dimanche 6 avril 2008

~ PETITE DECLARATION D' AMOUR, !!!~

~ CLIP VIDEO !!!~

Motos !!!

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Fait le beau !!!

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Aie !!!!!!!! la bordure !!!

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Choc !!!

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Chien policier à l'attaque !!!

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Vidéo pub !!!

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~ IMAGE (Pour un petit sourire)!!!~

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Cherche les ennuis !!!

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Sympa les cours chez les filles !!!

~ SIGNES DU ZODIAQUE.!!!~


































~ PETITE DECLARATION D' AMOUR, !!!~

~ IMAGE (Pour un petit sourire)!!!~

Dur !! dur !! d'être au top !!!

~ une petite info santé!!!~

L’actualité Santé du 06/04/ 08 10h45


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Le départ des ONG risque de pénaliser le secteur de la santé au Liberia. Au Liberia, le secteur de la santé, qui souffre déjà d'un cruel déficit en personnel et financement, se trouve désormais menacé par le départ progressif des ONG étrangères venues pallier le manque de soins pendant les guerres civiles (1989-2003).

"Selon les critères des objectifs du millénaire pour le développement (OMD), nous devrions disposer d'un minimum de 960 médecins pour quelque 3,2 millions d'habitants. Aujourd'hui, le Liberia compte 122 médecins, dont seulement 51 sont des Libériens (...) La plupart travaillent pour des ONG", a récemment confié à l'AFP le ministre de la Santé Walter Gwanigale.

Installées pour certaines dès le début de la guerre, plusieurs ONG ont commencé à plier bagage à la faveur du retour à la stabilité constaté depuis 2003, avec l'élection démocratique de la présidente Ellen Johnson Sirleaf.

"C'est vrai que les bailleurs de fonds prennent un peu du recul. Les fonds n'arrivent plus comme avant, alors que la majorité des médecins et infirmiers qui opèrent aujourd'hui au Liberia sont des employés d'ONG", explique Pierre Tripon, chef de mission de Médecins du Monde (MDM), dont les opérations au Liberia doivent prendre fin d'ici 2012.

A Médecins sans frontières (MSF), le dispositif a déjà été réduit avec les départs des sections MSF-France et MSF-Pays-Bas en 2007, alors que MSF-Belgique et MSF-Suisse/Espagne doivent leur emboîter le pas fin 2008, selon Mariano Ludge, chef de mission de MSF Suisse/Espagne, qui traite plus de 70% des cas de pédiatrie à Monrovia et ses environs.

Les agents de plusieurs établissements s'inquiètent déjà du départ imminent de MSF, au moment où seule une faible partie de la population a accès aux soins, essentiellement dans les zones urbaines.

"Nous soignons nos patients gratuitement, (...) ce qui fait que nos médicaments partent vite. C'est un grave problème qui risque d'empirer quand les ONG qui nous ravitaillent vont partir", indique James Goldon, directeur administratif de l'hôpital Redemption, dans la banlieue de Monrovia.

Le ministre de la Santé avoue ses craintes pour le futur. "Nous avons besoin de près de 4.800 infirmières. Aujourd'hui nous en avons environ 600. Nous avons 400 sages-femmes et nous en avons besoin de 1.400. C'est grave à ce point".

"Sur 100.000 femmes qui accouchent, 1.000 d'entre elles meurent. La raison est qu'elles ne sont pas assistées par un personnel formé. Le bilan serait encore plus lourd si les ONG n'étaient pas venues en aide au bon moment", poursuit-il.

Pour Pierre Tripon, de MDM, l'affaire est simple: "il faut qu'avant le départ de toutes ces ONG, il y ait un personnel local qui puisse assurer la relève. Sinon, on risque de se retrouver devant une crise beaucoup plus grave".

"La solution est de former davantage de gens. Mais d'abord empêcher ceux qui sont ici de partir en les payant mieux", souligne de son côté M. Gwanigale.

"Les infirmiers qui travaillent pour le gouvernement ne sont pas encouragés (avec un salaire de 3.000 dollars libériens, environ 40 euros par mois). C'est vrai que nous sommes payés régulièrement et à temps, mais le salaire qu'on nous donne n'est rien par rapport au coût de la vie au Liberia", explique Osando Nelson, médecin-chef de l'hôpital Redemption.

