jeudi 6 décembre 2007

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Les WC !! SVP !!


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~ une petite info santé!!!~

L’actualité Santé du 06/12//07 17h25


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Des millions d'enfants meurent chaque année faute de médicaments adaptés .


Des millions d'enfants meurent chaque année de maladies pourtant faciles à soigner parce qu'ils n'ont pas accès à des médicaments sûrs, efficaces et d'un coût abordable, a dénoncé jeudi l'Organisation mondiale de la santé (OMS).

Près des deux tiers des dix millions d'enfants de moins de cinq ans décédés en 2007 auraient pu être sauvés, a souligné l'OMS.

"Les enfants ne métabolisent pas les médicaments comme les adultes. Ils ont donc besoin de formes (de dosages) différents", a relevé l'OMS dans un communiqué.

"Les médicaments adaptés aux enfants sont fabriqués pour convenir à l'âge, à l'état général et au poids corporel de l'enfant à qui ils sont administrés", a-t-il ajouté.

L'OMS publie jeudi pour la première fois une liste de 206 médicaments essentiels destinés aux enfants, visant les infections prioritaires.

Il y a un important besoin de recherche pour les médicaments réservés aux enfants, de même qu'un meilleur accès aux produits à usage pédiatrique, a indiqué Hans Hogerzeil, directeur du département politique et normes pharmaceutiques à l'OMS.

Le problème est particulièrement aigu dans les pays en développement où des enfants sains risquent encore mourir de maladies qui peuvent facilement être traitées comme la diarrhée, a expliqué devant la presse le vice-directeur général de l'OMS Howard Zucker.

"Dans les pays en développement, vous avez des millions d'enfants qui meurent de quelque chose d'aussi simple que la diarrhée et la déshydratation, et il s'agit d'une situation terrible que nous devrions sûrement pouvoir inverser", a-t-il déclaré.

La diarrhée peut être facilement traitée par une réhydratation avec absorption par voie orale de sels et de zinc, mais les entreprises pharmaceutiques n'ont que peu intérêt à fabriquer ces produits dont la demande est faible dans les pays développés, a expliqué M. Zucker.

Howard Zucker a appelé les entreprises pharmaceutiques, les gouvernements et les autorités médicales à prêter davantage d'attention à ce problème, qui constitue un cas où il faut réfléchir à un modèle marketing différent.

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L’actualité Santé du 06/12//07 17h20


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Prothèses, fauteuils roulants: un coût de 4,2 millards d'euros 2006 pour la Sécu.


Les dispositifs médicaux, qui regroupent l'ensemble des produits de santé sauf les médicaments, ont représenté en 2006 un coût de 4,2 milliards d'euros pour la Sécurité sociale, a annoncé jeudi la Caisse nationale d'assurance maladie (Cnam).

Il existe près de 3.000 "dispositifs médicaux" différents, allant des pansements aux fauteuils roulants, en passant par les lits médicaux, les prothèses, bas de contention ou encore les bandelettes de test glycémique pour les diabétiques.

"En 2006, les dépenses liées à ces dispositifs se sont élevées à 4,2 milliards d'euros" pour l'ensemble des régimes d'assurance maladie (salariés, agriculteurs, professions libérales), a indiqué le directeur de la Cnam, Frédéric van Roekegem, au cours d'une conférence de presse.

Pour le seul régime général des salariés, le coût a atteint 3,5 milliards d'euros. "En six ans, ces dépenses ont augmenté de 1,4 milliard d'euros", a relevé la responsable des produits de santé à la Cnam, Monique Weber.

Les prescriptions de dispositifs médicaux, qui ont concerné 12 millions d'assurés en 2006, en particulier des personnes âgées, "émanent à 63% des médecins généralistes", a-t-elle précisé.

Cette hausse est en grande partie liée, selon la Cnam, au développement du maintien à domicile des patients, dont les séjours à l'hôpital sont de plus en plus brefs.

"Plus de 50% des dépenses concernent les matériels de maintien à domicile, qui sont passés de 800 millions d'euros en 2000 à 1,6 milliard en 2006", a poursuivi Mme Weber.

Près de 35% des dépenses, soit 1,4 milliard d'euros, se partagent à part égale entre les dispositifs liés à un handicap (prothèses, optique, audioprothèses) et les "produits implantables" comme les prothèses de hanche ou les valves cardiaques.

Les outils d'auto-traitement du diabète (lecteurs de glycémie, seringue etc.) ont pour leur part entraîné 384 millions d'euros de dépenses, selon la Cnam qui déplore l'absence de bandelettes "génériques", dont le coût serait moins élevé que le coût actuel, 40 centimes d'euros l'unité.

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L’actualité Santé du 06/12//07 17h15


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Sécu: 206 millions d'euros d'économies en deux ans en luttant contre les fraudes .


