dimanche 10 août 2008

~CLIP VIDEO CHANSON., ~



MORT SHUMAN Un été de porcelaine


~ CLIP VIDEO CHANSON., ~



SYLVIE VARTAN La plus belle pour aller danser - 1964


~ CLIP VIDEO CHANSON., ~



ISABELLE BOULAY Parle-Moi


~ CLIP VIDEO CHANSON., ~



Eurovision 2001 Natasha St-Pier - Je n'ai que mon âme

~ CLIP VIDEO CHANSON., ~



PROCOL HARUM A whiter shade of pale 1967


~ CLIP VIDEO CHANSON., ~



PERCY SLEDGE When A Man Loves A Woman


~ CLIP VIDEO CHANSON., ~



BEN. E. KING STAND BY ME



~ CLIP VIDEO CHANSON., ~



PASCAL DANEL LE KILIMANDJARO



~ CLIP VIDEO CHANSON., ~



Demi Moore & Patrick Swayze Unchained Melody Ghost


~ CLIP VIDEO CHANSON., ~



CELINE DION Titanic.



~ CLIP VIDEO CHANSON.~



MIKE BRANT Laisse moi t'aimer



~CITATION et PROVERBE. ~

~ BONNES VACANCES., ~

~ LA BLAGUE DU JOUR ., ~

~ une petite info santé!!!~

L’actualité Santé du 09 /08/ 08


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


La taxation des produits gras et sucrés pour bientôt ?

Les sodas, pizzas, hamburgers, glaces, chips et autres produits de grignotage risquent de faire beaucoup parler d’eux à la rentrée. En effet, une taxe pour lutter contre l’obésité pourrait être mise en place. C’est ce que recommande un rapport commun de l’Inspection Générale des Affaires Sociales et de l’Inspection Générale de Finances transmis à Eric Woerth, et à Roselyne Bachelot à la fin du mois de Juillet.

Rappelons que l’année dernière, les Sénateurs avaient voté, pour lutter contre l'obésité, la création d'une taxe de 1 % sur les boissons sucrées, avant de reculer en Commission Mixte Paritaire. De son côté, le gouvernement s’était engagé à remettre au Parlement un rapport sur l’intérêt de cette taxe dite taxe nutritionnelle.

Le développement des pathologies liées au surpoids et à l'obésité parmi lesquelles l’hypertension, le diabète sont directement liées à la consommation excessive de graisses, de sucres rapides et d’alcool. Et si la prévalence des troubles et pathologies augmente, comment faire pour assurer l'avenir du financement de la protection sociale, demandent l’IGS et l’IGAS.

Les auteurs du rapport reconnaissent que l’efficacité d’une taxe nutritionnelle n’est pas assurée, mais il faut essayer de modifier les comportements.
Cette mesure fiscale apparaît donc comme une double mesure : d’une part, c’est une mesure de financement de l'assurance maladie, et d’autre part, c’est un « message » envers les consommateurs et les industries de l’agro alimentaires. Cette hausse des droits se ferait par l’application du taux de TVA à 19,6 % au lieu du taux à 5,5 % sur les produits jugés trop gras, trop sucrés sans réelle nécessité, par exemple les sodas, les produits de grignotage, les pizzas, hamburgers, etc.
L'Igas et l'IGF se penchent aussi sur la revalorisation des droits d'accises sur l'alcool, responsable de certains cancers qui sont trois fois plus importants que ceux liés aux autres produits alimentaires. Par ailleurs, toujours selon l'Igas, ce sont les populations les plus défavorisées qui se nourrissent le moins bien. Or, ce sont elles qui pourraient être les plus fortement pénalisée par cette nouvelle taxe.

La question risque donc de faire débat à la rentrée car les Députés et Sénateurs qui ont créé le groupe de travail sur le sujet vont-ils accepter un report de cette taxe nutritionnelle ?
Et puis il ne faut pas oublier que Valérie Boyer, Députée des Bouches du Rhône, a été nommée le 16 avril dernier Présidente d’une Mission d’information parlementaire sur la prévention de l’obésité.

