mercredi 12 mars 2008

~ MUSIQUE, !!!~




Pascal Danel de son véritable nom Jean-Jacques Pascal est né le 31 mars 1944 à Paris.

Il fait ses débuts avec le groupe les Panthères puis l'année suivante il entreprend une carrière en solo.

En 1965 il obtient un certain succès avec les chansons "Je m'en fous" et "Hop-là tu as vu ".

En 1966, il enregistre la chanson "La Plage aux Romantiques", son premier véritable succès qui le fait connaître un peu partout et se classe no 1 au Hit parade, puis devient disque d'or en France.

Par la suite c'est la sortie de la célèbre chanson "Kilimandjaro", qui devient très vite un succès international, repris dans plus de 180 versions dans le monde, et disque de platine en France, ainsi qu'en Allemagne, Canada, Espagne, Italie, Japon, etc.

Cette chanson deviendra l'une de plus importante de la décennie en France.


45 tours

1964

- Soldat, soldat - La vie t'emmenera / Turlututu - Va t'en voir ailleurs

1965

- Je m'en fous - Hop-là tu as vu / Annabella - Devenir fou

1966

- La plage aux romantiques - Le vieux chêne / Pierrot le sait - Si tu me suis

- Kilimanjaro - Jeanne / Les trois dernières minutes - La bonne société

1967

- Comme un enfant - Raconte la mer / Mon ami - Quand tu vas, quand tu quittes

- Comme un enfant / Mon ami

1968

- La neige est en deuil - Le film est cassé / La lettre imaginée - Demain





~ IMAGE (Pour un petit sourire)!!!~

Mémée se fâche !!!

~ IMAGE (Pour un petit sourire)!!!~

Bronzage intégral !! enfin !! presque !!!

~ IMAGE (Pour un petit sourire)!!!~

OHHHHHHHHHHHHHHHHHHH !!!

~ une petite info santé!!!~

L’actualité Santé du 12/03/08 17h15


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Progression du dépistage du cancer du colon Le dépistage du cancer du côlon progresse en France, avec 38% des personnes qui ont déclaré avoir pratiqué un examen de dépistage contre 25 % en 2005, lors d'une enquête réalisée en décembre/janvier par la TNS-Sofrès, et dont les premiers résultats ont été rendus publics mardi.

En 2008, 38 % des 50-74 ans déclarent avoir effectué ce type de test alors qu'ils n'étaient que 25% à l'avoir effectué en 2005. Cette progression significative est vérifiée quels que soient l'âge, le sexe et la région d'appartenance des personnes interrogées, selon cette enquête.

Commandée par les laboratoires Roche, elle a été réalisée auprès de 928 personnes âgées de 40 à 85 ans et 600 généralistes interrogés du 11 décembre au 9 janvier.

Avec plus de 37.000 nouveaux cas par an, le cancer colorectal est en France le 3e cancer le plus fréquent après les cancers de la prostate et du sein.

Il représente, avec près de 17.000 morts par an, la 2e cause de mortalité par cancer en France, après le cancer du poumon, selon l'Institut national du cancer (INCa).

Ce cancer tue ainsi presque 4 fois plus que les accidents de la route.

La diminution de la mortalité due à ce cancer passe par un diagnostic précoce et donc par une augmentation de son dépistage.

Dans le cadre du programme national de dépistage organisé, les hommes et les femmes, âgés de 50 à 74 ans, sont invités à effectuer un test de détection de sang occulte dans les selles tous les deux ans. En cas de test positif, une coloscopie (examen interne du colon) est proposée afin de déterminer l'origine du saignement.

D'abord mis en place en 2002 auprès de 22 départements pilotes, le dépistage organisé entre aujourd'hui dans sa phase de généralisation sur l'ensemble du territoire français. Il est actuellement en place dans 88 départements et sera étendu d'ici fin 2008 à tous les départements, selon l'INCa.

L'enquête Roche-Edifice 2 montre aussi que le taux de dépistage déclaré est significativement supérieur dans les départements pilotes (54%) par rapport aux départements où la mise en place du dépistage organisé est récente (31%) ou pas encore initié de façon active (30%).