Les autorités libériennes ont entamé un programme de formation de personnels, et MDM forme déjà des sages-femmes, mais le processus paraît long face à l'urgence.

"Nous nous concentrons actuellement sur la réouverture des écoles de santé à travers le pays", explique Moses Pewu, vice-ministre de la Santé chargé de la formation.

"C'est déjà un pas dans la bonne direction, mais il faut trois ans pour former des infirmiers et des sages-femmes, alors que la quasi-totalité des ONG quittent le pays à la fin de l'année", prévient-il.

~ IMAGE ROMANTIQUE, !!!~

~ une petite info santé!!!~

L’actualité Santé du 06/04/ 08 10h40


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Nouveau rappel de steaks hachés par Socopa, au nom du principe de précaution. Le groupe coopératif Socopa a annoncé vendredi un nouveau rappel de steaks et viande surgelés, par mesure de précaution, à la suite de l'affaire des steaks avariés qui avaient été vendus dans plusieurs grandes surfaces en mars.

"Même s'il n'y a aucun nouveau cas connu d'intoxication, nous avons décidé d'appliquer le principe de précaution à 57 tonnes commercialisées de viande qui provenaient des mêmes lots que ceux qui avaient été rappelés le mois dernier", a déclaré Pierre-Yves Perrin, directeur de la communication de Socopa lors d'une conférence de presse.

Les produits concernés, dont les dates de consommation allaient du 13 au 31 mars, sont des steaks hachés surgelés de la marque Leader Price et de la viande hachée, des merguez et des boulettes de boeuf vendues au rayon frais sous les marques Valtero, Bif Tonic, Bien Vu, Carrefour, Casino, Numero Un, Chanfrais, Maître Boucher, indique la Socopa.

Les groupes de distribution qui vendaient ces produits sont Carrefour, Casino et Leader Price, selon le groupe coopératif.

Socopa précise dans un communiqué que les numéros des lots concernés ont été communiqués aux distributeurs et sont affichés dans les magasins. Un numéro vert (0 800 800 933) a également été mis en place pour répondre aux questions des consommateurs.

Cette mesure de rappel a été prise en concertation avec la Direction générale de l'alimentation (DGAL) et la Direction des services vétérinaires, ajoute Socopa.

Carrefour recommande dans un autre communiqué "aux consommateurs qui seraient encore en possession de ces produits (en cas de congélation notamment) de ne pas les consommer et de les rapporter à leur magasin où ils leur seront remboursés".

Début mars, près de deux tonnes et demie de viande, à forte teneur en bactérie E. Coli, en provenance de l'abattoir Socopa de Coutances (Manche) avaient été vendues dans une centaine de magasins Carrefour et Monoprix. Les consommateurs n'avaient été alertés qu'après la date limite de consommation.

"Nous n'avons pas trouvé l'origine de la contamination. Nous avons un faisceau de présomptions que cela est arrivé lors de la manipulations d'animaux à l'abattoir, pendant l'arrachage du cuir des animaux qui proviennent de la région du Cotentin", a indiqué M. Perrin.

Escherichia coli O-157 est un germe connu depuis le début des années 1980. Il peuple l'intestin de l'homme et des animaux à sang chaud (ovins, bovins, animaux sauvages). Les déjections des animaux porteurs de la bactérie peuvent contaminer les végétaux.

Socopa, une union de coopératives, est avec un chiffre d'affaires de 1,34 milliard d'euros en 2007 le deuxième groupe français d'abattage et de transformation de viandes derrière Bigard.

~ REMARQUE AMOUREUSE, ~

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L’actualité Santé du 06/04/ 08 10h27


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Allergies de printemps : gare à l'arrivée du pollen du bouleau. Le week-end sera "terrible" pour les allergiques au pollen de bouleau résidant entre une ligne Nantes/Strasbourg au nord et Agen/Grenoble au sud, a indiqué vendredi le réseau national de surveillance aérobiologique (RNSA) dans son bulletin hebdomadaire.

Les habitants du Rhône, note le RNSA, risquent en plus de souffrir d'allergie au pollen du platane. Pour les jours à venir, il prévoit aussi une arrivée en force des pollens de frêne, de peuplier, puis de saule et enfin de cyprès.

