mardi 10 juin 2008

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Petite moto !!!


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L’actualité Santé du 10 /06/ 08


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Asthme et pollens: les allergiques doivent rester vigilants.

La saison des pollens de graminées se poursuivant, les allergiques doivent rester vigilants et suivre leur traitement, selon le dernier bulletin du réseau Aérobiologique (RNSA).

Les pollens de graminées "présents en grande quantité pendant chaque période ensoleillée, seront responsables d'un risque allergique moyen (principalement dans la partie sud de la France) à élevé et très élevé sur le reste de la France", écrit ainsi dans le dernier bulletin du réseau Michel Thibaudon, directeur du RNSA (voir sur le Net : www.pollens.fr/les-bulletins).

Il évoque ainsi les pollens d'olivier et de pariétaire "encore présents sur le pourtour méditerranéen, pouvant provoquer un risque d'allergie de niveau moyen" et recommande aux allergiques de "rester vigilants" et de "suivre leur traitement".

La semaine dernière, le niveau des crises d'asthmes était d'ordre modéré, d'après le réseau Sentinelles-Inserm qui a relevé sur la période du 2 au 8 juin, un taux d'incidence national des crises d'asthme de 29 cas pour 100.000 habitants.

Six foyers d'activité forte étaient cependant notés en régions Limousin (76 cas pour 100.000 habitants), Aquitaine (67), Champagne-Ardenne (67), Lorraine (60), Midi-Pyrénées (45) et Pays-de-La-Loire (42).

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Hummmmmmm !!!



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L’actualité Santé du 10 /06/ 08


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Handicap: 50.000 places nouvelles pour améliorer l'accueil des personnes handicapées.

Quelque 50.000 places d'hébergement seront créées en cinq ans pour l'accueil des handicapés, a annoncé Nicolas Sarkozy mardi lors de la Conférence nationale sur le handicap qui a mis l'accent sur l'emploi, sans répondre aux demandes portant sur un "revenu d'existence".

Rendez-vous d'étape prévu par la loi Handicap de 2005, la Conférence a donné l'occasion au président de la République de réaffirmer que le handicap était "une priorité" du gouvernement, mais aussi d'insister sur l'objectif d'intégration dans l'emploi des handicapés qui peuvent travailler.

"Une personne handicapée dans une entreprise, dans un collège, c'est pas une charge, c'est une chance", a déclaré M. Sarkozy en ouverture de la conférence.

"Pour les personnes handicapées comme pour tous les Français, nous conduisons une politique de valorisation du travail, qui doit lever les freins à l'emploi", a également indiqué le ministre du Travail et de la Solidarité Xavier Bertrand.

Le "pacte pour l'emploi" auquel le gouvernement convie les entreprises, devrait permettre de mieux repérer et accompagner vers l'emploi les personnes handicapées, mais ne prévoit pas de mesures coercitives supplémentaires pour les entreprises qui ne remplissent pas l'obligation de 6% d'embauche de travailleur handicapé (27.000 sur 100.000 dans le privé).

M. Sarkozy a demandé aux employeurs "d'être plus nombreux à s'engager sur des plans pluriannuels d'embauche" et de "contribuer à la qualification des personnes handicapées".

L'incitation au travail passe aussi par une réforme de l'Allocation adulte handicapé (AAH), qui doit devenir un "outil d'accompagnement vers l'emploi de ceux qui peuvent travailler".

Un bilan professionnel sera réalisé pour toute demande d'AAH, et il sera proposé un contrat d'insertion et d'accompagnement vers l'emploi à tous ceux qui se verront accorder la reconnaissance de la qualité de travailleur handicapé.

Le montant de l'AAH enfin prendra en compte mieux qu'aujourd'hui la capacité ou non à travailler.

M. Sarkozy a demandé aux ministres conernés, Valérie Létard et Xavier Bertrand, de "poursuivre la concertation" pour que la réforme de l'AAH soit inscrite dans la prochaine loi de finances.