~ LA BLAGUE DU JOUR ., ~

~ une petite info santé!!!~

L’actualité Santé du 09 /08/ 08


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Des modèles de maladies incurables créés via des cellules souches humaines

Des scientifiques américains ont cultivé en laboratoire de nouvelles lignées de cellules souches humaines reproduisant des défauts génétiques responsables de dix maladies incurables, comme la maladie de Parkinson, selon une étude parue jeudi dans la revue scientifique Cell.

Ces nouvelles lignées de cellules souches ont pu être réalisées grâce à une nouvelle technique: la conversion de cellules ordinaires de la peau et de la moelle osseuse d'individus atteints de ces maladies en cellules souches contenant la même erreur génétique, expliquent les chercheurs.

Cette technique pourrait accélérer les recherches pour mettre au point des traitements, espèrent-ils.

"La médecine cherche depuis longtemps un moyen d'étudier les maladies dans une éprouvette et de développer pour ce faire des cellules pouvant être cultivées et prendre la forme de nombreux tissus atteints, par exemple de différentes maladies du sang, du cerveau et du muscle cardiaque", explique le Dr George Daley du Howard Hughes Medical Institute (Maryland, est), principal auteur de cette recherche.

"Nous avons désormais le moyen de faire exactement cela, en créant des cellules pluripotentes de malades qui permettent de produire différents tissus et de les faire croître indéfiniment", poursuit-il.

"Nous pouvons ainsi créer des modèles de maladies avec des milliers de variations à l'aide de techniques classiques de culture cellulaire", ajoute le Dr. Daley, qui a travaillé sur ce projet avec des chercheurs de l'université Harvard (Massachusetts, nord-est).

Selon lui, ces cultures de cellules souches reproduiront les maladies humaines plus fidèlement les modèles animaux. Malgré la très grande similarité génétique entre les humains et les souris, les différences physiologiques affectent invariablement l'évolution de la maladie chez les ces animaux.

Dans certains cas, comme le syndrome de Down ou la trisomie 21, le défaut génétique responsable ne provoque pas les mêmes symptômes chez la souris.

Outre le diabète juvénile et la maladie de Parkinson, les autres maladies concernées par ces lignées de cellules souches sont notamment deux types de dystrophie musculaire, les maladies d'Huntington et de Gaucher et les syndromes de Down, de Shwachman-Diamond et de Lesch-Nyhan.

Cette technique permet de créer des cellules-souches modèle de toutes maladies, précisent ces chercheurs.

Ces chercheurs vont rendre ces nouvelles lignées de cellules souches porteurs de défauts génétiques accessibles à l'ensemble de la communauté scientifique par le biais d'un laboratoire financé par le "Harvard Stem Cell Institute", un organisme privé.

~ IMAGE ROMANTIQUE, ~

~ une petite info santé!!!~

L’actualité Santé du 09 /08/ 08


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Sida: une combinaison thérapeutique inédite pour des patients en gros échec

Une combinaison thérapeutique "inédite" permettant de traiter avec une grande efficacité les patients en multi-échec et porteurs d'un virus immunodéficitaire ultra-résistant a été présentée jeudi à Mexico, dans le cadre de la Conférence sur le sida.

L'Agence française de recherches sur le sida (ANRS), qui a mené l'étude en partenariat avec deux laboratoires, souligne que "pour la première fois" une combinaison pour ces patients en gros échec présente "une efficacité comparable à celle observée chez des patients qui reçoivent un premier traitement".

Selon Jean-François Delfraissy, président de l'ANRS, il s'agit d'un ensemble de "trois nouvelles molécules" qui a permis, sur une étude de six mois, de constater chez 90% des patients traités "une charge virale indétectable", c'est à dire inférieure à 50 copies par ml. Le traitement a été bien toléré.

L'essai ANRS 139 TRIO, mené sur 103 patients suivis pour infection par le VIH depuis 17 ans en moyenne et sous traitements antirétroviraux depuis quelque 13 ans, a été coordonné par le Pr Yazdan Yazdanpanah (service des maladies infectieuses et du voyageur, Centre hospitalier de Tourcoing).

