mercredi 4 juin 2008

~ LA BLAGUE DU JOUR ., !!!~

Arrestation musclée !!!


~ une petite info santé!!!~

L’actualité Santé du 04 /06/ 08


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Secret médical : parfois des exceptions ?

Faut-il annoncer à un patient que son conjoint est séropositif au VIH ? Cette question, soulevée par le sondage de la semaine, a posé un problème d'éthique : le secret médical doit-il être respecté dans ce cas ?


55% de participants ne dévoileraient rien de la maladie d'un de leur patient au conjoint de ce dernier, s'ils se trouvaient dans cette situation. Ces derniers sont en accord avec la Loi.

Le code pénal est en effet clair à ce sujet. Selon l'article 226-13, "La révélation d'une information à caractère secret par une personne qui en est dépositaire soit par son état ou sa profession, soit en raison d'une fonction ou d'une mission temporaire, est punie d'un an d'emprisonnement et de 15 000 euros d'amende"

Le texte s'applique tant pour les médecins que les internes, les externes, les étudiants en médecine, les psychologues, les infirmiers, les aides-soignants...Le code de déontologie médicale dispose également deux articles dans ce sens, précisant notamment que "le secret couvre tout ce qui est venu, à la connaissance du médecin dans l'exercice de sa profession, c'est-à-dire non seulement ce qui lui a été confié, mais aussi ce qu'il a vu, entendu ou compris".

Jean Vilanova, professeur de droit et expert auprès du Conseil de l'Europe, est revenu sur le thème du secret professionnel lors de nos émissions réalisées en partenariat avec La Médicale de France. Il énonce les risques encourus par les professionnels qui entraveraient la loi.

~ LA BLAGUE DU JOUR ., !!!~

Avec 32 agents actifs !!! Lave plus blanc que blanc !!!


~ une petite info santé!!!~

L’actualité Santé du 04 /06/ 08


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Projets européens: médecins et pharmaciens refusent une santé "marchandise".

Médecins et pharmaciens français se mobilisent contre des projets de la Commission européenne qui risquent, selon eux, de transformer en "marchandises" des services de santé "de proximité".

Moins d'un mois avant que la France assume la présidence tournante de l'Union européenne, l'Ordre des médecins et des principaux syndicats de praticiens, dans une prise de position commune inédite, ont demandé mardi au gouvernement de "protéger des appétits financiers" le secteur de la santé, menacé selon eux par un "diktat de la Commission".

Les médecins font notamment allusion aux demandes de Bruxelles visant à ouvrir davantage le capital des laboratoires d'analyses français à des non professionnels, dont la part est actuellement limitée à 25% du total. La Commission souhaiterait aussi modifier l'actionnariat des pharmacies, déclenchant des réactions de défense des pharmaciens dans les médias.

La France, qui compte quelque 23.000 pharmacies implantées un peu partout sur son territoire, interdit jusqu'à présent qu'un même titulaire puisse posséder plus d'une officine et exige que le propriétaire soit un pharmacien, deux conditions qui empêchent les groupes de distribution de pénétrer sur le marché de la distribution de médicaments.

Selon le président du principal syndicat de médecins libéraux, la CSMF, Michel Chassang, les projets de la Commission ne sont qu'un début : "On va commencer par les labos et les pharmacies, puis aller vers les centres de radiologie ou les centres de réadaptation et, progressivement, vers les cabinets médicaux de groupe".

"C'est ce qui s'est fait dans tous les services et, aujourd'hui, il ne reste plus aucun service dans les campagnes, pas même la Poste. Tout ceci va complètement à l'encontre de l'aménagement du territoire et de la volonté du gouvernement de maintenir des services de santé de proximité", a-t-il déclaré.

L'Ordre et les syndicats de médecins demandent "au gouvernement et au Parlement de maintenir la réglementation qui, jusqu'à présent, a garanti la qualité des soins et l'indépendance professionnelle".

"La santé ne doit pas devenir une marchandise livrée aux spéculations financières avec des processus de concentration et une recherche de rentabilité immédiate", mettent-ils en garde.

Selon l'Ordre, le gouvernement en est "parfaitement conscient, compte tenu des expériences dans l'hospitalisation privée, des risques de financiarisation".

La part croissante des fonds de pension, tel Blackstone, dans le capital des cliniques françaises avait notamment été soulignée en avril dans un rapport remis au gouvernement par l'ancien ministre du Travail Gérard Larcher.

M. Larcher avait souhaité que "les règles éthiques et déontologiques soient bien observées, que ce ne soit pas simplement la rentabilité financière" qui prédomine.

