samedi 29 mars 2008

~ REMARQUE AMOUREUSE, !!!~








L'Amour

L'amour c'est un baiser en plein coeur

C'est un contact enrobé de chaleur

Sur deux lèvres embrassées de bonheur

Dans un élan infini de douceur

L'amour c'est un échange permanent

C'est un regard fixe qui s'éprend

Pour des yeux qui amoureusement

Se parlent et s'aiment silencieusement

L'amour c'est des doigts qui se serrent

Qui se croisent se décroisent se resserrent

Entre deux mains qui désirent et espèrent

Unies et jointes ne pourront se défaire

L'amour c'est un voyage indéfini

Une destination vers l'inconnu

Une belle histoire ou un récit

Que l'on partage qui ne vous quitte plus

L'amour c'est une vague de tendresse

Dans un océan de désir

C'est une pluie de caresses

Dans un vent de plaisir

- Michel Pierron -






~ une petite info santé!!!~

L’actualité Santé du 29/03/ 08 08h30


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Vaccins et chauve-souris, les principales avancées contre Ebola et MarburgL'élaboration d'un vaccin d'ici cinq ans et la mise en évidence de la chauve-souris comme "réservoir naturel" de la fièvre hémorragique Ebola, deux avancées qui permettront de mieux la combattre, ont été au coeur cette semaine à Libreville du 4e congrès mondial sur ce virus.

La chauve-souris frugivore a été la "vedette" de la réunion sur les maladies Ebola et Marburg, la première du genre organisée en Afrique.

Quelques semaines après la publication des travaux de l'équipe dont il fait partie, Xavier Pourrut, du Centre international de recherches médicales de Franceville (CIRMF), a mis en évidence que ce rongeur était selon toute vraisemblance le "réservoir naturel" d'Ebola et Marburg.

Cela veut dire que la chauve-souris porte le virus sans y succomber, mais peut la transmettre au singe, à d'autres animaux, ou directement à l'homme.

Cette découverte va permettre de mieux protéger les populations qui vont désormais savoir que la chauve-souris est un vecteur.

"Mais sur le long terme, on va travailler sur ces chauves-souris pour comprendre comment elles se protègent, quel est le mécanisme immunitaire qui leur permet de survivre à l'infection", résume Pierre Formenty, expert des fièvres hémorragiques au sein de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et membre du comité scientifique du congrès. "Ca peut ouvrir demain de nouvelles avenues pour des vaccins et traitements".

Des vaccins contre Ebola et Marburg pourraient justement voir le jour d'ici "quatre, cinq ou six ans", selon Thomas Geisbert, chercheur américain spécialiste du domaine qui vient de quitter l'armée américains (USAMRIID) pour l'Université de Boston. Les chercheurs ont réussi à développer un "vaccin qui fonctionne sur des singes".

"Il ne s'agit pas d'aller vacciner une population entière, mais on constate que les épidémies d'Ebola s'amplifient à travers les hôpitaux. On pourrait donner le vaccin aux personnels soignants et faire beaucoup de bien simplement en arrêtant la maladie à ce moment-là", souligne le Dr Geisbert.

"Dans les prochaines épidémies, on pourrait vacciner en +post-exposition+. Un peu comme la rage. Le vaccin se développant avant que la maladie ne se développe", explique le Dr Formenty. "Avec un millier de doses, on pourrait arrêter l'épidémie dans l'oeuf", sans avoir à procéder à une vaccination de masse très coûteuse.

"On n'aura jamais un monde sans microbes. On ne va pas éradiquer Ebola et Marburg mais on va vivre avec et on a de solutions", estime le Dr Formenty. "Maintenant qu'on les connaît bien, ces maladies sont relativement faciles à contrôler si les gens sont correctement informés et si des mesures de prévention de base sont prises dans les hôpitaux (...) On pourra ainsi éviter des épidémies importantes en milieu urbain comme en Angola en 2005 (environ 200 morts)".

Quant à l'importance médiatique et financière prise par ces maladies, finalement marginales quant au nombre de morts (entre 600 et 2.500 selon les sources), ce scientifique assure que l'argent consacré à la recherche sur Marburg et Ebola n'est pas très important par rapport à d'autres maladies comme le paludisme ou le sida.

"Le paludisme, la tuberculose, le sida font beaucoup plus de morts. Le paludisme tue tous les jours un millier d'enfants", reconnaît-il. "Mais si on laisse se développer Ebola et Marburg, elles vont être de plus en plus fréquentes. Et se préparer à ce type de maladie permet de se préparer aux maladies émergentes à venir, qui seront peut-être plus graves. Souvenons que dans les années 1960, le sida n'était qu'une maladie émergeante".