Les patients avaient un virus présentant "de nombreuses mutations de résistance aux trois principales familles d'antirétroviraux", selon un communiqué de l'Agence, pour qui il s'agit d'"une avancée pour la prise en charge des nombreux patients en situation d'échecs thérapeutiques répétés".

Ces résultats montrent aussi qu'on peut se fixer comme "objectif à atteindre" pour ces patients une charge virale inférieure à 50 copies par ml, note le Pr Delfraissy.

Un suivi à plus long terme est en cours de réalisation, pour déterminer si l'efficacité se maintient dans le temps.

~ IMAGE (Pour un petit sourire)~

~ une petite info santé!!!~

L’actualité Santé du 09 /08/ 08


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Sida: de nombreuses questions restent ouvertes après la conférence de Mexico

La lutte contre le sida, avec trois millions de personnes sous traitement et beaucoup d'argent disponible, laisse ouvertes nombre de questions sur les coûts à venir, une prévention prometteuse et un vaccin toujours espéré, au terme de la conférence de Mexico.

Cette 17ème réunion internationale sur le sida, qui se tenait pour la première fois en Amérique latine, a rassemblé pendant six jours quelque 24.000 délégués de plus de 190 pays pour plus de 600 débats ou réunions, sans compter les 80 conférences de presse pour les 2.000 journalistes.

Elle s'est achevée vendredi avec des appels aux pays du G8 de respecter leurs engagements financiers et au monde entier de mettre un terme à la stigmatisation dont sont victimes les séropositifs.

"Nous sommes profondément troublés qu'à moins de deux ans de la date fixée pour un accès universel, le G8 ait fourni seulement un peu plus du tiers des ressources promises d'ici 2010", a dit Michel Kazatchkine, président du Fonds global de lutte contre le sida.

Si l'avancée des traitements a été saluée, puisqu'ils font de la pandémie une maladie chronique, la question des financements demeure lancinante pour la communauté internationale, qui y a consacré dix milliards de dollars en 2007.

Sur 33 millions de séropositifs à ce jour, 10 millions auraient besoin d'être traités dont un tiers le sont. Du fait d'une évolution lente de la maladie, le nombre de séropositifs à soigner croît chaque année.

Une augmentation des coûts est donc à prévoir --l'Onusida parle de 54 milliards de dollars à l'échéance de 2015-- du fait aussi du changement progressif de médicaments devenus inefficaces pour de nouvelles molécules et de nouveaux brevets.

Et pour certains responsables, il apparaît d'ores et déjà "improbable" que la communauté internationale ait les moyens de traiter pendant toute leur vie tous ceux qui ont ou auront besoin d'antirétroviraux, le virus ne lâchant jamais prise.

Et même si les progrès sont déjà considérables, les responsables des grands organismes spécialisés commencent à revenir sur l'engagement pris en 2006 par les Nations unies, "traitement pour tous en 2010". "On ne tiendra pas la date, mais c'est un objectif qui aide à avancer", notait un délégué à Mexico.

Plutôt que des subventions annuelles, il faudrait des "financements pérennes", estime Jean-François Delfraissy, directeur de l'Agence française de recherches.

Les chercheurs quant à eux estiment qu'ils n'ont "pas le choix" et qu'il est plus urgent que jamais de poursuivre la recherche sur le vaccin et les gels microbicides, qui n'a encore rien donné.

La prévention pour tenter de supprimer le problème à la source, en combinant notamment plusieurs moyens -préservatifs, circoncision, échange de seringues, changement de comportements-, a été au coeur de la Conférence de Mexico.

A cet égard, l'utilisation des anti-rétroviraux à titre préventif, dont le succès est avéré contre la transmission mère-enfant, suscite de nouveaux espoirs. Le Tenofovir, utilisé en post-traitement pour les personnels de santé qui se blessent, pourrait l'être aussi par ceux qui vont entrer dans une situation à risque. Les études n'ont pas encore abouti, mais les pronostics sont favorables.