Le second point fort de la conférence a porté sur l'accueil des handicapés en établissements spécialisés. Avec 15.000 enfants et 12.000 adultes sur des listes d'attente, de nombreuses familles sont contraintes d'aller en Belgique pour trouver une place d'accueil.

La création de 50.000 places nouvelles (12.000 pour enfants) en cinq ans en établissements et services a été annoncée mardi, pour "un effort de 1,5 milliard d'euros".

Ces places sont dédiées en priorité aux autistes (4.100), aux polyhandicapés et handicapés psychiques.

De son côté, le ministre de l'Education Xavier Darcos a indiqué que "10.000 élèves handicapés supplémentaires seraient accueillis en milieu ordinaire" et que 200 unités pédagogiques d'intégration (UPI) supplémentaires seraient créés à la rentrée 2008.

Mobilisées depuis plusieurs mois sur la question des ressources des handicapés qui ne peuvent pas travailler, pour lesquels elles réclament un "revenu d'existence décent égal au Smic", les associations sont restées "sur leur faim" sur ce point, ont-elles déclaré mardi.

"Certes, il vaut mieux que les gens travaillent, mais les personnes handicapées ont de vraies difficultés pour trouver du travail, on risque de les renvoyer vers le RMI", a affirmé Arnaud de Broca (Fnath).

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Taxi !!!!


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Soigner la tuberculose peut sauver la vie de malades du sida selon l'ONU.

Les personnes malades à la fois du sida et de la tuberculose peuvent vivre avec le virus mais mourir de l'infection pulmonaire, a souligné Winstone Zulu, un activiste zambien porteur du VIH, dans une conférence de presse à l'ONU lundi.

M. Zulu a expliqué que lui et ses quatre frères, déclarés séropositifs en 1991, ont tous contracté ultérieurement la tuberculose. Ses frères en sont morts faute d'avoir reçu un traitement contre la tuberculose. Lui seul, ayant reçu les soins nécessaires contre cette affection, mène une vie normale tout en étant toujours porteur du VIH.

L'envoyé spécial de l'ONU pour la lutte contre la tuberculose, Jorge Sampiao, a appelé pour sa part à une approche globale pour le traitement du VIH et de la tuberculose.

"Le sida est incurable mais il est possible de vivre avec, grâce aux anti-rétroviraux. En revanche, comme le système immunitaire est affaibli, vous pouvez mourir de la tuberculose pour laquelle existe pourtant un traitement", a-t-il expliqué.

Les deux hommes s'exprimaient à l'occasion d'un forum sur les avancées en matière de lutte contre le VIH organisé par le Programme commun des Nations unies sur le VIH-sida (Onusida).

Un rapport du secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, annonce une diminution des infections par le sida et du nombre de morts dues au VIH sur la dernière décennie. Il souligne cependant que quoique sans précédent, l'augmentation de l'accès aux anti-rétroviraux ne suit pas le rythme de propagation de l'épidémie.

Le rapport est basé sur l'étude des données présentées par 147 gouvernements.

D'après cette étude réalisée en décembre 2007, 33,2 millions de personnes vivent avec le VIH, l'accès aux anti-rétroviraux a augmenté de 42% l'année dernière, atteignant 3 millions de personnes dans les pays à faibles et moyen revenus, soit environ 30% de ceux qui en ont besoin. Le pourcentage de femmes infectées recevant un traitement de prévention contre la transmission mère-enfant est passé de 14% en 2005 à 35% en 2007.

L'Afrique subsaharienne est la plus touchée avec 68% des adultes infectés, 90% des enfants porteurs du virus dans le monde et 76% de toutes les morts causées par le sida. Le nombre de nouvelles infections a globalement reculé sauf en Chine, Indonésie, Russie et Ukraine, indique le rapport.

Peter Piot, chef de l'Onusida, a attiré l'attention sur l'importance de la prévention. "Tous les jours, près de 7.000 personnes sont infectées par le sida car elles n'ont pas accès à la prévention", a-t-il dit.

