mercredi 3 octobre 2007

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~ une petite info santé!!!~

L’actualité Santé du 03/10/07 20h05


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Budget de la Sécu 2008: rejet unanime des caisses de Sécurité sociale.

L'ensemble des caisses de Sécurité sociale (maladie, vieillesse, famille) ont émis des avis défavorables au projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2008, qui instaure notamment les franchises médicales.

Mercredi, les conseils d'administration des caisses nationales d'assurance maladie et d'assurance vieillesse (Cnam et Cnav), qui regroupent partenaires sociaux, associations et experts, ont émis des avis défavorables au PLFSS, qui devrait être adopté à l'Assemblée nationale le 23 octobre.

Ces avis négatifs, purement consultatifs, ont suivi ceux votés mardi par la Caisse nationale des allocations familiales (Cnaf) et, lundi, par l'Agence centrale des organismes de sécurité sociale (Acoss).

L'instauration, à partir du 1er janvier 2008, de franchises médicales à la charge des patients ou de leur complémentaire santé a notamment suscité l'opposition parmi les administrateurs des caisses.

Les membres de la Cnam ont ainsi estimé que les franchises "constituaient une rupture du principe de solidarité des lors que les malades seront appelés à payer pour d'autres malades" (Alzheimer et cancer).

De plus, "elles ne correspondent à aucune logique de responsabilisation, les patients n'étant pas les prescripteurs et il est à craindre qu'elles ne provoquent à terme un renoncement aux soins", ont-ils déploré.

La Cnam a par contre salué les mesures annoncées pour réguler l'implantation des médecins sur le territoire.

L'Union nationale des caisses d'assurance maladie (Uncam), qui regroupe la Cnam (salariés), le Régime social des indépendants (artisans, commerçants) et la Mutualité sociale agricole, a de son côté fait part d'une "majorité défavorable" aux franchises, sans toutefois émettre un avis global sur le PLFSS.

L'Union nationale des organismes d'assurance maladie complémentaires (Unocam), qui regroupe les mutuelles, les assurances et les instituts de prévoyance, a pour sa part estimé "qu'il n'était pas certain" que ce projet de budget "soit à la hauteur de ce qui est exigé" par la situation financière de l'assurance maladie.

La Cnaf, l'Acoss et la Cnav n'ont pas motivé leur vote.

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Par Nicolas Aguila publié le 03/10/2007 à 16:18



L'Arcep veut accélérer les non dégroupés

France Télécom et l’Arcep (autorité de régulation des communications électroniques et des postes) risquent de se retrouver à nouveau confrontés l’un à l’autre. L’histoire concerne cette fois-ci les tarifs de gros pratiqués par France Télécom sur la bande passante.

Ces tarifs, jugés prohibitifs, furent le principal argument avancé par Free lorsque ses abonnés ont demandé des explications quant au bridage de certains ports, notamment des ports utilisés par les réseaux P2P. L’opérateur avait donc saisi l’Arcep, qui est ensuite entré en pourparlers avec France Télécom.

France Télécom facture trop cher

Lorsqu’un opérateur tiers veut proposer un accès à Internet à un abonné non dégroupé, il n’a pas d’autre choix que celui de louer les équipements et les services à France Télécom, à qui la ligne appartient. Si la location de la ligne en elle-même reste dans les prix fixés, c’est en revanche la bande passante, également louée à France Télécom, qui coûte de plus en plus cher aux opérateurs. Ainsi, c’est entre 210 et 265 euros par Mbit/s consommé que les opérateurs doivent payer, selon notre confrère EchosDuNet, conduisant souvent aux bridages que beaucoup connaissent.

L’Arcep a depuis préconisé que ces tarifs soient revus à la baisse, notamment en ramenant ce tarif à 75,1 € HT par Mbit/s consommé. Ces modifications de tarif devraient permettre aux opérateurs proposant des offres non dégroupées de respirer un peu plus. Ainsi, la première hypothèse avancée est que le bridage des opérateurs n’aura désormais plus de raison d’être, et sera supprimé une fois ces nouveaux tarifs en vigueur. France Télécom, qui a publié ses nouveaux tarifs le 28 septembre dernier, a annoncé que ceux-ci seraient en applicables à partir du 1er novembre 2007.

Notre avis : il appartient maintenant aux opérateurs, Free en tête, de proposer des offres non dégroupées plus intéressantes et surtout sans bridage.

Quoi qu’il en soit, cela devrait régler, au moins temporairement, les problèmes grandissants de coûts de la bande passante en France, qui auront notamment conduit un opérateur américain à déconnecter ses abonnés les plus gourmands pour survivre.

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L’actualité Santé du 03/10/07 17h45


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)





La maladie "de la langue bleue" des ruminants s'étend rapidement en France.

Les autorités françaises et européennes tentent d'enrayer la progression de la maladie "de la langue bleue" qui affecte les ruminants, espérant la mise au point d'un vaccin pour le printemps 2008.

