dimanche 16 mars 2008

~ PETITE DECLARATION D' AMOUR, ~








Un Homme Comme Toi



Mes mains te cherchent dans la nuit

Mais près de moi la place est vide

J'attends un peu et je me dis

Que dans quelques temps tu combleras ce vide

J'ai rêvé toute ma vie d'avoir un homme comme toi

Et mon voeu fut exaucé

C'est grâce au net que je me suis rapprochée de toi

Aujourd'hui je ne peux plus te quitter

Tu a rempli mon coeur de joie

Et a fait de ma vie un paradis

Toute ma vie ton amour sera gravé en moi

Et pour tout cela je te remercie

J'espère qu'on réalisera tous nos projets

Qu'ensemble on bâtira une famille

Qu'à jamais nos coeurs restent en paix

Et que toujours l'amour nous sourit

Moi qui t'es fait tant de mal

Aujourd'hui je réalise la chance que j'ai

D'avoir quelqu'un de si formidable

Et qui me rendra heureuse à jamais

Pardonne moi pour tout le mal que je t'ai fait

Mon coeur souffre a présent

De t'avoir fait souffrir plus que jamais

Et je paye mes erreurs maintenant

J'aimerai retrouver l'amour des premiers jours

Nos délires, nos fous rires et nos passions

Continuer a te rendre heureuse jours après jours

Et faire renaître ton amour au plus profond

Sache que je t'aimerai toujours et pour la vie

Que je veux finir ma vie près de toi

Que je t'aime a l'infini de l'infini

Et que mon coeur n'appartient qu'à toi

- Élodie –


~ REMARQUE AMOUREUSE, !!!~








L'Instant Présent



Tu es entré dans mon coeur

comme le soleil dans une journée,

car tu as complètement changer ma vie.

Maintenant je n'ai qu'une seule peur

celle de te perdre...

Mais pourtant,

je m'accroche à chaque moment

dont tu est présent

qui sera pour moi inoubliable

pour le reste de ma vie.

- Sonia Chartier –




~ une petite info santé!!!~

L’actualité Santé du 16/03/08 19h12


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Demande d'euthanasie: Chantal Sébire ne fera pas appel si sa requête est rejetée


Chantal Sébire, qui a demandé à la justice le droit d'être euthanasiée en raison d'une maladie incurable dont elle est atteinte, a laissé entendre samedi qu'elle ne ferait pas appel si sa demande était rejetée lundi à Dijon, dans l'émission "revu et Corrigé" de France 5.

Le procureur de la République de Dijon avait requis mercredi "l'irrecevabilité de la requête" de Mme Sébire, lors de l'audience en référé. Le jugement sera rendu lundi.

Interrogée par le présentateur Paul Amar sur son attitude en cas d'avis défavorable, Mme Sébire a déclaré par téléphone: "si le vice-président du tribunal de Dijon dit effectivement qu'il confirme l'avis du procureur, je respecte sa décision".

"Qu'est-ce que vous voulez, je peux faire appel après (mais) ça me servirait à quoi ? Je voulais simplement montrer que je menais un combat pour alerter et que derrière ce combat j'allais dans la légalité jusqu'au bout", a-t-elle poursuivi.

Chantal Sébire a également confirmé qu'elle était prête à aller à l'étranger pour obtenir ce qu'elle désire.

"Je sais maintenant comment me procurer ce dont j'ai besoin, et si je ne me le procure pas en France, je me le procurerai ailleurs", a-t-elle expliqué, tout en soulignant que si elle n'obtenait pas le droit à l'euthanasie dans la légalité, elle ne "(partira) pas en paix".

Mme Sébire a également tenu à répondre aux propos de la ministre du Logement Christine Boutin qui s'était déclarée jeudi à RMC "scandalisée qu'on puisse envisager de donner la mort à cette femme parce qu'elle souffre et qu'elle est difforme".

"C'est quand même grave de banaliser la maladie (...) Ce n'est pas la difformité de mon visage qui me dérange, j'en ai strictement rien à faire, et que si je mène ce combat, c'est parce que la souffrance est telle que je demande de l'aide. Je souhaite à madame Boutin, sans aucune méchanceté, qu'elle endure ce que j'endure simplement 24 heures", lui a répondu Mme Sébire.