Il y a donc un délai entre le démarrage du programme et ses effets sur le taux de dépistage déclaré.

En 2008, environ 2/3 de la population des 50-75 ans ont déclaré n'avoir jamais procédé à aucun test de dépistage et 40% des personnes interrogées n'ont pas l'intention de le faire prochainement.

Du côté des médecins généralistes, la recommandation systématique d'un test de dépistage a certes augmenté, mais ils ne sont que 30% à déclarer le proposer de façon systématique à leurs patients (contre 18 % en 2005), selon l'enquête Roche.

A l'occasion du salon de la médecine, le MEDEC organisé à Paris les 18-20 mars, sera lancée la deuxième édition de la semaine nationale contre le cancer colorectal du 24 au 30 mars 2008, a encore indiqué l'INCa.

~ une petite info santé!!!~

L’actualité Santé du 12/03/08 17h13


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Le ravioli toxique coupe l'appétit japonais pour l'alimentation chinoise La cuisine chinoise a beau s'appuyer sur une tradition millénaire, ses produits n'ont plus la cote au Japon depuis la mystérieuse affaire d'un ravioli toxique qui a paniqué les consommateurs.

Au salon Foodex ouvert mardi à Chiba (région de Tokyo), l'une des plus grandes foires asiatiques dévolues à la nourriture, grossistes et restaurateurs semblent bouder les stands chinois, dont la surface a été réduite d'un tiers depuis l'an dernier.

Les organisateurs démentent que la réduction de l'espace chinois ait à voir avec le ravioli toxique, affirmant avoir juste demandé aux Chinois de "sélectionner les participants de façon plus stricte".

Difficile pourtant de ne pas y voir l'écho de cette affaire révélée fin janvier au Japon.

L'ampleur sanitaire du scandale peut sembler limitée: dix personnes hospitalisées après avoir mangé un ravioli surgelé, fabriqué et conditionné en Chine, qui contenait des pesticides.

Mais dans un pays obsédé par la sécurité alimentaire, l'annonce de l'intoxication a provoqué un vent de panique chez nombre d'amateurs des "gyozas" ("jiaozi" en chinois), des raviolis dont les Japonais raffolent.

Pas moins de 3.700 personnes se sont déclarées malades après avoir mangé des raviolis dans les jours suivants, sans qu'aucun lien n'ait pu être établi avec la contamination au pesticide.

Les enquêtes n'ont pas encore déterminé avec certitude l'origine du problème: les Japonais sont persuadés que la contamination des raviolis, empaquetés dans des emballages fermés, n'a pu avoir lieu qu'en Chine ; les Chinois évoquent une contamination "criminelle" hors de leur pays.

La question est d'autant plus sensible que la Chine est le deuxième fournisseur alimentaire du Japon qui importe 60% de sa nourriture.

Mais avec des reportages diffusés en boucle à la télé aux lendemains de l'affaire et une presse sur les dents pour signaler le plus petit des incidents, le scandale a déjà fait des ravages dans l'opinion.

Lundi, une ancienne ministre s'est ainsi permis de raconter publiquement "l'histoire drôle" d'un Chinois qui tente de se suicider en avalant des pesticides, mais qui survit car ils sont faux. Il fait alors la fête en mangeant des raviolis... et meurt empoisonné.

"Par rapport à l'an passé, nous constatons un impact énorme de l'incident" des raviolis, déplore un dirigeant chinois de Meikeduo Foods requérant l'anonymat.

Cette entreprise de fruits en conserve est la seule à être venue de la province de Hebei, près de Pékin, d'où provenaient les raviolis incriminés. Sur la grosse centaine de société chinoises présente à Foodex, aucune n'ose vendre des gyozas.

Depuis le scandale, le gouvernement japonais a affirmé avoir ordonné le rappel de 68 produits importés de Chine par 18 entreprises nippones.

Japan Tobacco, l'importateur du gyoza contaminé, a annoncé la semaine dernière qu'il allait développer sa propre production de surgelés.

Les conséquences de l'affaire ont même dépassé le cadre strictement chinois, une grande chaîne de supermarché japonaise, Daiei, annonçant par exemple une chute de 30% de ses ventes de surgelés après le scandale.