La lutte contre les fraudes et abus a permis à la Caisse nationale d'assurance maladie d'économiser 206 millions d'euros en 2006 et 2007, selon un bilan présenté jeudi par la Cnam, qui rappelle toutefois que le risque de fraude est évalué à seulement 1% des dépenses d'assurance maladie.

"Le programme de lutte contre les fraudes initié depuis 2005 a permis d'obtenir des résultats substantiels", a commenté le directeur de la Cnam, Frédéric van Roekeghem, au cours d'une conférence de presse.

Il a chiffré à 206 millions d'euros les économies réalisées en 2006 et 2007 grâce notamment à des contrôles ciblés sur les arrêts de travail injustifiés, la tarification appliquée dans les établissements de santé ou encore les opérations de chirurgie esthétique.

Concernant les arrêts de travail, l'assurance maladie, qui contrôle désormais les arrêts longue durée au 45e jour, contre le 60e auparavant, estime à environ 34 millions d'euros les économies réalisées depuis deux ans.

Le contrôle de la tarification à l'activité des établissements a pour sa part permis d'engranger quelque 70,7 millions d'euros. Celui des opérations de chirurgie esthétique a dégagé 13,7 millions d'euros.

Le montant de ces fraudes, des actions engagées "avec l'intention de nuire" et qui doivent être différenciées des abus et gaspillages, doit toutefois être relativisé. Le déficit de l'assurance maladie devrait ainsi s'élever à 6,2 milliards d'euros.

"L'ordre de grandeur du risque de fraude organisée est évalué à environ 1%" des dépenses d'assurance maladie, a relevé M. van Roekeghem.

La Cnam va poursuivre en 2008 ce programme de lutte, en y ajoutant des contrôles renforcés en matière de transports sanitaires, de facturation des établissements pour personnes âgées et des laboratoires d'analyse.

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L’actualité Santé du 06/12//07 7h55


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Deux soeurs siamoises du Nigeria séparées avec succès en Allemagne.

Deux fillettes siamoises du Nigeria ont été séparées avec succès lors d'une opération en Allemagne il y a deux semaines, a annoncé mardi la clinique pédiatrique de l'Université de Munich (sud), où a eu lieu l'opération.

Mercy et Goodness, âgées d'un peu moins de deux ans, étaient unies par le ventre.

"Elles vont bien. L'opération a eu lieu exactement comme prévu, sans aucune complication" et "elles pourront vraisemblablement mener une vie tout à fait normale", a déclaré le directeur de la clinique, Dietrich von Schweinitz.

Six chirurgiens et deux équipes d'anesthésistes ont été mobilisés pendant quatre heures et demie pour cette opération qui a eu lieu le 21 novembre mais n'a été annoncée que mardi.

Une chance pour les deux petites filles : "leurs organes s'étaient développés en double dans le ventre de leur mère. Elles ne partageaient que le foie", ce qui a simplifié les travaux de chirurgie, a souligné la clinique.

"Toute l'action a été maintenue secrète afin de laisser les médecins travailler en paix et leur ôter toute pression extérieure", a précisé la clinique dans un communiqué.

Les deux fillettes avaient été repérées et prises en charge au Nigeria par les Soeurs de la Croix Rouge allemande (DRK-Schwesternschaft), qui ont organisé leur voyage jusqu'en Allemagne grâce à des dons. La compagnie aérienne allemande Lufthansa a pris en charge tous les frais de transport.

Elles vont rester "encore quelque temps à Munich, le temps que les cicatrisations se fassent" et que les enfants "reprennent des forces", a indiqué le Dr von Schweinitz. "L'une est plus robuste que l'autre, mais ce sont des enfants tout à fait normales", a-t-il souligné.

La clinique pédiatrique de Munich affirme être l'établissement médical d'Allemagne le plus expérimenté dans ce domaine. Elle a réalisé au cours des cinq dernières décennies treize opérations de séparation d'enfants siamois, dont onze ont réussi, selon son communiqué.

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L’actualité Santé du 06/12//07 7h45


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Appel urgent au don de sang, situation alarmante des stocks en France .


L'Etablissement Français du Sang (EFS) lance mardi "un appel urgent au don" de sang en évoquant la "situation alarmante" des stocks sanguins.

"A ce jour, le stock de produits sanguins n'est pas suffisant pour faire face au risque de pénurie qui s'annonce à l'approche des fêtes de fin d'anneé", avertit l'EFS qui dispose de seulement "10 jours de stocks en globules rouges".

Les besoins des malades continuent à augmenter (+5% en 2007) alors que le don ne progresse pas dans les mêmes proportions. Chacun doit donc être convaincu qu'il y a urgence à venir donner.

Quelques jours après avoir constaté une baisse de fréquentation des sites de collectes à la suite des perturbations liées aux mouvements sociaux, l'EFS signale ainsi "un niveau de stocks de produits sanguins très préoccupant dans de nombreuses régions françaises, notamment en Ile de France et PACA".