Mme Sébire est une ancienne institutrice de 52 ans, mère de trois enfants, défigurée et rendue aveugle une "esthesioneuroblastome", une tumeur évolutive des sinus et de la cavité nasale.

Une maladie très rare - seuls un millier de cas ont été recensés dans le monde depuis 20 ans - dont l'évolution provoque une déformation spectaculaire et irréversible du visage et des souffrances "atroces", selon Mme Sébire.

~ une petite info santé!!!~

L’actualité Santé du 16/03/08 19h10


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Parkinson: toujours pas de guérison, mais de nombreuses pistes de recherche Un demi-siècle après les découvertes du Nobel Arvid Carlsson sur la dopamine, qui ont conduit à la mise au point du traitement de référence de la maladie de Parkinson, les chercheurs espèrent parvenir à mieux traiter les symptômes de la maladie, à défaut de pouvoir encore la guérir.

"Je crois que le développement des médicaments a un grand avenir, mais nous devons faire preuve de patience", a déclaré le Pr Carlsson, à l'occasion du 7e Forum international sur la maladie de Parkinson, jeudi et vendredi à Paris.

Maladie neurodégénérative comme Alzheimer, la maladie de Parkinson, qui touche 1 à 2% des plus de 65 ans et 3 à 4% des plus de 75 ans, se caractérise notamment par un tremblement de repos, une raideur des muscles et une lenteur des mouvements.

La L-Dopa, médicament qui vise à corriger le manque de dopamine dans le cerveau, reste le traitement le plus utilisé, mais on ne sait toujours pas arrêter, ni même ralentir le processus de destruction des neurones produisant la dopamine, un neurotransmetteur indispensable à la maîtrise des mouvements.

De plus la L-Dopa a des effets secondaires importants, dont les dyskinésies (mouvements incontrôlés et involontaires), parce que l'administration de cette molécule n'est pas "contrôlée" comme peut l'être la dopamine libérée naturellement dans le cerveau.

Le Pr Carlsson place beaucoup d'espoirs dans le développement de molécules susceptibles d'améliorer les traitements substitutifs du manque de dopamine, des médicaments "stabilisants" avec des effets plus régulés (agonistes dopaminergiques stabilisateurs).

Une autre piste médicamenteuse est de tenter de corriger des symptômes pour lesquels des neurotransmetteurs autres que la dopamine seraient en cause. Le Pr Olivier Rascol (CHU de Toulouse) cite par exemple l'impact de la sérotonine sur les troubles de l'humeur.

Quant à la stimulation électrique des structures cérébrales, elle n'est indiquée que pour "les formes dopamine-dépendantes pures" de la maladie (moins de 15%). Cette technique chirurgicale est réservée à un petit nombre de patients (moins de 5%), mais donne de bons résultats (de 60 à 65% d'amélioration), selon le Pr Yves Agid (Pitié-Salpêtrière, Paris).

L'effet persiste dans le temps, explique-t-il, mais, comme avec les médicaments, il peut y avoir "des effets secondaires terribles", cognitifs et psychiatriques (modifications du comportement, hypersexualité, addiction aux jeux d'argent, troubles du sommeil...).

Le vrai défi pour les chercheurs reste de trouver comment bloquer ou au moins ralentir la progression de la maladie. "On a beaucoup travaillé sur les mécanismes qui pourraient expliquer cette mort de neurones", explique le Pr Rascol. "On est à une étape intermédiaire", ajoute-t-il, avec des médicaments qui montrent "des résultats soient négatifs, soient pas entièrement démonstratifs".

Les cellules souches, à condition de parvenir à contrôler le développement cellulaire, et la thérapie génique, sont d'autres voies de recherche. Un essai préliminaire de thérapie génique sur 12 patients volontaires a ainsi donné des résultats encourageants aux Etats-Unis (Cornell University, New York).

En France, une étude clinique pilote débute à l'Hôpital Henri Mondor de Créteil. Le transfert de gènes codant pour la synthèse de la dopamine pourrait permettre de restaurer une neurotransmission normale.

