ça rerecasse !!!
jeudi 28 février 2008
L’actualité Santé du 28/02/08 21h00
Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)
Sécu" et médecins reprennent langue, les dépassements d'honoraires en vue .
L'assurance maladie et les syndicats de médecins libéraux ont repris jeudi des négociations qui s'annoncent chargées en 2008, avec notamment l'épineux problème des dépassements d'honoraires et le passage à une consultation à 23 euros pour les généralistes.
Ces thèmes majeurs ne devaient toutefois pas être discutés lors de cette séance préparatoire, marquée par le retour à la table des négociations de MG-France et de la FMF, non signataires de l'actuelle convention médicale qui régit les relations entre les médecins libéraux et l'assurance maladie.
Au menu de la séance figurent la mise en place d'un fonds des actions conventionnelles (pour les formations par exemple) et un point sur la prise en charge des personnes condamnées avec une injonction de soins (comme les délinquants sexuels).
La réunion de jeudi a pour principal intérêt la mise en place des instances conventionnelles paritaires. La question se pose désormais de l'intégration de MG-France (premier syndicat chez les généralistes) et de la FMF (deuxième chez les spécialistes) dans les commissions qui gèrent la convention.
Ces syndicats s'étaient opposés à la convention signée en 2005 par la CSMF, le SML et Alliance, mais ils ont paraphé en décembre dernier un accord sur les astreintes du samedi, conduisant l'Uncam à les réintroduire dans les négociations.
La perspective d'une grande réforme sur l'organisation des soins en 2008, dans laquelle Nicolas Sarkozy s'est personnellement investi, les incite par ailleurs à s'impliquer dans le cycle de négociations qui s'annonce.
Le chef de l'Etat a notamment demandé que des mesures de "régulation des dépassements d'honoraires" soient prises.
Dans un rapport d'avril 2007, l'Inspection générale des affaires sociales (Igas) soulignait que ces dépassements avaient augmenté "de plus de 40% en dix ans", devenant un "obstacle à l'accès aux soins".
La CSMF, premier syndicat de médecins libéraux, estime que la création d'un secteur tarifaire "optionnel" (en plus des actuels secteurs 1 et 2) résoudrait le problème.
Il permettrait aux médecins de pratiquer des dépassements au-dessus des barèmes de la Sécu, mais limités à une partie de leur activité et qui seraient remboursés aux patients par les complémentaires santé.
Mais tous les assurés n'ont pas de complémentaires. Et la création de nouvelles possibilités de dépassements pourrait susciter des résistances alors que 56% des Français considèrent que leur système de santé est inégalitaire, selon un sondage LH2 pour le collectif d'usagers de la santé CISS publié jeudi.
Les syndicats tenteront aussi d'obtenir le passage de la consultation généraliste de 22 à 23 euros. Mais le directeur de l'Uncam, Frédéric van Roekeghem, a conditionné cette hausse à des économies.
Les Etats généraux de l'organisation des soins (Egos), toujours en cours, ont créé des attentes chez les médecins.
"Nous demanderons aux partenaires conventionnels de traduire d'urgence le contenu des Egos", a indiqué le président de MG-France, Martial Olivier-Koehret, faisant notamment référence aux mesures incitant à l'exercice en groupe dans les zones manquant de médecins, annoncées par le gouvernement.
Le syndicat demande aussi le développement de nouveaux modes de rémunération des médecins évoqués pendant les Egos, avec notamment des paiements forfaitaires et plus seulement à l'acte. Une revendication que sont loin de porter tous les syndicats.
L’actualité Santé du 28/02/08 20h52
Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)
Nevada: tests hépatite et VIH pour 40.000 patients d'une clinique aux "méthodes à risques" Quelque 40.000 personnes vont devoir se faire tester aux virus de l'hépatite B, C et du sida aux Etats-Unis après la mise au jour jeudi de "méthodes à risques" d'une clinique du Nevada (ouest), notamment l'utilisation d'une seringue sur plusieurs patients.
