dimanche 15 juin 2008

~ CLIP VIDEO !!!~



Raté !!!



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Au bouillon !!!



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Ecrasé !!!


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L'élastique CASSE !!!


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Ouille !!!


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Fait le beau !!!


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C'est perdu !!!


~ une petite info santé!!!~



L’actualité Santé du 14 /06/ 08


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Maisons Médicales de Garde : l’alerte est donnée !


Paris XVIe, XIVe et XIXe. Les Maisons Médicales de Garde ne sont qu’au nombre de trois dans la capitale. Une alternative aux urgences, les patients peuvent s’y adresser pour des « couacs » médicaux sans gravité : fièvre, diarrhées, angines…Le dispositif peine à se développer faute de moyens disposés par le gouvernement, selon le quotidien métro. Dur dur aussi pour les praticiens de se porter volontaire pour être de garde sans indemnité. Les médecins libéraux donnent l’alerte aujourd’hui.

Une centaine de médecins libéraux se relayent chaque semaine pour accueillir les patients dans les trois Maisons Médicales de Garde parisiennes. Le système repose sur le bénévolat. Guy Cadoche, médecin généraliste, régulateur du centre 15 et coordinateur de la récente MMG Paris Ouest juge la situation catastrophique. « Le gouvernement préconise ce dispositif. Pourtant, les fonds alloués aux MMG viennent d’être réduits ». Selon lui, les maisons médicales de garde sont moins coûteuses pour la société.


Un rapport de la Cour des comptes de 2007 détaille en effet qu’une visite coûte 48 euros dans une MMG alors que les urgences hospitalières, qui pratiquent des examens complémentaires font augmenter la note de 175 euros. Affaire à suivre…

~ LA BLAGUE DU JOUR ., !!!~



Hé oui !!!!


~ une petite info santé!!!~



L’actualité Santé du 14 /06/ 08


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Hôpital de Carhaix: le comité de défense durcit ses actions.

Blocage de routes et de gares, "siège" de la préfecture, manifestations ponctuées d'affrontements: depuis trois semaines les défenseurs de l'hôpital de Carhaix ont durci leurs actions et veulent éviter à tout prix la fermeture de la maternité et de la chirurgie.

Le comité de défense de l'hôpital, situé en centre Bretagne, mobilise élus, personnel, syndicats, associations et citoyens qui s'opposent à la fermeture des deux services, effective depuis le 6 juin.

L'agence régionale d'hospitalisation (ARH), qui a dénoncé dans un rapport plusieurs manquements à la sécurité, a repoussé au 29 août la fermeture définitive, et parle de "suspension". Mais le comité exige un moratoire de 18 mois pour présenter un projet médical permettant de sauver la chirurgie et la maternité.

Samedi matin, 400 à 500 manifestants ont investi le centre de Quimper, quadrillé par les gendarmes mobiles, aux cris de "Carhaix résistance", dansant la gavotte au son du biniou et de la cornemuse, autour de la cathédrale Saint-Corentin.

Parmi les militants partisans d'une radicalisation, certains évoquent un possible blocage du Tour De France qui doit partir de Brest le 5 juillet. "C'est une quasi-certitude, des actions seront organisées, ce n'est pas un baroud d'honneur, nous sommes partis pour une longue lutte", explique à l'AFP Mathieu Guillemot, militant LCR, qui affirme s'exprimer au nom de "plusieurs membres" du comité.

"Je serai le premier à faire le médiateur pour éviter cela, mais c'est l'Etat qui provoque le désordre en fermant des services, et il y a des actes de désespoir", a répondu Christian Troadec, le maire DVG de Carhaix.

Très organisé, le comité de défense tient "bivouac" tous les jours devant l'hopital et ses actions "coup de poing" ne sont pas annoncées à l'avance.

"Carhaix est une petite ville de 8.000 habitants, tout le monde se connaît, il y a 180 associations, il suffit de passer quelques coups de fils pour mobiliser", explique le maire, qui fait référence au réseau fournissant chaque année des centaines de bénévoles au Festival des Vieilles Charrues.

Les défenseurs de l'hôpital évoquent tous un "sentiment d'abandon et d'injustice" pour le centre Bretagne, qui se trouve à plus de 45 minutes des hôpitaux de Brest, Quimper ou Lorient.

Invoquant "l'exception géographique", ils ont attaqué l'arrêté de l'ARH devant le tribunal administratif. L'audience est prévue le 25 juin.

Mais, la multiplication des blocages et des manifestations commence à entamer leur capital de sympathie. A Quimper, les commerçants se disent "fatigués" par les actions qui perturbent régulièrement leur activité.

Alors, les carhaisiens n'hésitent pas à utiliser l'humour et la provocation. Samedi, ils ont "tiré" avec une réplique de canon sur les gendarmes pour récupérer une catapulte confisquée samedi dernier.

~ IMAGE (Pour un petit sourire)!!!~



Coupé 2 places !!!



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L’actualité Santé du 14 /06/ 08


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Plan cancer: de "réels progrès" mais un goût d'inachevé.