Les perturbations de la météo devraient cependant apaiser à partir de lundi les allergiques aux pollens d'arbre, note le RNSA, qui leur recommande de "suivre les traitements prescrits".

Selon le RNSA, 10 à 20% de la population française est allergique au pollen. Les allergies respiratoires sont au premier rang des maladies chroniques de l'enfant.

~ IMAGE (Pour un petit sourire)!!!~

La gamelle !!!

une petite info santé!!!

L’actualité Santé du 06/04/ 08 10h22


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Egypte: 21e décès de la grippe aviaire. Un Egyptien de 19 ans est décédé samedi de la grippe aviaire, devenant la 21e personne tuée par le virus H5N1 depuis son apparition en Egypte en 2006, a annoncé le ministère égyptien de la Santé.

Mohammed Idris Hassan Ibrahim, de la province de Beheira, dans le delta du Nil, est mort à l'hôpital, a déclaré un responsable du ministère, Nasr al-Sayyed, à l'agence officielle MENA.

"Le garçon a été hospitalisé dans la ville d'Alexandrie le 3 avril après s'être plaint d'une forte fièvre et d'insuffisance respiratoire", a-t-il dit. "Il avait été exposé à de la volaille infectée."

M. Ibrahim est le 48e cas annoncé de grippe aviaire en Egypte et le 21e mort.

En janvier, quatre personnes avaient succombé au H5N1 en une semaine après que les mesures de précaution eurent été assouplies car les autorités pensaient que le virus avait disparu, aucun nouveau cas n'ayant été répertorié en six mois.

Une femme était morte le mois dernier à Fayyoum, au sud-ouest du Caire, après avoir été traitée sans succès au Tamiflu.

L'Egypte est l'un des pays les plus touchés par la grippe aviaire, se situant derrière l'Indonésie (107 morts) et le Vietnam (52) mais devant la Chine (20) et la Thaïlande (17).

L'Egypte est située sur un couloir de migration des oiseaux qui peuvent être porteurs du virus. Ce nombre élevé de décès peut également s'expliquer par la proximité entre les lieux où est gardée la volaille domestique et les quartiers d'habitation.

Le gouvernement égyptien affirme mener une lutte acharnée contre le virus, en mêlant campagnes de vaccination et de prévention, maus les experts mettent en garde contre tout relâchement de la vigilance.

Le porte-parole du ministère égyptien de la Santé, Abdel Rahman Chahine a plusieurs fois exhorté le public à continuer de respecter les mesures de précaution.

Des responsables ont demandé l'interdiction de l'élevage de volailles en ville et du transport sans autorisation de volatiles entre deux provinces.

Les autorités ont également averti les malades que nier avoir été en contact avec des volailles infectées compliquait la détection du virus et le traitement de la maladie.

La plupart des victimes ont été des femmes et des enfants, car ce sont eux qui, traditionnellement, s'occupent des volailles dans les élevages.

Fin juin, l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) avait noté que la lutte contre le virus de la grippe aviaire s'était nettement améliorée dans le monde, mais que la situation restait critique en Indonésie et en Egypte, où le risque de mutation du H5N1 vers une forme contagieuse entre humains restait élevé.

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L’actualité Santé du 06/04/ 08 10h17


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


L'Organisation mondiale de la santé (OMS), qui fête lundi son soixantième anniversaire, a décidé de s'attaquer au défi du réchauffement climatique dont les conséquences pour la santé humaine ont commencé à se faire sentir.

Le 7 avril 1948, la constitution de l'OMS, adoptée deux ans plus tôt par les Nations unies, entrait en vigueur avec 48 Etats fondateurs réunis à Genève. Pour la jeune organisation, il s'agissait avant tout à l'époque de combattre les grandes maladies infectieuses qui frappaient la planète au sortir de la seconde guerre mondiale.

Soixante ans plus tard, l'organisation, qui compte désormais 193 Etats membres, a vu sa mission élargie à des maux divers comme le tabagisme ou les accidents de la route et a dû relever le défi du sida, du sras et de la grippe aviaire.