Les médecins restent toutefois prudents sur l'application clinique de ces recherches sur les patients et soulignent leur impuissance face aux formes avancées de la maladie.

~ une petite info santé!!!~

L’actualité Santé du 16/03/08 19h05


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Interdiction de l'hormone de croissance: l'occasion manquée de 1985 En 1985, les Etats-Unis, puis de nombreux pays, interdisent l'hormone de croissance prélevée sur les cadavres, jugée trop dangereuse, mais la France attendra encore trois ans: le tribunal correctionnel de Paris a tenté vendredi de comprendre pourquoi.

Jean-Claude Job, ancien président de France Hypophyse, l'association qui avait le monopole de ce traitement pour enfants petits, se souvient de la réunion du 25 avril 1985: "on commençait tranquillement à étudier les dossiers quand la séance est interrompue par un télégramme de Kabi convoquant à Copenhague pour le dimanche prochain les utilisateurs d'hormones de croissance".

Kabi, c'est le fabricant danois d'hormones qui vient de se voir interdire le marché américain, dont les autorités ont décidé de bannir l'hormone de croissance extractive, c'est-à-dire celle fabriquée à partir de l'hypophyse, glande crânienne prélevée sur les cadavres.

Washington a des raisons: en novembre 1984, un jeune Texan traité avec cette hormone est mort de la maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ). Un deuxième cas a suivi en février 1985. Puis une jeune femme décède en Grande-Bretagne.

Les autorités sanitaires réalisent que les méthodes de stérilisation des hormones n'inactivent pas le prion, agent infectieux de la MCJ, raison pour laquelle sept médecins et pharmaciens répondent aujourd'hui devant la justice de la mort en France de 111 jeunes.

Le 27 avril 1985, à Copenhague, les responsables de France Hypophyse, du laboratoire Uria de l'institut Pasteur et de la pharmacie centrale des hôpitaux (PCH) --opérant différentes phases du traitement-- entendent Kabi annoncer l'arrêt de sa production.

De retour à Paris, les Français sont dubitatifs. Il est vrai que les connaissances sont floues et que le prion vient juste d'être découvert.

Pour Fernand Dray, chef d'Uria, ces morts sont dues à la méthode d'extraction américaine, "ancienne" et "vraiment impure".

Henri Cerceau, directeur de la PCH, se demande s'il ne s'agit pas "d'un magnifique coup de marketing de Kabi pour lancer son hormone de synthèse".

Car cette nouvelle hormone, complètement sûre, est en phase de mise au point dans de nombreux pays.

Même en France, relève la procureur, certains hôpitaux l'utilisaient déjà. Aucun des prévenus n'est au courant. "J'espère que ce n'était pas Kabi qui faisait de l'expérimentation sauvage", s'exclame Marc Mollet, ancien chef de service de la PCH.

Début mai, ces responsables demandent son avis à Jacques Dangoumeau, directeur de la pharmacie au ministère de la Santé.

"J'ai bien compris qu'on me demandait un parapluie", se rappelle-t-il. Quelques jours plus tard, il leur répond: "la qualité du système français (...) justifie de ne pas interrompre le très remarquable travail réalisé par France Hypophyse".

"Je me suis un peu laissé aller. J'en ai remis une louche. Ils voulaient entendre qu'ils travaillaient bien. Cela ne mange pas de pain", relativise-t-il.

Jean-Claude Job affirme avoir aussi consulté largement. "Tout le monde m'a dit: il ne faut pas arrêter", assure-t-il, d'autant qu'arrêter signifiait interrompre les traitements pendant des mois.

Grande-Bretagne, Canada, Belgique, Pays-Bas, Suède... interdisent l'hormone extractive. Le 14 mai, France Hypophyse décide de poursuivre mais en inactivant le prion à l'urée, une méthode efficace validée en juin par Jacques Dangoumeau.

Malheureusement, selon l'accusation, tous les lots anciens ne sont pas rappelés et seront injectés aux enfants.

Il faudra attendre juin 1988 pour que la France passe à l'hormone de synthèse.