Les ventes d'oignon, boeuf et porc made in Japan ont à l'inverse bondi de 150%.

Pour trouver un substitut aux produits de Chine, certains client japonais se tournent vers Taiwan.

"Nous avons reçu au moins deux à trois fois plus de commandes" qu'à l'accoutumée, jubile Jimmy Fujiwara, du groupe taiwanais Chimei qui n'hésite pas, lui, à promouvoir ses raviolis chinois à Foodex.

Autrefois séduits par les bas coûts chinois, les détaillants japonais "cherchent désormais à s'approvisionner hors de Chine, quel qu'en soit le prix", affirme M. Fujiwara.

~ une petite info santé!!!~

L’actualité Santé du 12/03/08 17h10


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Pécresse et Bachelot proposent une réforme de la 1ère année de médecine Les ministres de l'Enseignement supérieur Valérie Pécresse et de la Santé Roselyne Bachelot ont présenté mercredi en Conseil des ministres une communication visant à réformer la première année des études de médecine, marquée par un très fort taux d'échec.

Selon la réforme proposée par les deux ministres, la première année d'études médicales deviendra une première année de "licence santé", commune aux étudiants en médecine, en pharmacie, en odontologie et aux futures sages-femmes.

Elle débouchera sur quatre concours distincts auxquels les étudiants pourraient librement s'inscrire en fonction de leurs intentions, précise le communiqué du Conseil des ministres.

Cette réforme s'accompagnera "d'une meilleure information dès le lycée sur les professions médicales et d'un renforcement du tutorat, ces mesures s'inscrivant dans le cadre du plan +réussite en licence+".

De plus, "pour éviter de faire perdre une année entière aux étudiants dont les résultats sont trop faibles, un dispositif dit de la +deuxième chance+ sera mis en place". Il permettra aux élèves de se réorienter dès le mois de janvier vers une autre licence puis de revenir, s'ils le souhaitent, en première année licence santé, après avoir validé deux années de sciences et s'être remis à niveau.

Par ailleurs, un deuxième concours réservé aux titulaires d'un baccalauréat autre que scientifique sera ouvert, à titre expérimental, afin de diversifier le profil des étudiants qui se destinent aux études médicales.

Enfin, les titulaires d'un master de sciences, d'un doctorat, d'un diplôme de grande école ou d'un diplôme de professions paramédicales bénéficieront d'un accès vers les études médicales dans des conditions à déterminer.

"Ces mesures seront soumises à la concertation, associant notamment les doyens et les étudiants, à partir du 13 mars prochain", précise le communiqué.

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L’actualité Santé du 12/03/08 17h05


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Des médicaments en libre service dans les pharmacies en mai, selon le ministère

Quelque 200 médicaments devraient être en libre-service dans les pharmacies au mois de mai, dans un conditionnement adapté à la posologie et à la durée du traitement, ont indiqué mardi le ministère de la Santé et l'Agence du médicament, confirmant des informations du Figaro.

La ministre Roselyne Bachelot avait annoncé en janvier que des médicaments délivrables sans ordonnance, souvent non remboursés (mais pas nécessairement), seraient en libre service dans les pharmacies au cours du deuxième trimestre.

Un décret est en cours de finalisation, qui devrait être publié "dans un mois et demi à deux mois", selon le ministère.

L'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) a été chargée d'établir la liste des indications et des spécialités éligibles, avec "une notice adaptée, et un conditionnement adapté à la posologie et à la durée de traitement", a indiqué à l'AFP Christelle Ratigner, chargée à l'Afssaps des médicaments de prescription facultative.

Interrogée après la publication par le Figaro d'une liste de 226 spécialités, elle a indiqué que leur nombre tournerait autour de 200, mais que la liste n'était encore qu'"un simple document de travail".

"La publication de la liste validée finale se fera lors de la parution des décrets sur la mise en accès direct des médicaments de prescription médicale facultative", a-t-elle précisé.

Figureront dans un premier temps sur cette liste des antalgiques, des antitussifs, des médicaments ORL, dermatologiques, des spécialités indiquées en gastro-entérologie, en ophtalmologie et pour le sevrage antitabagique.