Pour M. Chassang, c'est parfois déjà le cas: "certaines cliniques exigent, par exemple, qu'on pose une prothèse de hanche meilleur marché, même si ce matériel n'est pas le meilleur".

Chez les pharmaciens, Ordre et syndicats sont également unis contre ce type de risque, alors qu'Alliance Boots, racheté en 2007 par le fonds d'investissement américain KKR, aurait selon eux fait connaître en début d'année son souhait de pouvoir acheter 1.200 pharmacies en France.

Le ministère de la Santé n'a pas fait de déclarations.

En avril, il avait indiqué avoir demandé à la Commission un délai supplémentaire pour "finaliser avec les professionnels la réforme déjà en cours", en affirmant qu'elle ne concernait "que les laboratoires".

~ PETITE DECLARATION D' AMOUR, !!!~

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L’actualité Santé du 04 /06/ 08


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L'Acomplia, anti-obésité de Sanofi-Aventis, serait lié à 5 décès au Royaume-Uni.

L'Acomplia (rimonabant), le médicament anti-obésité du groupe pharmaceutique Sanofi-Aventis, a été lié à cinq décès depuis son lancement au Royaume-Uni en 2006, selon des données diffusées mardi par l'Agence britannique des médicaments.

Selon un document publié sur le site internet de la Medicines and Healthcare products Regulatory Agency (MHRA), le médicament a été mentionné à 720 reprises dans des cas d'effets indésirables, et cinq fois dans des cas de décès (dont un suicide).

Joint à Paris, un porte-parole de Sanofi-Aventis a souligné qu'"aucun lien de causalité ne peut être établi avec certitude, comme cela est classiquement le cas dans ce type de rapport".

"Parmi les cinq décès évoqués, trois patients dont on sait qu'ils présentaient un certain nombre de risques cardio-vasculaires liés à l'obésité sont morts de causes cardio-vasculaires, et un patient est décédé d'une cause infectieuse", a-t-il affirmé.

Le rimonabant, découvert dans les années 1990, est présenté comme capable de traiter le surpoids et les désordres cardio-métaboliques qui lui sont associés, mais des incertitudes pèsent sur les espoirs du groupe d'en faire un médicament vedette.

L'Union européenne a autorisé sa commercialisation en juin 2006, sous la marque Acomplia, pour le traitement de certains types d'obésité. Aux Etats-Unis toutefois, un marché crucial, des experts sanitaires ont rejeté l'année dernière la demande de son homologation, jugeant que le produit pouvait entraîner une augmentation des pensées suicidaires, même chez les patients sans antécédents de dépression.

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Economie !!!


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A "Oaksterdam", les étudiants cultivent le cannabis malgré la loi fédérale.

Les étudiants d'une école privée d'Oakland, près de San Francisco, apprennent à faire pousser et à préparer le cannabis pour l'administrer à des fins médicales, même si les autorités fédérales continuent leur répression dans un Etat ouvert à ce genre de pratiques.

Le but de l'université d'"Oaksterdam" - comme l'ont surnommé les locaux, en référence à l'approche libérale de la ville d'Amsterdam vis-à-vis de cette drogue - est d'éduquer les personnes aux bénéfices du cannabis et d'encourager les diplômés à ouvrir leurs propres dispensaires en Californie.

Dans cet Etat, comme dans 11 autres Etats américains, la loi autorise l'utilisation du cannabis à des fins médicales, mais la législation fédérale interdit toute possession de cannabis.

L'école d'Oakland, qui a repris un modèle existant à Amsterdam, a ouvert en novembre et a récemment commencé à proposer des cours à Los Angeles.

Jusqu'ici 200 étudiants ont reçu un diplôme et plus de 500 personnes se sont inscrites.

Les thèmes étudiés vont de l'histoire du cannabis, aux politiques vis-à-vis de cette substance à l'horticulture. Les cursus incluent aussi des jeux de rôle pour savoir comment se comporter si l'on est arrêté par un policier et des méthodes pour prendre soin des plants, faire sécher les feuilles et réduire l'odeur qu'elles dégagent.

Christie, 56 ans, qui travaille pour des sites internet en "freelance", préfère ne pas révéler son nom de famille mais explique être venue dans cette école pour connaître les lois entourant le cannabis, sujettes à des évolutions régulières.

L'automne dernier par exemple, l'agence fédérale antidrogue (Drug enforcement administration, DEA) a envoyé des lettres à ces dispensaires pour leur demander de fermer leurs portes, faute de quoi ils s'exposeraient à des amendes.