"Le département de la santé du sud du Nevada a annoncé qu'il notifiait environ 40.000 patients d'une clinique une exposition potentielle à l'hépatite C, à la suite d'une enquête sur plusieurs cas aigus de cette maladie", a indiqué cette administration dans un communiqué.
L'établissement en cause, le "Centre d'endoscopie du Nevada du sud", est situé à Las Vegas, la grande ville du sud de l'Etat.
Cette notification vise notamment "des patients opérés dans la clinique entre mars 2004 et le 11 janvier 2008", selon les autorités sanitaires, qui préconisent à ces personnes qu'elles contactent leur médecin pour subir des dépistages de l'hépatite C, ainsi que de l'hépatite B et du VIH", le virus du sida, selon la même source.
Cette décision a été prise à la suite de la mise en évidence de trois cas d'hépatite C sous une forme aiguë en janvier. Trois autres patients infectés ont depuis été localisés, portant ce total à six, trois fois plus que la moyenne annuelle des cas enregistrés dans la région de Las Vegas.
Or, cinq des patients infectés avaient subi des anesthésies le même jour dans la clinique en cause, selon l'administration.
Cette dernière affirme être parvenue à la conclusion que la clinique a pratiqué des "méthodes à risque pour injecter des anesthésiques, qui pourraient avoir exposé des patients au sang d'autres patients".
De même source, "l'enquête a mis en évidence la réutilisation de seringues", mais pas d'aiguilles, et "l'utilisation de doses individuelles d'anesthésiant sur plusieurs patients".
"Sur la base des informations que nous avons découvert lors de notre enquête, il apparaît que les méthodes d'injection pouvant conduire à des contaminations par l'hépatite C et d'autres maladies transmissibles par le sang se sont produites dans cette clinique depuis quatre ans", a expliqué le docteur Lawrence Sands, responsable du département.
"Nous recommandons à tous les patients (ayant séjourné dans la clinique) pendant cette période de se faire dépister, car nous ne pouvons pas déterminer quels patients ont pu être exposés", a-t-il ajouté.
L'administration a aussi préconisé "un dépistage de l'hépatite B et du VIH, car ces deux maladies peuvent être transmises via les mêmes méthodes à risque d'injection (...) toutefois, le risque de transmission d'hépatite B et du VIH est plus faible, et aucun cas d'hépatite B ou de VIH n'a été identifié", selon lui.
Dans un communiqué distribué à la presse, la clinique n'a pas expliqué comment son personnel avait pu pratiquer, et pendant si longtemps, des méthodes en violation avec toutes les règles sanitaires ou de bon sens.
"Nous voulons exprimer notre profonde préoccupation aux nombreux patients qui ont placé leur confiance en nous pendant toutes ces années (...) nous avons pris des mesures pour que (ces faits) ne se reproduisent plus jamais", ont précisé des représentants de l'établissement.
L’actualité Santé du 28/02/08 20h49
Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)
56% des Français estiment que le système de santé est inégalitaire Quelque 56% des Français estiment que leur système de santé ne "permet pas à tous les habitants du pays de bénéficier de la même qualité des soins", selon un sondage réalisé par LH2 pour le CISS, un collectif de 27 associations d'usagers de la santé et de malades.
Pour remédier aux problèmes de démographie médicale, 75% sont d'accord avec l'idée d'"obliger les médecins à s'installer dans les régions dans lesquelles il y a des manques" et 96% estiment qu'il faut "former plus de médecins", selon le sondage dévoilé jeudi.
Ils sont par ailleurs 36% à ne pas considérer que le système de santé est "de plus en plus performant" (contre 64% qui pensent qu'il l'est).
La majorité des Français (65%) se sentent "bien informés sur les actions à mener en cas de problème suite à un acte de soin" et ils sont 86% à considérer que leur médecin traitant "leur apporte l'information nécessaire".