Mais c'est le changement climatique qui inquiète de plus en plus la directrice générale de l'OMS, la Chinoise Margaret Chan, qui en a fait cette année le thème de la Journée mondiale de la santé du 7 avril, dans l'espoir de mobiliser les opinions publiques.

Le réchauffement de la planète contribue à 150.000 décès et cinq millions de cas de maladies chaque année, avertissait déjà l'organisation en 2005.

La hausse du mercure tue lors de vagues de chaleur ou bien en suscitant de plus fréquentes catastrophes comme inondations, typhons, cyclones et sécheresses.

Ces phénomènes entraînent une détérioration de la qualité de l'eau, favorisant l'émergence de maladies diarrhéiques. De même l'augmentation des pluies et de la température ont un impact sur le développement de maladies tropicales comme la dengue ou le paludisme, véhiculées par les moustiques.

Selon un rapport publié en octobre lors de la conférence annuelle des pédiatres américains, les enfants sont particulièrement vulnérables du fait d'une plus grande incidence de l'asthme et des maladies respiratoires.

Tous les pays du monde sont exposés.

C'est ainsi que les cas d'infections par le virus du Nil occidental ont augmenté de façon exponentielle aux Etats-Unis et au Canada depuis 1999 car le climat plus chaud permet aux moustiques vecteur de l'infection de se multiplier.

Mais les populations les plus défavorisées sont aussi plus fragiles: le Dr John Juliard Goun, responsable de l'OMS aux Philippines, a ainsi dit s'attendre mardi à ce que la dengue menace plusieurs millions de personnes dans ce pays au cours des décennies qui viennent.

En Australie, les aborigènes seront les plus touchés par la hausse du thermomètre, qui devrait s'avérer particulièrement forte dans les régions désertiques, selon une étude publiée en début d'année.

Plus de 8.000 personnes travaillent pour l'OMS à son siège de Genève et dans ses 147 bureaux répartis à travers le monde. L'organisation dispose d'un budget de 4,2 milliards de dollars pour la période 2008-2009.

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Le cric à la mode !!!

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L’actualité Santé du 06/04/ 08 10h05


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


"L'hôpital des nounours": pour ne plus avoir peur des blouses blanches. Stop-gratouilles, nettoie-bobo et tue-bébêtes: des enfants de classe maternelle ont trouvé toutes sortes de médicaments pour soigner leur peluche à "l'hôpital des nounours" à Lille qui permet de familiariser les tout petits avec l'univers des blouses blanches, souvent effrayant pour eux.

Leur doudou dans les bras, une trentaine d'enfants de 5 à 6 ans sont accueillis par une soixantaine de "nounoursologues" dans ce petit hôpital pas comme les autres, qui ouvre ses portes depuis quatre ans à la faculté de médecine de Lille avec la participation bénévole de ses étudiants.

L'enfant, selon la pathologie de son nounours, sera orienté vers la salle d'attente, cabinet médical, poste de soins, service radiologie, bloc opératoire et pharmacie, tous reconstitués avec soin.

"Le syndrome de la blouse blanche est important chez les enfants. Même si ce n'est pas pour eux mais pour leur nounours, ils sont impressionnés", explique Isabelle Thieffry, la directrice de l'école maternelle Jenner à Lille-Hellemmes.

La première étape pour l'enfant - qui sera suivi tout le long de son parcours par un accompagnateur en blouse blanche - est le passage par la salle d'attente pour remplir le carnet de santé.

"Il a mal où ton doudou ?", interroge une jeune étudiante, stéthoscope autour du cou. "Il a mal à la patte et au bras", lui répond Mathéo, 5 ans en montrant son "lapinou" qui a eu "un accident". Les enfants ont déjà préparé en classe cette entrevue un peu spéciale et décidé de la pathologie de leur peluche.

Maintenant, muni de son carnet de santé, Mathéo passe en consultation. "Je vois que ton lapinou est bien malade. Je lui prescris d'abord une radio, ensuite on lui donnera un médicament et on lui fera un pansement, d'accord?", propose un futur médecin.

Tom, lui, son doudou, c'est une panthère noire nommée Cerise. Elle a la varicelle et se verra prescrire du "stop-gratouille". La poupée d'Agathe a 3 ans et "elle est allergique au chocolat, ce qui est drôlement embêtant". Elle aura droit à un cours de nutrition et à un vaccin.