Les trois jours de conférence ont pour but d'évaluer les progrès réalisés dans la poursuite des Objectifs du millénaire pour le développement qui comprennent l'accès universel à la prévention et au traitement du VIH.

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Non !!! pas caca !!!!



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La maladie de Chagas arrive en Ile-de-France.

La maladie de Chagas, une infection due au parasite Trypanosoma cruzi transmise par un insecte et endémique du nord du Mexique à la Patagonie, a fait son apparition en Ile-de-France avec 18 cas importés recensés depuis 2004.

Selon une étude publiée dans le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH), cette infection à trypanosome (parasite du sang) engendre dans 30% des cas des complications cardiaques ou digestives.

17 cas sur 18 concernent des personnes venant de Bolivie, le 18ème venant du Salvador, et deux patients ont dû bénéficier de l'implantation d'un pacemaker, selon cette étude réalisée par des médecins dans deux centres hospitaliers franciliens.

En région Ile-de-France, souligne le BEH, on n'avait compté qu'un seul cas de maladie de Chagas avant les années 2000, en 1988. 9 cas ont été rapportés entre 2004 et 2006, et 9 encore au cours de la seule année 2007.

Comme le nombre de migrants d'Amérique latine vivant en France est supérieur à 60.000, sans compter les migrants en situation irrégulière et les Français de Guyane, cela laisse supposer "davantage de cas", estiment les médecins, pour qui "il pourrait exister environ 600 cas chroniques sur le territoire métropolitain".

La prévalence de la maladie de Chagas a considérablement baissé depuis 2000 en Amérique latine, du fait d'initiatives internationales, mais la Bolivie est restée un pays très touché, avec plus de 30% de gens atteints dans certaines régions.

Depuis le début du siècle, la maladie émerge dans des zones non endémiques, suivant les flux migratoires.

En Suisse, 25 cas ont été répertoriés chez les migrants, et en Espagne plusieurs centaines au cours des dernières années, surtout des femmes en âge de procréer provenant de Bolivie.

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équilibriste !!!


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Une femme sur deux et deux hommes sur trois sont trop gros.

La France n'est pas protégée de l'épidémie mondiale d'obésité, ont mis en garde mardi des épidémiologistes, alors qu'une nouvelle enquête revoit à la hausse les chiffres du surpoids: deux tiers des hommes et la moitié des femmes de 35 à 74 ans seraient en surcharge pondérale.

67% des hommes et 50% des femmes de cette tranche d'âge étaient en surpoids (IMC supérieur ou égal à 25) ou obèses (IMC supérieur ou égal à 30), selon une enquête de population menée de 2005 à 2007 dans trois régions françaises, pour estimer l'évolution des facteurs de risque cardiovasculaire (obésité, tabac, diabète..).

20,6% des hommes et 20,8% des femmes étaient obèses (leurs taille et poids ayant été mesurés).

L'enquête Mona Lisa (MOnitoring NAtionaL du rISque Artériel) s'est déroulée de 2005 à 2007, dans la continuité de l'étude Monica (étude internationale coordonnée par l'OMS), dans les départements du Bas-Rhin et de la Haute-Garonne et dans la Communauté urbaine de Lille. Elle a inclus 4.800 sujets âgés de 35 à 74 ans.

Les tout premiers résultats font craindre "une sous-estimation" des chiffres de référence de l'obésité, a souligné Philippe Amouyel, directeur de l'Institut Pasteur de Lille.

L'étude Obepi (réalisée par déclaration téléphonique) estimait, en 2006, la proportion des adultes en surpoids à 30% et celle des adultes obèses à 12,4%. Deux autres études publiées récemment montraient en 2006-2007 une prévalence de l'obésité adulte de 17% et du surpoids de 32,4%.

L'enquête Mona Lisa confirme des disparités géographiques connues, avec davantage de surcharge pondérale à Lille qu'à Toulouse.

