achèteront plus ces produits tant qu'ils n'auront pas atteint les normes nationales", a-t-il ajouté.

Reflétant la colère d'une partie de la population, Cathy Wang, une vendeuse de bijoux de Pékin, réclame une action forte du gouvernement.

"Les criminels méritent la mort et il devrait y avoir un procès public", lance cette femme de 46 ans. "Et les autorités de supervision aussi devraient être sévèrement punies pour avoir négligé leurs responsabilités", poursuit-elle, en sirotant une tasse de thé dans un café Starbucks privé de lait et de cappucinos depuis le matin.

Des écoles internationales de Pékin, comme le lycée français ou l'école suédoise, ont informé les parents qu'elles retiraient les produits laitiers de leurs menus.

Dans un supermarché de la ville, Cui Hongchun, 36 ans, explique qu'il était un acheteur régulier d'une des marques de lait mises en cause, pour son fils de huit ans.

"Je suis inquiet, car je l'achetais spécialement en raison de son taux élevé de protéine, je les poursuivrai en justice si mon fils a des problèmes de santé", affirme-t-il.

Les autorités ont annoncé à ce jour l'arrestation de 18 personnes pour leur implication dans le scandale du lait en poudre frelaté.

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L’actualité Santé du 19/09/ 08


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


L'OMS part en guerre contre la "cigarette électronique"


Elle vient de Chine, ne dégage pas de fumée mais peut être "très toxique": la "cigarette électronique" ne vous veut pas du bien, a averti vendredi l'Organisation mondiale de la santé (OMS), furieuse de voir son logo utilisé pour la promotion de cet artefact censé servir au sevrage tabagique.

Inventée en 2004 par une société chinoise basée à Hong Kong, la "cigarette électronique" ne contient ni goudron ni CO2. Elle ne dégage pas de fumée mais une vapeur chargée de nicotine et d'essences aromatiques inhalée par l'utilisateur.

La "cigarette électronique" se présente sous la forme d'un tube blanc contenant une pile et ressemble à une véritable cigarette. Lorsque le "fumeur" aspire, une cartouche insérée dans le tube libère sans combustion la nicotine qu'elle contient, tandis qu'une petite lampe rouge s'allume au bout de la "cigarette" pour mimer la braise incandescente.

"Un certain nombre d'additifs présents dans le produit peuvent être très toxiques", a averti devant la presse le Dr Douglas Bettcher, directeur de la campagne anti-tabac de l'OMS.

Aucune étude scientifique toxicologique ou clinique rigoureuse n'a été menée à ce jour, et "tant que cela n'a pas été fait l'inocuité et l'efficacité du produit ne peut être garantie", a-t-il encore mis en garde.

En France, la Direction générale de la santé (DGS) et l'Agence du médicament ont relevé que "les cigarettes électroniques peuvent contenir des substances chimiques", telles que du propylène glycol, un solvant au pouvoir irritant, ou des dérivés terpéniques, qui "pourraient avoir une incidence" en cas d'antécédents d'épilepsie.

L'Organisation mondiale de la santé est particulièrement en colère parce que "des fabricants de la +cigarette électronique+ dans le monde entier ont utilisé le nom et le logo de l'OMS sur des sites internet, sur des emballages ou dans des publicités" pour présenter leur produit comme une aide au sevrage tabagique.

"Il est 100% faux de prétendre que la cigarette électronique est une thérapie pour arrêter de fumer", a tempêté le Dr Bettcher. Les aides éprouvées au sevrage tabagique -patches, chewing-gums ou aérosols- ont été strictement testées et sont prescrites sous surveillance médicale, a-t-il souligné.

"Si les vendeurs de +cigarette électronique+ veulent aider les fumeurs à cesser de fumer, alors ils doivent mener des études cliniques et des analyses de toxicité, et se plier au cadre réglementaire", a expliqué le Dr Bettcher.

L'OMS a envoyé aux fabricants des lettres pour exiger le retrait "immédiat" de son nom ou de son logo de tous leurs matériels promotionnels, a annoncé le Dr Bettcher en ajoutant que l'organisation se réserve le droit d'engager des poursuites judiciaires.

La "cigarette électronique", largement commercialisée sur internet, est vendue en Chine et dans de nombreux pays à travers le monde, notamment au Brésil, au Canada, en Finlande, en Israël, au Liban, aux Pays-Bas, en Suède et en Grande Bretagne. Seules les autorités sanitaires turques "ont pris acte de l'absence de test scientifique approprié et en ont suspendu la vente", a indiqué le responsable de l'OMS.

Les cartouches contenant la nicotine à des concentrations variables échappent aux taxes habituellement imposées par les Etats aux produits tabagiques, selon le Dr Bettcher.

Bien loin d'être un outil de lutte contre le tabagisme, la "cigarette électronique" peut être utilisée par les fumeurs dépendants pour contourner l'interdiction de fumer dans les bars, restaurants et autres lieux publics, craint enfin le chef de la campagne anti-tabac de l'OMS.

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Pauvreté: 500.000 femmes par an meurent de complications à l'accouchement.


Le Fonds des Nations unies pour l'enfance (Unicef) a demandé vendredi des politiques plus actives en matière de mortalité maternelle, rappelant qu'un demi-million de femmes meurent chaque année de complications pendant leur grossesse ou à l'accouchement.

"Au niveau mondial, plus de 500.000 femmes meurent tous les ans à cause de complications liées à la grossesse et à l'accouchement", a noté l'Unicef dans un rapport intitulé "Progrès pour les enfants", basé sur des études menées entre 2005 et 2007. En outre, 10 millions de femmes souffrent toute la vie de problèmes de santé provoqués par des accouchements difficiles.