Le Plan cancer 2003-2007, un des grands chantiers de Jacques Chirac, a "incontestablement produit des effets positifs" et de "réels progrès", mais il serait dommage de s'arrêter là, a résumé Philippe Séguin en rendant public jeudi un rapport de la Cour des Comptes.

Pour le Premier président de la Cour, il importe maintenant de savoir si l'effort entrepris va se poursuivre car "il serait vraiment dommageable de laisser ce plan en route".

A côté des progrès accomplis dans la prévention du tabagisme et le dépistage, en particulier du cancer du sein, le rapport pointe les "carences préoccupantes" concernant les cancers professionnels et "l'inefficacité du plan" face à l'alcool.

"Les inégalités géographiques restent importantes", constate M. Séguin.

En 2006, le taux de dépistage organisé pour les femmes de 50 à 74 ans - par opposition au dépistage individuel - ne dépassait 60% qu'en Bretagne et Pays de La Loire alors que la Corse, l'Ile de France et la Lorraine n'atteignaient pas 40%.

Pour l'accès aux tests de prédisposition génétique aux cancers du sein dans des consultations spécialisées, Aquitaine, Midi-Pyrénées et Picardie accusent un "retard marqué".

Un tiers des 70 mesures du plan ont été réalisées intégralement ou largement, un tiers à un degré moyen ou variable, et un tiers peu ou pas du tout, résume le rapport. Il pointe l'absence de dispositif d'évaluation.

La Cour "rappelle pour la troisième fois en sept ans" la nécessité, en cancérologie, de suivre la réalisation des plans, d'en chiffrer le coût et d'en évaluer l'impact sanitaire au regard des objectifs.

Le cancer est devenu la première cause de mortalité, devant les maladies cardio-vasculaires. Il touche quelque 1,5 million de patients, avec 320.000 nouveaux cas par an.

Les dépenses de santé en matière de cancer sont d'environ 15 milliards d'euros par an. Le plan a globalement majoré d'environ 4% les financements antérieurs, estime le rapport. Sans que l'augmentation des taxes sur droits du tabac y participe comme initialement prévu.

Malgré "d'incontestables avancées", le plan "n'a que partiellement réduit les inégalités d'accès aux soins" et à des soins de "qualité".

"Il y a des établissements où l'on a plus de chances d'avoir une évolution favorable que dans d'autres", a relevé M.Séguin. "Il nous semble qu'il faut bien définir les critères en personnels, en formation, en matériel des établissements" et au besoin "arrêter l'activité en cancérologie là où il n'apparaît pas que les moyens les plus pointus existent", a-t-il dit.

Dans cette optique d'amélioration de la qualité des soins et des chances de survie, il regrette ainsi le retard apporté à la création d'une procédure d'agrément autorisant à pratiquer la cancérologie dans les établissements publics et privés.

En chimiothérapie, par exemple, un tiers des 705 établissements réalisant ces traitements en 2006 ne remplissait pas les critères d'agréments, faute d'en faire suffisamment.

Au chapitre social, le rapport relève l'écart entre le discours et la réalité: "Cinq des sept mesures ont été faiblement ou pas du tout mises en oeuvre", comme l'insertion professionnelle, le maintien ou le retour à l'emploi.

Parmi d'autres perles, la Cour épingle "un dispendieux service téléphonique". Elle cite Cancer-Info-Service, dont "le coût de traitement de l'heure avait atteint le niveau extravagant de 812 euros en 2004".

Le plan 2003-2007 a pris le relais d'un premier plan 2000-2005 sans que ce dernier soit achevé, mais avec des moyens plus substantiels.

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Disco mobile !!!


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L’actualité Santé du 14 /06/ 08


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Espagne: deux ados soignés pour une addiction à leur téléphone portable.

Deux adolescents de 12 et 13 ans sont soignés dans un centre spécialisé à Lleida (nord-est) pour une "addiction au téléphone portable", selon une responsable du centre citée samedi par l'édition en ligne du journal El Mundo.

"Ils sont arrivés pour leur addiction à +Messenger+ (système d'envoi de messages rapides sur internet, ndlr) mais nous avons vu qu'ils avaient aussi une addiction au téléphone portable", déclare Maite Utgés, directrice d'un centre de pédopsychiatrie à Lleida.

Ces deux ados possédaient un téléphone portable depuis un an et demi qu'ils utilisaient sans cesse et sans contrôle de la part des parents, ce qui a contribué à les mettre en échec scolaire, explique encore la responsable du Centre de santé mentale infantile et juvénile de Lleida.

Le traitement des deux jeunes patients durera au moins deux ans, selon Mme Utgés qui estime qu'"il n'est pas facile" de se défaire d'une telle habitude alors que les enfants passaient en moyenne cinq à six heures par jour sur leur portable.

Le centre de Lleida a la particularité de soigner au total 20 enfants et adolescents pour leur addiction à internet, précise El Mundo.

L'Agence antidrogue espagnole estime qu'environ 10% des adolescents de Madrid souffrent d'addiction au téléphone portable ou à internet, indique El Mundo.

L'âge moyen de première acquisition d'un téléphone portable chez les jeunes espagnols est de 12 à 14 ans alors que les experts recommandent de ne pas en acheter avant 16 ans, souligne encore l'édition en ligne du quotidien.