A la surprise de nombreux scientifiques, la fièvre catarrhale ovine (FCO), appelée communément maladie "de la langue bleue", dont seulement six cas avaient été signalés en France en 2006, s'est étendue rapidement depuis la détection du premier cas le 30 juillet dernier dans les Ardennes.

Selon la dernière estimation du ministère de l'Agriculture, en date du 28 septembre, le nombre de cas recensés en France s'élevait à 2.246.

"Le temps humide et les vents importants, les déplacements des moucherons, ont favorisé la propagation de la maladie", explique-t-on au ministère.

Pour enrayer l'épizootie, cinquante départements, principalement du Nord et de l'Est, ont fait l'objet de mesures de précaution, avec notamment des restrictions aux mouvements du bétail.

Des "périmètres interdits" (des zones de 20 km autour des foyers détectés) ont été décrétés dans vingt-trois départements, dans lesquels la circulation des animaux est interdite sauf dérogations.

La FCO est une maladie virale des ruminants (ovins, bovins, caprins), qui vient d'Afrique. Non transmissible à l'homme, son virus est véhiculé par les culicoïdes, une espèce de moucheron. Elle n'a aucune répercussion sur la qualité sanitaire de la viande, contrairement à celle de la "vache folle" il y a quelques années, souligne le ministère.

Des représentants des filières bovine et ovine ont été reçus mercredi par le ministre de l'Agriculture, Michel Barnier, qui avait annoncé la veille le lancement d'un "appel d'offres national pour inciter les laboratoires à fournir rapidement un vaccin".

Selon un responsable du ministère, il s'agirait de fabriquer un vaccin contre le nouveau sérotype, dit de type 8, de la maladie et l'appel d'offre serait lancé "vers le 10 octobre".

Plusieurs firmes seraient intéressés par la fabrication du vaccin qui apparaîtrait sur le marché au printemps, dix-huit mois après que le virus a été isolé par des chercheurs de l'Agence française de sécurité sanitaire des aliments.

Le temps presse car la situation pourrait devenir difficile pour les éleveurs qui déplorent les restrictions aux déplacements des animaux, notamment les exportations, principalement vers l'Italie et l'Espagne.

Selon le ministère, la France exporte notamment environ 100.000 "broutards" (jeunes bovins d'un an) chaque année pour environ un milliard d'euros.

"L'avancée très large de la maladie en Europe laisse à penser que tous les pays seront touchés très vite et que la seule solution crédible est de pouvoir reprendre au plus vite les échanges sur la base d'animaux testés négativement dans l'attente du vaccin", a réclamé la Fédération française des commerçants en bestiaux dans un communiqué mercredi.

Son directeur, Hughes Beyler, a évalué à 300 millions d'euros les pertes potentielles de chiffre d'affaires pour les 150 entreprises (sur un total de 800) concernées par les restrictions de mouvement si celles-ci étaient maintenues jusqu'à la fin de l'année.

M. Barnier a espéré mardi que le comité spécialisé de l'Union Européenne sur cette question déciderait prochainement "un nouveau protocole sanitaire simplifiant les règles d'échange et d'exportation des jeunes bovins".

~ VITESSE, ALCOOL, DROGUE = DANGER !!~

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L’actualité Santé du 03/10/07 17h35


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)






Accidents et maladies liés au travail : manifestation pour une "indemnisation intégrale" des victimes .

L'indemnisation intégrale --et non forfaitaire-- des victimes d'accidents du travail et de maladies professionnelles sera la principale revendication d'une manifestation organisée à Paris le samedi 13 octobre par la Fnath et l'Andeva, ont indiqué mercredi les deux associations.

"Le premier mot d'ordre sera l'obtention d'une indemnisation intégrale des victimes du travail", a indiqué devant la presse Arnaud de Broca, secrétaire général de la Fnath, qui regroupe des "accidentés de la vie".

En effet, "contrairement à toutes les autres victimes, les accidentés du travail ne bénéficient pour l'instant que d'une réparation forfaitaire et ne sont donc pas indémnisés de tous leurs préjudices", a-t-il expliqué.

"Il est absolument injuste qu'au XXIe siècle, on puisse avoir des blessures ou une altération de sa santé sans en être indemnisé de toutes les conséquences", a ajouté François Desriaux, président de l'Association nationale de défense des victimes de l'amiante (Andeva).

Au printemps dernier, la Fnath et l'Andeva avaient appelé les syndicats à ne pas signer le protocole d'accord sur la prévention, la tarification et la réparation des risques professionnels, négocié entre les partenaires sociaux.

Seules la CFE-CGC et la CGT, qui appelle d'ailleurs aussi à manifester le 13 octobre, n'ont finalement pas signé le texte, contrairement à FO, CFTC et CFDT.