Plus de 99% des décès liés à la maternité se produisent dans les pays en voie de développement, dont 84% en Asie du Sud et en Afrique sub-saharienne, selon l'Unicef.

Dans les pays en développement, le risque de mourir de complications pendant la grossesse ou à l'accouchement est d'un cas sur 17, contre une proportion d'un sur 8.000 dans le monde industrialisé. L'un des endroits les plus risqués de la planète pour accoucher est le Niger avec une proportion d'un décès sur sept.

Pour chaque femme décédant en couches ou pendant la gestation, 20 autres porteront des séquelles pendant le reste de leur vie, comme des fistules qui endommagent les organes reproducteurs ou des anémies graves, selon l'Unicef qui souligne que la mortalité maternelle n'est "que la pointe de l'iceberg".

La plupart des décès pourraient être évités en améliorant la qualité des soins avant et après la naissance, avec des mesures de planning familial et des tests de détection du sida, souligne l'Unicef.

Pour Peter Salama, chef du secteur santé de l'organisation, le problème n'est pas dissociable de la place accordée aux femmes dans la société.

"Il n'y a aucun doute sur les facteurs liés aux droits des femmes dans leur pays. Que l'on parle d'enfantement précoce, de mutilations génitales, d'attitudes vis-à-vis de la sexualité, tous ces éléments ont un impact sur la santé des femmes", a-t-il dit.

Il a estimé que les questions de la mortalité des mères et de celle des enfants "ne bénéficient pas de l'attention qu'elles méritent compte tenu de l'ampleur du problème".

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Des scientifiques en guerre contre des produits cosmétiques pour bébés.


Des scientifiques --médecins, chimistes, cancérologues-- ou directeurs d'établissements de santé sont partis en guerre contre les trousses de naissance distribuées aux mamans dans les maternités, qui contiennent selon eux un véritable "cocktail toxique".

Les mallettes --comme "la boîte rose", distribuée depuis 50 ans ou "Baby trouss"-- contiennent toute une gamme de produits : crème, gel lavant, eau minérale, lingettes, couches...

"On a de fortes présomptions pour nombre de ces produits" et "on n'arrive pas à avoir la preuve de leur innocuité", a souligné devant la presse Olivier Toma, président du Comité pour le développement durable en santé (C2DS) et directeur de clinique.

Selon André Cicolella, chimiste toxicologue, ils contiennent très souvent des parabens, des conservateurs dont certains interfèrent avec le système hormonal.

On y trouve aussi de l'EDTA -acide éthylène diamine tétraacétique-, un stabilisateur de produits qui peut être reprotoxique, ou du bisphénol A, classé au Canada comme substance toxique. Du phénoxyéthanol, qui favorise l'absorption du produit par la peau, pourrait être dangereux pour le système nerveux et le sang. Quant au BHT, il serait suspecté d'être cancérogène, de même que l'aspartame.

Enfin l'eau minérale de la mallette est particulièrement chargée en nitrates, selon le Comité.

Pour le Pr Dominique Belpomme, cancérologue, "des doses très faibles de perturbateurs endocriniens peuvent induire des cancers du sein ou de la prostate 30 ans après". Il a fait valoir aussi que la pénétration par voie cutanée était "celle qui (permettait) la plus grande perturbation de l'organisme" comparativement aux voies respiratoire ou alimentaire, car "la peau ne sait pas détoxifier".

"Il s'agit d'une situation absolument inacceptable au niveau de la santé publique", a-t-il estimé.

"Nous sommes confrontés à une épidémie de cancers" dont un certain nombre ont leurs origines "dès la gestation", a souligné M. Cicolella, évoquant une hausse des cancers des enfants de 1% par an en Europe. "Il faut agir sur les éléments susceptibles de favoriser cette épidémie".

Il a regretté la "carence réglementaire" existant en France pour les cosmétiques, accusant les agences sanitaires, et notamment l'Afssaps (agence de sécurité sanitaire des produits de santé), qui ne propose que des recommandations "non contraignantes" en matière de cosmétiques, de "ne pas remplir leur mission".

"La politique qui consiste à ne pas parler des résultats qui gênent n'est pas acceptable en matière de santé publique", a-t-il dit.

"Les produits cosmétiques pour enfants sont strictement contrôlés", assure pour sa part dans un communiqué la Fédération des entreprises de la beauté (Febea), et l'Afssaps peut en cas de doute "ordonner qu'ils soient immédiatement retirés du marché".

Les laboratoires Expansciences, fabricants des produits Mustela, ont quant à eux affirmé jeudi n'utiliser dans leurs cosmétiques pour bébés "que des ingrédients qui sont autorisés et dans les conditions d'autorisation".

Scientifiques et médecins ont noté que même si les industriels assurent respecter les seuils autorisés, le problème est "la répétition des doses" et la durée d'exposition.

Tous ont défendu l'application du principe de précaution et l'arrêt de distribution des mallettes par les maternités ou les cliniques. Ils ont demandé aussi aux autorités de santé de soumettre les produits cosmétiques -dont 80% seraient issus de la pétrochimie- à une Autorisation de mise sur le marché (AMM), comme les médicaments.

Le C2DS a commencé depuis un mois à faire campagne auprès des directeurs d'établissements pour qu'ils refusent ces boîtes, et des industriels pour qu'ils en modifient le contenu. A ce jour, une vingtaine de maternités -sur 600- ne distribuent plus les trousses de naissance.