Autre facteur de risque cardiovasculaire, le tabagisme a diminué (23% de fumeurs). L'enquête Mona Lisa montre que la proportion de fumeuses a diminué chez les jeunes femmes, mais augmenté chez les 45-54 ans. Phénomène nouveau, les femmes qui fument n'arrêtent pas de fumer à la quarantaine comme elles le faisaient il y a 10 ans, a souligné Dominique Arveiler (Université Louis Pasteur, Strasbourg).

Toujours selon la même enquête, trois autres facteurs de risque (diabète, cholestérol et hypertension) sont mal ou insuffisamment pris en charge.

Ainsi, près de 40% des patients traités pour un diabète ont une glycémie supérieure à la norme. Comme l'obésité, le diabète fait apparaître des disparités régionales (9,6% dans la région de Lille, 9,9% dans celle de Strasbourg et 7% dans celle de Toulouse). Dans la tranche d'âge 65-74 ans, on dénombre 19,9% de diabétiques chez les hommes (11,5% chez les femmes).

Le contrôle de l'hypertension s'est amélioré, mais 2 femmes sur 3 et 3 hommes sur 4 traités ne respectent pas les valeurs cibles. Selon l'enquête Mona Lisa, 53% des hommes et 40% des femmes sont hypertendus, la proportion atteignant 80% des hommes les plus âgés (65-74 ans).

En ce qui concerne le traitement de l'excès de cholestérol, "on est très loin du compte", a souligné le cardiologue Jean Ferrières (Inserm, Toulouse), avec à peine la moitié des patients les plus exposés sur le plan cardiovasculaire traités.

L'enquête Mona Lisa a été conduite par l'Institut Pasteur de Lille, l'Université Louis Pasteur de Strasbourg et l'Inserm de Toulouse, avec le soutien des laboratoires Pfizer.

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Echec et Mat !!


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Les complémentaires santé ont 5 fois plus de frais de gestion que la Sécu.

Les frais de gestion des complémentaires santé (mutuelles, assurances, instituts de prévoyance) atteignent 25,4%, alors que ceux de l'assurance maladie n'atteignent que 5,4%, selon une étude de la Cour des comptes réalisée à la demande du Sénat et dévoilée mardi par Les Echos.

"Si le taux des frais de gestion atteint 5,4% pour l'assurance maladie obligatoire, il est en moyenne de 25,4% pour les assurances complémentaires, mais avec des montants très variés selon les acteurs", a déclaré le 4 juin à la Commission des affaires sociales la présidente de la 6e chambre de la Cour, Rolande Ruellan, selon un bulletin du Sénat rendant compte de cette étude.

Pour Vincent Touzé, de l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE), "plus on est gros, plus les coûts fixes sont faibles, ça peut être une bonne raison" pour expliquer cet écart.

De grandes structures comme l'assurance maladie "gèrent une masse telle que, globalement, il y a des coûts qui sont assez faibles. C'est d'ailleurs un des arguments des défenseurs de l'assurance publique", a-t-il précisé à l'AFP.

En outre, ces structures "n'ont pas besoin de dépenses marketing. Or, quand on met les entreprises en concurrence, il y a des frais importants (...) Elles ont des dépenses publicitaires, mais il y a aussi toute une logique commerciale: il faut payer des gens pour vendre", a estimé M. Touzé.

Selon Mme Ruellan, "l'étude de la Cour met également l'accent sur le montant des fonds publics consacrés à accroître le taux de couverture de la population par des assurances complémentaires. En additionnant les diverses aides (...) on obtient un montant total de 7,6 milliards d'euros, soit environ 35% du montant des prestations complémentaires versées", a-t-elle affirmé.

"Ce montant qui n'est pas neutre représente le coût, pour la collectivité, du déplacement du remboursement de certaines dépenses de l'assurance maladie obligatoire vers les assurances complémentaires", a-t-elle poursuivi.