"Une intervention fédérale fait un peu peur, donc je voulais vraiment comprendre tous les aspects légaux de la question", raconte Christie.

Souffrant de dépression, elle a pris du Prozac pendant des années, mais elle souffrait d'effets secondaires.

Son fils lui a alors proposé de prendre du cannabis et elle dit que cela lui a fait beaucoup de bien. "Je me sens plus joyeuse et je peux finalement mieux dormir", dit-elle, en soulignant ne plus prendre d'antidépresseurs.

Les responsables d'"Oaksterdam" mettent en avant les effets antidouleurs auprès de personnes souffrant notamment de cancers, de sclérose en plaques et du HIV/sida.

Ils avancent aussi que la légalisation de cette drogue a permis d'augmenter les revenus de l'Etat via les taxes.

"Le gouvernement dépense des sommes astronomiques pour faire appliquer les lois antidrogues et mettre les gens en prison", déplore Danielle Schumacher, responsable de l'école d'Oakland. "Quand l'agence DEA fait des descentes dans les dispensaires et saisit des biens, ils s'en prennent en réalité aux revenus de l'Etat de Californie", poursuit-elle.

Sans surprise, la création de cette école spéciale n'a pas été bien accueillie par la DEA, qui estime que c'est une façon d'envoyer un mauvais message et que cela encourage la criminalité.

"Cela renforce une attitude très complaisante de la part du public comme quoi le cannabis est sûr et efficace, alors que ce n'est pas le cas", affirme Michael Chapman, un agent de la DEA travaillant au bureau de San Francisco.

Danielle Schumacher espère elle que l'usage médical augmentera encore.

"Nos élèves utilisent leurs diplômes pour faire du lobbying à différents niveaux du gouvernement", que ce soit en Californie, à Washington ou ailleurs, résume la responsable.

~ TUNING, !!!~

Fiat stilo en tuning !!!


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L’actualité Santé du 04 /06/ 08


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Poulets chlorés américains: 26 pays européens contre leur retour dans l'UE.

Les experts vétérinaires de 26 pays européens sur 27 ont voté contre toute importation dans l'UE de poulets américains désinfectés dans une solution chlorée, interdits depuis plus de dix ans, ont indiqué mardi des sources européennes.

L'opinion des experts, réunis lundi et mardi à Bruxelles, va être "analysée" par la Commission européenne, a indiqué mardi un porte-parole, très peu prolixe sur la question. Elle devrait être soumise prochainement à un Conseil des ministres de l'Agriculture des 27.

Seul le Royaume-Uni s'est abstenu lundi lors du vote des experts.

Dans une première réaction, le parti des Verts européens a appelé la Commission européenne à "abandonner immédiatement" son projet de réintroduction du poulet américain désinfecté avec des produits chimiques.

"La désinfection au chlore de poulets destinés à la consommation humaine n'est pas acceptable pour l'UE et ne recueillera pas de majorité" parmi les Etats membres et au sein du Parlement européen, a souligné la co-présidente du groupe, l'eurodéputée italienne Monica Frassoni.

"L'Europe doit être ferme face aux demandes de pays souhaitant faire du commerce avec l'UE et qui doivent accepter les normes européennes", a-t-elle insisté.

La Commission a proposé la semaine dernière d'autoriser à nouveau la commercialisation de ces poulets américains, à condition d'être dûment étiquetés pour informer les consommateurs et de répondre à des critères très stricts.

Cette proposition est essentiellement destinée à honorer une promesse faite à Washington en novembre, dans la perspective d'un sommet UE/Etats-Unis prévu le 10 juin en Slovénie.

Au final, la proposition de texte de Bruxelles pourrait ne pas être du goût des Américains en raison de son caractère très contraignant.

Il y a quinze jours, juste avant la présentation du texte par la Commission, 21 des 27 ministres européens de l'Agriculture s'étaient déjà prononcés contre le retour des poulets chlorés américains.

~ TUNING, !!!~

Clio en tuning !!!


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Effets bénéfiques du vin rouge pour le coeur, même pris en faible quantité.

Un constituant naturel du vin rouge, le resveratrol, semble avoir, pris en faible quantité, des effets bénéfiques pour le coeur similaires à ceux d'un régime alimentaire, selon une étude internationale publiée mercredi dans le PLoS, journal spécialisé sur l'internet.

Plusieurs études sur des souris ont déjà mis en évidence les effets positifs pour certains cancers (prostate notamment) de l'ingestion de resveratrol, mais en quantité équivalant à une bouteille de vin par jour pour un humain.