~ IMAGE (Pour un petit sourire)!!!~

Manque plus que la pompe !!!

~ une petite info santé!!!~

L’actualité Santé du 29/03/ 08 08h24


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Un vaccin contre Ebola dans "4, 5 ou 6 ans", selon des scientifiquesUn vaccin contre l'Ebola pourrait voir le jour dans "quatre, cinq ou six ans", ont estimé des scientifiques réunis de mercredi à vendredi à Libreville pour le quatrième congrès international sur les virus Ebola et Marburg.

"La technologie semble être là. C'est une question de temps. Maintenant de là où nous sommes jusqu'au vaccin autorisé cela peut prendre quatre, cinq, six ans", a affirmé à l'AFP Thomas Geisbert, chercheur américain qui travaille sur le sujet.

Depuis la découverte des fièvres hémorragiques, "tout le monde voulait un vaccin. On a cherché, cherché, échoué, échoué... et finalement en 2000, on a réussi à avoir des plate-formes qui marchaient", a expliqué le Dr Geisbert, un des spécialistes les plus réputés du domaine.

"Le vaccin ne nécessite qu'une seule injection et avec cette seule injection sur un singe on peut ensuite le mettre en contact avec de très hautes doses d'Ebola. Il fonctionne un peu comme le vaccin antirabique (contre la rage): tu n'es pas vacciné, mais si tu es exposé on te vaccine comme traitement. Nous utilisons ce traitement avec les singes et cela marche très bien", a-t-il poursuivi.

"L'expérience m'a appris qu'il faut du temps pour passer de l'idée ou du concept que nous avons à une seringue remplie d'un vaccin" pour l'homme, a-t-il toutefois nuancé.

"Il ne s'agit pas d'aller vacciner une population entière, mais on constate que les épidémies d'Ebola s'amplifient à travers les hôpitaux. Si on trouvait un vaccin, on pourrait le donner aux personnels soignants et aux gens qui interviennent en premier lieu. On pourrait faire beaucoup de bien simplement en arrêtant la maladie à ce moment-là".

"On pourrait aussi vacciner les proches. Si on rompt la chaîne, on peut supprimer 70% ou 80% du problème", a estimé le Dr Geisbert.

Quant aux éventuelles applications de ses recherches à d'autres maladies, aux virus "mutants" comme celui du VIH-sida, le Dr Geisbert s'interroge : "Ce sont des virus très différents. Je sais que (le laboratoire pharmaceutique américain) Wyeth travaille sur le même système que nous. Il pourrait y en avoir, mais je n'en sais rien".

Le congrès, qui se tient pour la première fois sur le continent africain, regroupe une centaine de spécialistes venant du monde entier.

Le virus Ebola est apparu pour la première fois en 1976 au Zaïre et au Soudan. Des épidémies sporadiques ont ensuite éclaté au Congo, au Gabon, en Côte d'Ivoire et en Ouganda. Les personnes touchées développent une fièvre hémorragique, pour laquelle il n'existe aucun traitement et qui tue dans 50 à 90% des cas.

La maladie de Marburg, qui porte le nom de la ville allemande où elle a été diagnostiquée pour la première fois dans un laboratoire en 1967, a fait plusieurs dizaines de victimes en Afrique, avec des taux de mortalité dépassant 80%.

La maladie se propage par contact avec les fluides corporels d'un malade et peut tuer une personne en bonne santé en une semaine, en causant diarrhées et vomissements suivis par des hémorragies internes, des symptômes proches des personnes atteintes du virus Ebola.

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L’actualité Santé du 29/03/ 08 08h22


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Le métier de coiffeur classé comme cancérogène "probable"Les coiffeurs pourraient encourir un risque accru de cancer en raison des colorants et d'autres produits chimiques qu'ils utilisent, selon le Centre international de recherche sur le cancer (IARC/CIRC), l'agence chargée du cancer de l'Organisation mondiale de la santé.

L'agence de l'OMS, dont le siège est à Lyon (France) "réaffirme" ainsi que les quelques millions de coiffeurs, de coiffeuses et de barbiers dans le monde exercent un métier classé comme cancérogène "probable", est-il écrit dans le numéro d'avril de la revue spécialisée britannique The Lancet Oncology.

Un risque faible, mais conséquent, de cancer de la vessie chez les coiffeurs est ainsi relevé, ce risque apparaissant moins marqué chez les coiffeuses.