"Afin de répondre aux besoins croissants des malades, il appelle les donneurs et ceux qui n'ont encore jamais donné à se mobiliser massivement dans les jours à venir".

Chaque année en France, 500.000 malades ont besoin de produits sanguins, principalement utilisés pour des interventions chirurgicales, le traitement des maladies hématologiques et des cancers ou encore lors des accouchements.

Mais la consommation en produits sanguins augmente de façon continue. "Auparavant épisodiques, les périodes de tension concernant le niveau de stocks de sang sont de plus en plus fréquentes", constate l'EFS.

"Cette situation difficile s'explique principalement par un déséquilibre croissant entre une demande en produits sanguins en forte augmentation (estimation de + 5% entre 2006 et 2007) et des dons qui stagnent (seuls 4% des Français ont donné leur sang en 2006, soit environ 1,5 million de personnes)", explique l'EFS.

Tous les jours en France, de l'ordre de 8.800 dons sont nécessaires, estime-t-il.

Pour donner son sang, il faut avoir de 18 à 65 ans (60 ans pour un 1er don), être en bonne santé et ne pas avoir été dans une situation à risques (voyages dans certains pays étrangers, rapports sexuels non protégés...) au cours des mois précédant le don.

S'abstenir, si l'on a subi un tatouage ou un tatouage pierçing il y a moins de 4 mois, une intervention chirurgicale ou des soins dentaires récemment, si l'on pèse moins de 50 kg, si l'on a déjà subi une transfusion ou souffert du paludisme.

Les personnes ayant vécu au moins 12 mois dans les îles britanniques entre 1980 et 1996, période de la crise de la "vache folle", sont exclues du don en France comme dans d'autres pays.

Les contre-indications au don sont précisées sur le site internet : www.dondusang.net/faq.htm.

Pour savoir où donner : www.dondusang.net - rubrique "Où donner?". On peut également téléphoner au numéro Azur : 0 810 150 150 (coût d'un appel local depuis un poste fixe).

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L’actualité Santé du 06/12//07 7h45


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


La forme cardiorespiratoire clé de la longévité plus que le poids .


Les personnes de plus de 60 ans qui font de l'exercice et sont en bonne forme physique vivent nettement plus longtemps que celles qui sont sédentaires et ce indépendamment de l'indice de masse corporelle, selon une étude publiée mardi aux Etats-Unis.

Des recherches précédentes avaient montré que l'obésité et l'inactivité physique accroissent le risque de mortalité chez les adultes d'âge moyen. Mais aucune étude ne l'avait attesté pour les personnes plus âgées.

"Nous avons observé que des personnes obèses plus âgées mais en bonne forme cardiorespiratoire avaient un risque de mortalité, quelqu'en soit la cause, plus bas que celles ayant un poids normal" mais n'étant pas en bonne forme physique, écrit le Dr Xuemei Sui de l'université de Caroline du Sud, principal auteur de cette étude parue dans le Journal of the American Medical Association (JAMA).

"Nos données laissent penser que le niveau de forme cardiorespiratoire chez les plus de 60 ans modifie le rapport entre obésité et mortalité", ajoute-t-il.

Les chercheurs ont analysé le lien entre le taux de mortalité et la forme cardio-respiratoire ainsi qu'avec différentes mesures cliniques d'adiposité.

Cette recherche a porté sur 2.603 adultes de 60 ans et plus (âge moyen de 64,4 ans), dont 20% de femmes et 80% d'hommes.

Le degré de forme physique a été évalué en fonction de la durée et de l'intensité d'exercices réalisés sur un tapis roulant tandis que l'adiposité a été mesurée par rapport à l'indice de masse corporelle (IMC).

Les auteurs de l'étude ont dénombré 450 décès dans ce groupe durant un suivi de 12 ans en moyenne. Ils ont constaté que les personnes décédées étaient plus âgées, en mauvaise forme physique et avaient davantage de risques cardiovasculaires que celles qui ont survécu.

Mais les mesures d'adiposité ne montraient pas de différence entre les décédés et les survivants.

Les sujets jouissant de la meilleure forme physique souffraient généralement moins de facteurs de risques cardiovasculaires, tels que l'hypertension, le diabète ou le cholestérol.

Le taux de mortalité des sujets bénéficiant de la meilleure forme physique est en général de 50% inférieur à celui de ceux qui ont une mauvaise forme cardiovasculaire.

"Les résultats de notre étude montrent qu'il est possible de réduire la mortalité parmi les personnes plus âgées, y compris chez celles qui sont obèses, en faisant régulièrement de l'exercice physique, tel qu'une marche vigoureuse de 30 minutes ou plus, quasiment tous les jours de la semaine", insistent ces médecins.