L'informatisation des données de santé est perçue par 72% des sondés comme un moyen de mieux soigner les patients, même si 55% des personnes interrogées y voient "un risque d'atteinte à la vie privée".
Ce sondage a été réalisé les 1er et 2 février par l'institut LH2, par téléphone auprès d'un échantillon de 1.056 personnes, représentatif de la population française âgée de 15 ans et plus, selon la méthode des quotas.
L’actualité Santé du 28/02/08 11h09
Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)
Raviolis chinois: une contamination "criminelle", selon Pékin .Pékin a estimé jeudi que la contamination des raviolis chinois ayant rendu malade dix personnes au Japon avait résulté d'un acte "criminel", vraisemblablement perpétré hors de Chine, une affirmation qui a laissé très sceptiques les autorités japonaises.
Au vu des investigations conduites, "l'incident des raviolis empoisonnés au Japon n'est pas un problème de sécurité alimentaire causé par des résidus de pesticide, mais un crime isolé et délibéré", a déclaré le directeur adjoint de l'Administration du contrôle de qualité en Chine.
"Il est hautement improbable que l'acte de contamination des raviolis soit survenu en Chine", a ajouté Wei Chuanzhong, lors d'une conférence de presse.
Selon lui, les différentes investigations conduites par les équipes chinoises n'ont mis en lumière aucune trace du pesticide incriminé, y compris dans des raviolis rapportés du Japon.
Les autorités japonaises, qui sont convaincues que la contamination a eu lieu en dehors du Japon, ont fait part de leurs doutes à propos de la thèse des Chinois.
"Nous voulons qu'ils apportent les preuves scientifiques de ce qu'ils avancent", a déclaré Hiroto Yoshimura, le chef de l'Agence nationale de la police du Japon.
Il s'est aussi étonné que les Chinois prétendent ne pas recevoir des Japonais la coopération attendue pour l'enquête.
"Leur déclaration à la presse contient des éléments alarmants. Nous leur avons donné des informations qui devraient leur être utiles pour l'enquête. Nous ne comprenons pas que les Chinois parlent d'un refus du Japon de leur donner des preuves", a expliqué M. Yoshimura.
Révélée fin janvier au Japon, la contamination au pesticide de raviolis importés de Chine a porté atteinte à l'image des produits chinois dans l'archipel.
Trois mille sept cents personnes se sont déclarées malades à cause de raviolis chinois dans les jours qui ont suivi, bien que seuls dix cas aient été directement liés à l'ingestion du produit.
Les autorités chinoises et japonaises ont chacune ouvert leur enquête.
La police japonaise souligne que des traces de pesticide ont été retrouvées dans des paquets de raviolis surgelés parfaitement fermés, ce qui accrédite pour elle la thèse d'une contamination sur le site de production.
Les raviolis incriminés ont été produits et empaquetés par la société chinoise Tianyang Food Processing, basée dans la province de Hebei qui entoure Pékin.
Le Japon importe 60% de sa nourriture et la Chine est son deuxième fournisseur en la matière.
L’actualité Santé du 28/02/08 10h20
Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)
Un Irlandais aveugle retrouve la vue grâce à une dent de son fils Un Irlandais, devenu aveugle après une explosion il y a deux ans, a expliqué mercredi avoir recouvré la vue grâce à une opération chirurgicale qui a consisté à insérer dans son oeil une dent de son fils.
Bob McNichol, 57 ans, du conté de Mayo (ouest de l'Irlande), avait perdu la vue en novembre 2005 lorsque de l'aluminium liquide chauffé à blanc avait explosé dans une entreprise de recyclage. "Je pense que je resterais aveugle pour le restant de mes jours", avait alors déclaré M. McNichol sur la radio publique irlandaise RTE.
Alors que les médecins lui avaient annoncé qu'ils ne pouvaient plus rien pour lui, il avait entendu parler d'une opération miracle réalisée à l'hôpital ophtalmologique du Sussex à Brighton (sud de l'Angleterre). Cette opération, expérimentée en Italie dans les années 60, consiste à fabriquer un support pour une cornée artificielle à partir d'une dent du patient, y compris la racine et la partie de la mâchoire l'entourant.