En revanche, les experts qui se sont réunis à Lyon en février n'ont pas trouvé d'argument épidémiologique pour porter un jugement sur un éventuel risque particulier de cancer chez les personnes qui se colorent elles-mêmes les cheveux. Environ 35% des femmes et 10% des hommes se colorent les cheveux en Europe, au Japon et aux Etats-Unis.

Une longue "monographie" sur le métier de coiffeurs détaillant les produits qu'ils manipulent a été mise en ligne pour accompagner la parution de Lancet Oncology (http://monographs.iarc.fr/ENG/Monographs/vol57/volume57.pdfri/). Cependant, la dernière mise à jour à ce sujet paraîtra dans le volume 99 de ces monographies, précise le CIRC.

17 experts de sept pays réunis en février à Lyon ont passé en revue les données portant sur un certain nombre de produits chimiques. Ils ont ainsi identifié quelques substances -des amines aromatiques- supplémentaires comme cancérogènes.

L'ortho-Toluidine utilisé dans la production de pigments et le "MOCA" utilisé dans l'industrie du plastique sont ainsi classés comme cancérogènes.

Chez les coiffeuses, certaines études mettent en exergue un risque accru de cancer des ovaires et d'une forme de cancer sanguin, le lymphome non-hodgkinien, mais sont contredites par d'autres études.

Le CIRC avait, pour d'autres raisons, classé en novembre 2007 le travail posté de nuit comme cancérogène probable.

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Joli déchet !!!

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L’actualité Santé du 29/03/ 08 08h15


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Mme Bachelot n'exclut pas d'interdire la vente d'alcool à emporter à tous les mineursLa ministre de la santé, Roselyne Bachelot, a annoncé jeudi qu'elle n'excluait pas d'interdire à l'automne à tous les mineurs la vente des boissons alcoolisées dans les commerces alimentaires.

Sur Europe 1, la ministre a indiqué qu'elle étudiait actuellement la situation dans les pays qui ont expérimenté une interdiction de vente totale "à tous les mineurs dans les circuits de distribution alimentaire".

"Je suis en train d'affiner les études pour prendre des dispositions", a-t-elle indiqué, prévoyant qu'une mesure puisse être prise "dans le cadre de la modernisation de l'organisation de la santé, à l'automne".

A ce jour, l'interdiction de vente, dans des cafés ou des commerces, de toute boisson alcoolisée, à consommer sur place ou à emporter, concerne seulement les moins de 16 ans. Dans les cafés, les mineurs de 16 à 18 ans ont le droit de consommer des boissons du deuxième groupe -vin, bière, cidre...

Mme Bachelot a réitéré l'intention du gouvernement d'interdire la vente d'alcool aux mineurs dans toutes les stations-service.

A la mi-février, le Premier ministre François Fillon avait annoncé que le gouvernement entendait interdire la vente d'alcool dans les stations-service, à l'issue d'un conseil interministériel de sécurité routière (CISR) tenu à Matignon.

Mme Bachelot a en outre réitéré son opposition à la légalisation du cannabis, "une drogue psycho-active extrêmement puissante". Elle s'est déclarée favorable à des "stages de sensibilisation et d'information sur les effets nocifs" des substances hallucinogènes.

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L’actualité Santé du 29/03/ 08 08h15


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Trop de graisse abdominale lié à des risques de démenceUn abdomen volumineux à l'âge mûr multiplie par trois le risque de développer la démence, selon une étude américaine.

"Considérant que 50% des adultes dans ce pays ont un problème d'obésité abdominale, c'est plutôt troublant", a indiqué l'auteur Rachel Whitmer de la division recherche de Kaiser Permanente à Oakland, Californie.

Etre en surpoids à l'âge mûr et au-delà a longtemps été mis en relation avec un risque accru d'attaques cérébrales, de diabète et d'accidents cardiaques. Mais c'est la première fois qu'une étude lie l'obésité abdominale à l'occurence de démences.

Les chercheurs ont mesuré la graisse abdominale de 6.583 personnes âgées de 40 à 45 ans et quelque 36 ans plus tard, 16% d'entre elles avaient développé la démence, indique l'étude publiée dans le journal Neurology.

Parmi les obèses, ceux qui n'avaient pas un ventre démesuré avait 80% de chances de plus de développer la démence que ceux dont le poids et le ventre étaient normaux.

Le risque de démence augmentait en revanche de 230% chez les personnes en surpoids avec un ventre important et de 360% chez les obèses avec un ventre important.

"Des autopsies ont montré que des changements dans le cerveau associés à la maladie d'Alzheimer commencent à apparaître dès la jeunesse et l'âge mur et une autre étude a déjà montré que beaucoup de graisse abdominale chez les adultes âgés avait des liens avec une atrophie du cerveau", a souligné l'auteur.