"On utilise des mots comme +nettoie-bobo+ pour l'antiseptique ou +tue-bébêtes+ pour l'antibiotique pour qu'ils puissent bien comprendre à quoi sert le médicament", explique Marion Lemaître, en 4ème année de médecine et organisatrice de la journée.

Chaque service a un message à faire passer sur l'hygiène, la santé, la sécurité, la découverte du corps. A la fin du parcours, un "nounours pack" a été distribué à chaque enfant contenant divers cadeaux : nounours en peluche, jouets médicaux (stéthoscope, piqûre...).

A l'origine, le projet de l'hôpital des nounours a été élaboré par des étudiants en médecine de deux universités allemandes sous le nom de "Teddy Bear Hospital" et repris avec succès depuis quatre ans en France par l'Association nationale des étudiants en médecine de France (ANEMF).

Peut-être cette journée aura-t-elle déclenché des vocations chez des tout petits?

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L’actualité Santé du 06/04/ 08 09h59


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Nièvre : la maternité de Clamecy fermée, la contestation se poursuit. Les opposants à la fermeture, le 1er avril, de la maternité de Clamecy, poursuivaient leur mobilisation vendredi en organisant un jeûne symbolique dans une caravane devant la mairie de Clamecy (Nièvre), a indiqué le député socialiste Christian Paul.

"Je passerai la nuit de vendredi à samedi dans la +caravane de la vie+ - située devant la mairie de Clamecy - et je participerai au jeûne symbolique qui s'organise pour protester contre la fermeture de la maternité et pour défendre le maintien de l'hôpital du Haut-Nivernais", a déclaré M. Paul dans un communiqué.

Selon lui, ce "combat contre le désert médical" pourrait être le "début d'un mouvement national en France où une centaine d'hôpitaux sont menacés".

Elus, usagers et habitants de la commune se relaient jour et nuit depuis le 1er avril dans cette caravane installée sur la place de la mairie où ils observent symboliquement un jeûne.

Le 31 mars dernier, plusieurs centaines de personnes, dont des dizaines d'élus de la région du Haut-Nivernais, avaient manifesté contre la fermeture définitive de la maternité.

Les élus - maires et conseillers généraux "toutes tendances politiques confondues" - avaient symboliquement accrochés leurs écharpes tricolores aux grilles de l'hôpital qui hébergeait la maternité alors que les autres manifestants s'étaient attachés à une longue corde pour symboliser leur fidélité à la maternité.

En 2007, la maternité de Clamecy avait procédé à 214 accouchements, alors que la norme exigée est d'au moins 300 naissances par an. Sa disparition va contraindre les mères à accoucher à Auxerre (50 km), Nevers (79 km) ou Cosne-sur-Loire (56 km).

En contrepartie de cette fermeture, le ministère de la Santé propose notamment dans son courrier l'organisation d'un "centre périnatal de proximité renforcé", "dont le poste médical serait prioritairement proposé au gynécologue exerçant à Clamecy".

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ça fait mal !!!

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L’actualité Santé du 06/04/ 08 09h55


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)




Femmes : santé dégradée et violences conjugales vont de pair. Une étude menée dans dix pays par l'Organisation mondiale de la santé fait apparaître que les femmes violentées par leur conjoint ont une santé physique et mentale nettement plus dégradée que la moyenne de la population, et ce longtemps après les actes de violence.

Selon l'hebdomadaire britannique Lancet, qui publie vendredi le résultat de cette étude, l'OMS a comparé entre 2000 et 2003, dans quinze sites de dix pays, l'état de santé de femmes de 15 à 49 ans ayant été l'objet de violences conjugales au moins une fois dans leur vie, avec celui de femmes qui ne l'ont pas été. Plus de 24.000 femmes ont été soumises à un questionnaire.

Les dix pays objets de l'enquête ont été le Bangladesh, le Brésil, le Pérou, la Thaïlande, la Tanzanie, l'Ethiopie, le Japon, la Namibie, les îles Samoa et la Serbie-Montenegro. Parmi les femmes violentées, au moins un tiers -sauf en Ethiopie- n'avaient pas subi de violence au cours de l'année écoulée.