Mais dans le cas de M. McNichol, c'est son fils Robert, 23 ans, qui a fourni la matière première pour l'opération: l'orbite de l'oeil droit a été reconstruit, la dent y a été implantée et une lentille a ensuite été insérée dans un trou percé dans la dent. Au total, quinze heures d'opération ont été nécessaires.
"Il y avait 65% de chance que je retrouve de l'acuité visuelle", a expliqué Bob McNichol. "Maintenant, je vois suffisamment pour me déplacer et je peux regarder la télévision", a-t-il relevé.
Toi qui as su rendre à mon coeur Le courage de rapprendre a aimé Toi qui m'a offert ta chaleur Quand dans ma vie tout chavirait Toi et ton doux regard charmeur Comment aurai je pu ne pas t'aimer Les années passent à contre coeur Mais notre amour, lui reste entier Moi dans tes bras, toi dans mon coeur Nous resterons toujours liés Et pour des années de bonheur Tous les jours je te le redirai Je t'aime de tout mon coeur Et je ne cesserai jamais de t'aimer - Touti - |
Toi Temps et confiance ont construit notre amour, Distances et disputes ont fortifiés notre couple, Ce qui est aujourd'hui certain, C'est que malgré les tempêtes que nous avons vécu, Rien non rien, pas même la séparation, Ne détruira ce que je ressens pour toi. Tu es mon premier amour, Ma première larme de joie, Ma liberté, ma sécurité, Tu es mon amant, mon meilleur ami et mon fiancé. C'est pour cela que je veux faire ma vie avec toi. A mon bien aimer que j'aime plus que la vie elle-même. - Natacha Lafleur-clichy - |
Par Nicolas Aguila
Le jugement du tribunal correctionnel de Rennes vient d’être publié dans l’affaire opposant les majors du cinéma, constituées partie civile, et quatre internautes accusés d’avoir téléchargé et copié illégalement plusieurs films.
Les quatre accusés ont donc été condamnés à 1500 euros d’amende pour téléchargement illicite.
L’affaire remonte à 2004, année pendant laquelle les quatre internautes ont été interpellés suite à une plainte déposée contre eux par les majors du cinéma. L’enquête qui a suivi a révélé que les quatre prévenus avaient chacun plus d’une centaine de films stockés sur leur ordinateur personnel.
Alors que les accusés ont tenté de se défendre en évoquant la copie privée, un seul des quatre internautes a pu fournir à la cour des preuves d’achat. Les autres ont indiqué que leurs films proviennent d’oeuvres prêtées par leurs amis, mais qu’ils ne possèdent pas les originaux.
Le tribunal n’a donc pas retenu l’exception pour copie privée, estimant que le paiement de la taxe pour copie privée ne légitime pas la reproduction d’oeuvres obtenues illicitement. En revanche, les accusés voient leur peine allégée par « l’absence de but lucratif et de conscience de nuire ». Ils vont donc devoir s’acquitter d’une amende de 1500 euros chacun, ainsi que 200 euros de dommages et intérêts à verser aux majors du cinéma.
Le jugement du tribunal correctionnel de Rennes vient d’être publié dans l’affaire opposant les majors du cinéma, constituées partie civile, et quatre internautes accusés d’avoir téléchargé et copié illégalement plusieurs films.
Les quatre accusés ont donc été condamnés à 1500 euros d’amende pour téléchargement illicite.
L’affaire remonte à 2004, année pendant laquelle les quatre internautes ont été interpellés suite à une plainte déposée contre eux par les majors du cinéma. L’enquête qui a suivi a révélé que les quatre prévenus avaient chacun plus d’une centaine de films stockés sur leur ordinateur personnel.
Alors que les accusés ont tenté de se défendre en évoquant la copie privée, un seul des quatre internautes a pu fournir à la cour des preuves d’achat. Les autres ont indiqué que leurs films proviennent d’oeuvres prêtées par leurs amis, mais qu’ils ne possèdent pas les originaux.