Or, la consommation de vin ne devrait pas dépasser trois verres par jour pour un homme et deux pour une femme, selon l'Organisation mondiale de la santé. Une consommation excessive est liée à l'augmentation des risques de certains cancers.

Les chercheurs ont glissé dans la nourriture de souris d'âge moyen de faibles doses de resveratrol, que l'on trouve aussi notamment dans le raisin et la grenade. Ils ont constaté que cet agent, dont les effets étaient comparables à une restriction alimentaire (20 à 30% de moins de calories qu'un régime ordinaire), avait une influence sur les leviers génétiques du vieillissement et pourrait conférer une protection spéciale au coeur.

"Le resveratrol est actif à des doses beaucoup plus faibles qu'on le pensait, et son effet ressemble à celui de la restriction calorique au niveau de l'expression génétique", a souligné Tomas Prolla, professeur de génétique à l'université de Madison (Wisconsin, Etats-Unis), et un des responsables de l'étude. Une autre responsable, Jamie Barger, de LifeGen Technologies, une entreprise spécialisée en génétique du vieillissement, a parlé même de similarités remarquables.

Pour les auteurs de l'étude, un verre de vin ou des suppléments alimentaires contenant même de faibles doses de resveratrol semblent donc jouer "un rôle fort dans le freinage du vieillissement cardiaque". Ce qui pourrait expliquer la moindre atteinte aux maladies cardio-vasculaires de populations consommatrices de vin, comme les Français ou les habitants de pays du sud de l'Europe.

Ils notent cependant qu'il faudra d'autres études pour montrer si le resveratrol peut prolonger la vie de façon similaire à la restriction calorique.

~ TUNING, !!!~

Mégane en tuning !!!


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L’actualité Santé du 04 /06/ 08


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Un vaste laboratoire clandestin de médicaments démantelé près de Lyon.

Un laboratoire clandestin de fabrication de médicaments non autorisés, destinés notamment à des malades atteints d'un cancer, a été démantelé à Messimy (Rhône) à la suite d'une enquête de "plusieurs semaines" qui a mis fin à un trafic d'une ampleur inégalée en France.

"Plusieurs centaines de patients sont concernés par l'activité du laboratoire qui est sans doute le premier de cette ampleur à être démantelé en France", a déclaré à l'AFP le colonel Thierry Bourret, directeur de l'Office central de lutte contre les atteintes à l'environnement et à la santé publique (OCLAESP).

Ce dernier n'a toutefois pas été en mesure de donner des précisions sur la dangerosité des produits saisis qui sont des contrefaçons "fabriquées et distribuées sans autorisation légale".

Neuf personnes ont été placées en garde à vue à Messimy, petite commune située à une quinzaine de kilomètres à l'ouest de Lyon où s'est déroulée à partir de 9H30 l'opération de démantèlement, selon une source proche de l'enquête.

Des perquisitions ont été menées tout au long de la journée dans le laboratoire clandestin qui avait été installé au rez-de-chaussée d'une vaste maison d'habitation de deux étages.

Les enquêteurs de l'OCLAESP ont démantelé "l'ensemble de la chaîne" de distribution et de fabrication des médicaments qui "n'avaient aucune autorisation légale".

Présentés sous forme de gélules, de suppositoires ou encore de crèmes, ils étaient conditionnés sur place à partir des matières premières, puis empaquetés avant d'être expédier par la poste, les commandes étant confirmées par fax.

Aidé des sections de recherche (SR) de la gendarmerie de la région Rhône-Alpes, l'OCLAESP a effectué une "enquête de plusieurs semaines" après des plaintes de patients d'une part, de l'Agence française de sécurité sanitaire d'autre part dans toute la France.

Les gendarmes ont agi sur commission rogatoire d'un juge du pôle de santé publique de Marseille.

Outre les médicaments, qui représentent un volume de plusieurs mètres cubes, l'opération de mardi a également permis la découverte de listings et de factures, éléments précieux pour localiser les patients destinataires des produits.

"Nous n'avons pour l'heure qu'une vision parcellaire de l'affaire mais nous pensons que les malades sont des personnes atteintes de maladies graves et de cancer", a souligné le colonel Bourret.

"Nous ignorons également comment les malades ont pu entrer en contact avec le réseau: bouche à oreille, téléphone, internet, l'enquête le dira", a-t-il dit.

Les neuf personnes interpellées, des hommes et des femmes au profil "très discret", sont toutes originaires de la région lyonnaise. L'enquête qui débute aura essentiellement pour but, selon le directeur de l'OCLAESP, "de déterminer les responsabilités de chacun dans l'activité du réseau ainsi que l'ampleur exacte du trafic".