Au terme de cette étude, il apparaît que 19% (en Ethiopie) à 55% (dans la campagne péruvienne) des femmes violentées font état de blessures.

Mais surtout, des "associations significatives" -sauf aux îles Samoa- apparaissent entre la violence du partenaire et un mauvais état de santé ou des problèmes de santé récents : difficultés à marcher ou à gérer les activités quotidiennes, souffrances, troubles de la mémoire, problèmes vaginaux...

Les femmes soumises à la violence de leur partenaire au moins une fois dans leur vie ont reconnu en outre nettement plus de détresse émotionnelle et de désirs de suicide (trois fois plus) ou tentatives de suicide (quatre fois plus) que les autres.

Commentant cette étude, Riyadh Lafta, de l'école de médecine de Bagdad, a fait valoir que souvent la violence n'était pas rapportée, par exemple quand les victimes "avaient trop peur de leur partenaire" ou parce que la violence était considérée comme "normale dans certaines communautés".

Pour lui, des études ultérieures devraient mesurer la mortalité et l'espérance de vie des femmes victimes de violence conjugale.

Pour l'OMS, la violence conjugale est un réel problème de santé publique, qui doit faire l'objet de politiques de santé nationales et globales.

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L’actualité Santé du 06/04/ 08 09h36


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. Boissons énergisantes: la France enquête sur une boisson de Red Bull. La France enquête sur une boisson du groupe Red Bull, leader mondial des boissons énergisantes dont la boisson vedette est interdite dans l'Hexagone, après que celui-ci eut décidé d'y lancer un produit sans l'ingrédient mis en cause, a-t-on appris vendredi de sources concordantes.

Le groupe autrichien Red Bull avait présenté un dossier à la Direction de la concurrence et de la répression des fraudes (DGCCRF) mi-2007 pour un produit sans taurine (un dérivé de la caféine) baptisé Bullit.

Cependant, il met actuellement en vente celui-ci sous la même présentation que dans les autres pays, se contentant de préciser sur le bas de la canette que cette boisson est "à base d'arginine (un acide aminé,) et caféine".

L'enquête veut déterminer si le groupe autrichien ne cherche pas à tromper le consommateur en employant le même emballage que sa boisson vedette, qui met en valeur la taurine, alors que la composition de celle vendue en France est différente, indique-t-on de sources concordantes.

Pour l'Agence Française de sécurité sanitaire des aliments (Afssa) "l'utilisation du même nom pour deux produits différents dont l'un est encore interdit en France est de nature à confondre le consommateur".

L'Afsaa a rappelé vendredi que, compte tenu des niveaux de concentration de la taurine contenus dans une canette de Red Bull (500 fois les doses journalières apportées par l'alimentation), elle a toujours considéré que la sécurité n'était pas assurée pour le consommateur et que l'intérêt nutritionnel n'avait pas pu être démontré.

L'Agence européenne de sécurité alimentaire (EFSA) a le même avis.

Pour l'Afsaa, une "boisson énergétique" est une boisson de l'effort spécifiquement formulée pour fournir de l'énergie dans le cadre d'une dépense musculaire intense alors qu'une "boisson énergisante" est un terme marketing - qui n'a pas de réalité réglementaire.

Taurine, caféine, guarana, ginseng, vitamines sont les substances qui entrent le plus souvent dans la composition des boissons dites énergisantes.

Décidé à s'imposer en France, Red Bull, qui sponsorise le quadruple champion du monde des rallyes Sébastien Loeb, n'hésite pas à des distributions gratuites de sa nouvelle boisson à la sortie par exemple de la faculté de médecine du quartier Latin à Paris, comme a pu le constater jeudi une journaliste de l'AFP.

En 2007, Red Bull a réalisé un chiffre d'affaires de 3,079 milliards d'euros, en hausse de 16,6% par rapport à l'année précédente, 3,549 milliards de canettes.

Créé en 1987 par l'homme d'affaires autrichien Dietrich Mateschitz, qui dirige toujours le groupe, Red Bull s'est imposé en quelques années comme le numéro un mondial des boissons énergisantes, avec une part de marché estimée à 70% par les analystes.