Le tribunal n’a donc pas retenu l’exception pour copie privée, estimant que le paiement de la taxe pour copie privée ne légitime pas la reproduction d’oeuvres obtenues illicitement. En revanche, les accusés voient leur peine allégée par « l’absence de but lucratif et de conscience de nuire ». Ils vont donc devoir s’acquitter d’une amende de 1500 euros chacun, ainsi que 200 euros de dommages et intérêts à verser aux majors du cinéma.
L’actualité Santé du 28/02/08 7h07
Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)
Roselyne Bachelot présente un plan "santé jeunes" en Conseil des ministres La ministre de la Santé Roselyne Bachelot a présenté mercredi au Conseil des ministres les grandes lignes du plan "santé jeunes", qui prévoit notamment une consultation gratuite de prévention chaque année pour les 16-25 ans.
Ce plan vise d'abord à "prévenir les conduites à risques", par la lutte contre l'anorexie, la promotion des bonnes habitudes alimentaires et la lutte contre les pratiques addictives comme l'alcool, a détaillé Laurent Wauquiez, porte-parole du gouvernement, devant la presse.
Le plan prévoit que la législation actuelle sur la vente de boissons alcoolisées aux mineurs sera rendue "plus cohérente et protectrice". Au ministère, on indique que la vente d'alcool devrait être purement et simplement interdite aux mineurs de plus de 16 ans.
Le plan reprend aussi les annonces de la ministre, faites au début du mois, visant à supprimer la publicité pour certains produits alimentaires en marge des émissions destinées aux enfants. Il reprend aussi des annonces visant à faire appliquer réglementairement, pour la prochaine rentrée, des recommandations nutritionnelles dans les cantines.
Pour les jeunes mannequins, la ministre envisage d'imposer des seuils pour le poids et l'indice de masse corporelle, vérifiés lors des visites médicales obligatoires. Un projet de loi, au cours de ce semestre, viserait à sanctionner notamment les sites internet faisant l'apologie de l'anorexie.
Des mesures seront prises pour aider les étudiants et les jeunes les plus vulnérables grâce à la généralisation des "maisons des adolescents" dans tous les départements d'ici 2010 et pour quoi des crédits étaient déjà inscrits dans la loi de finances 2008.
Mme Bachelot a tenu d'ailleurs à venir présenter son plan dans une de ces maisons, "La Casita", à l'hôpital d'Avicenne de Bobigny (Seine-Saint-Denis), la première ouverte en Ile-de-France en 2004.
"La consommation de drogues, les nouvelles formes d'alcoolisation, le taux de suicide important ou encore les troubles de comportement alimentaire comme l'anorexie sont de nombreux indicateurs inquiétants chez les jeunes", a expliqué alors à la presse Mme Bachelot, affirmant que "900.000 adolescents sont en état de souffrance psychologique".
Le plan santé des jeunes prévoit encore, à titre expérimental, que la gratuité du "fil santé jeunes", service sur numéro vert, sera étendue aux appels lancés à partir de téléphones portables.
A partir du 1er janvier 2009, le plan prévoit enfin d'ouvrir à tous les jeunes de 16 à 25 ans une consultation annuelle de prévention gratuite, chez le médecin généraliste de leur choix. Le coût annuel de cette mesure est évalué à un maximum de 10 millions d'euros.
Les étudiants pourront en outre payer sur trois mois leurs cotisations d'assurance maladie.
Une campagne d'information pour combattre le mal-être des jeunes homosexuels, qui "peut conduire à des pensées suicidaires", selon le ministère, sera élaborée cette année avec l'aide du cinéaste André Téchiné.
Comme déjà annoncé, un effort particulier sera fait pour développer les activités sportives à l'école. Une mission sur le sport à l'université a été confiée à l'ex-champion du monde du 400 m haies Stéphane Diagana.
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