De nouveaux sujets sont arrivés sur la table de la Conférence, tels que la stigmatisation, qui favorise la pandémie, et les problèmes des enfants.

~ LA BLAGUE DU JOUR ., ~

~ une petite info santé!!!~

L’actualité Santé du 09 /08/ 08


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Sida: les enfants manquent encore de tests de détection et de traitements

Les enfants, longtemps laissés pour compte dans la lutte contre le sida, manquent aujourd'hui encore de tests de détection et de traitements adaptés, ont souligné nombre de participants à la Conférence internationale sur le sida de Mexico.

Les chiffres fournis pour 2007 par l'Onusida sont sans appel :

- 2 millions d'enfants sont infectés par le virus (1,6 million en 2001), dont près de 90% vivent en Afrique subsaharienne.

- 370.000 enfants de moins de 15 ans sont nouvellement infectés (450.000 en 2002), dont 90% par transmission de la mère à l'enfant.

- 270.000 enfants sont décédés.

Ce qui n'a pas empêché le laboratoire Bristol-Meyers Squibb, au grand dam des associations, d'annoncer en mars qu'il cesserait fin 2008 la commercialisation de gélules d'Efavirenz particulièrement bien adaptées à l'usage pédiatrique, du fait d'un faible volume de prescription.

La grande majorité des mères n'ont pas accès aux méthodes très efficaces de prévention de la transmission mère-enfant: sur 100 mères séropositives, 30 à 40 donnent naissance à des enfants infectés, selon les experts.

Et sans traitement, "la moitié des enfants nés avec le VIH mourront avant d'atteindre l'âge de deux ans", souligne le Dr Fernando Parreno, pédiatre pour Médecins sans frontières au Zimbabwe.

L'Organisation mondiale de la santé (OMS) vient d'imposer de traiter les bébés le plus tôt possible, et donc de les dépister rapidement. Problème: les tests sont "compliqués et chers", disent les ONG, qui demandent des "tests rapides".

Quant aux traitements, les grands laboratoires ont eu du mal à s'y intéresser. "C'est le nord qui paie les recherches, et les pays du nord n'ont pas d'enfants séropositifs", explique Benjamin Coriat, chercheur en économie de la santé.

Faute de médicaments adaptés, on coupait en 2 ou 3 les médicaments pour adultes pour les donner aux enfants, comme le rappelle l'ancien ministre français Philippe Douste-Blazy, président d'Unitaid, un groupement spécialisé dans la fourniture de traitements pédiatriques.

Les militants du Fonds Clinton offraient dans les campagnes des coupe-pilules pour faciliter l'opération.

Aujourd'hui, il existe un sirop sur le marché -très amer- et quelques trithérapies sous forme de pilule unique -qui conviennent seulement à un certain type d'enfants. De nouvelles formules devraient bientôt être disponibles.

Au plan financier, chacun reconnaît qu'Unitaid a joué un rôle non négligeable en faisant qu'en deux ans le nombre d'enfants traités passe de 75.000 à près de 200.000. M. Douste-Blazy a annoncé à Mexico son intention d'en mettre sous traitements 100.000 de plus par an d'ici 2010.

En ce qui concerne l'accompagnement, essentiel pour les enfants, les stratégies divergent. Le réseau américain JLICA défend le "transfert de revenu", autrement dit une aide financière directe aux familles, sans passer par les ONG et leurs "consultants".

Car, dit Jim Kim, même si les médicaments sont gratuits, "le prix du ticket de bus empêche les plus pauvres des pauvres d'emmener leurs enfants aux centres de santé".

"Ils ont réinventé les allocations familiales", grommelle David Goetghebuer, conseiller au programme Enfants-Sida de MSF, qui défend quant à lui un suivi en collaboration avec les communautés locales.

Il reste encore, pour les enfants comme pour les adultes, à vaincre la stigmatisation et la discrimination.

Dans la revue Llavecitas, réalisée par des enfants touchés par le sida en Amérique centrale, Angelical, une petite fille de 10 ans, confie : "Je ne veux pas dire que je souffre de "ça" parce que les gens vont moins m'aimer".