Les deux associations reprochent à ce texte "de maintenir la réparation forfaitaire" et de "porter en germe une remise en cause de la +faute inexcusable+ de l'employeur".

L'enjeu de la mobilisation est maintenant pour elles qu'il ne soit pas transposé dans une loi.

Le défilé du 13, qui partira vers 14H00 de la tour Montparnasse, aura aussi pour mot d'ordre l'opposition aux franchises médicales annoncées par le gouvernement, car "leur application aux accidents du travail et aux maladies professionnelles est contraire au principe de la réparation intégrale des préjudices", a expliqué Michel Parigot, vice-président de l'Andeva.

Au passage, la Fnath et l'Andeva ont pressé l'Etat d'écouter davantage les associations de victimes en matière de prévention des risques professionnels.

Elles ont récemment refusé le "strapontin" que le gouvernement leur a, selon elles, proposé à la conférence nationale sur les conditions de travail prévue jeudi.

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L’actualité Santé du 03/10/07 17h25


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)






Toulouse: décès de deux victimes de surexpositions aux radiations.

Deux des 145 personnes victimes de surdoses de radiations à l'hôpital de Toulouse-Rangueil sont mortes cet été sans que l'on puisse établir un lien direct avec la surexposition, a indiqué mercredi à Saint-Cézert (Haute-Garonne) l'avocat de l'association SOS Irradiés 31.

"Il faut rester prudent. Je n'accuse pas, je fais ce constat", a souligné Me Christophe Léguevaques qui se pose "la question de savoir si l'exposition aux rayons a entraîné une accéleration du processus létal qui était en marche".

Les deux personnes décédées, qui souffraient de tumeurs au cerveau, étaient agées respectivement de 57 et 70 ans, a précisé l'avocat.

SOS Irradiés 31 rappelle avec force "la nécessité absolue des expertises indépendantes réclamées depuis le début", a ajouté Me Léguevaques lors de l'assemblée générale de l'association, fondée en juin dernier.

L'avocat, qui s'exprimait devant une trentaine de membres de l'association fondée en juin dernier, a rappelé que l'Agence de sûreté nucléaire (ASN) avait signalé dans un rapport en mai 2007 que "six des personnes irradiées étaient en grand danger et qu'il fallait les suivre de manière particulière".

Aux journalistes qui lui demandaient si les deux personnes décédées faisaient partie de ce groupe, l'avocat à répondu: "je ne sais pas, je ne fais que rapprocher ces deux informations, et j'espère que l'ASN va vérifier ce qu'il en est".

"Je réfléchis aujourd'hui à la question d'une plainte au pénal pour homicide involontaire. Sur le plan judiciaire, ces deux décès changent en effet la dimension d'un dossier où nous parlions jusqu'ici de mise en danger de la vie d'autrui et de coups et blessures involontaires", a indiqué l'avocat.

"Ce n'est pas une nouvelle plainte", mais une qualification complémentaire, a-t-il précisé.

Quelque 145 patients traités pour des tumeurs cérébrales cancéreuses ou bénignes à l'hôpital de Toulouse-Rangueil entre avril 2006 et avril 2007 ont été victimes d'une erreur de calibrage des doses dans un appareil de radiochirurgie, avait indiqué en juin la direction du CHU.

Le groupe de malades était soigné dans le service de neurochirurgie et "ce sont les cerveaux qui étaient exposés à des doses de rayonnement excessives", avait indiqué Aujourd'hui en France/Le Parisien qui avait révélé l'affaire le 23 mai.

~ IMAGE (Pour un petit sourire)~

Que c'est beau L'AMOUR !!!

~ LES PERLES !!!!~

Les Perles des palais de Justice



Ce qui suit, ce sont des questions réellement posées à des témoins par des procureurs durant des procès et, dans certains cas, il y a la réponse donnée par des témoins futés. Ces phrases sont extraites d'un livre appelé "Disorder in the Court." A part la traduction, les phrases ont été prononcées exactement comme écrit.


Q: Quelle est le jour de votre anniversaire ?
R : 15 juillet.
Q: Quelle année ?
R : Chaque année.


Q: Dans quoi étiez-vous au moment de l'impact ?
R : Un sweat-shirt Gucci et des Reeboks.


Q: Cette maladie, affecte-t-elle vraiment votre mémoire ?
R : Oui.
Q: Et de quelle manière cela affecte-t-il votre mémoire ?
R : J'ai oublié.
Q: Vous avez oublié. Pouvez-vous nous donner un exemple de ce que vous avez oublié ?


Q: Quel âge a votre fils, celui qui vit avec vous ?.
R : 38 ou 35 ans, je ne me souviens pas exactement.
Q: Combien de temps a-t-il habité avec vous ?
R : 45 ans.


Q: Quelle fut la première chose que votre mari vous a dite quand il s'est réveillé ce matin-là ?
R : Il a dit "Où suis-je Cathy ?
Q: Et pourquoi cela vous a-t-il mis en colère ?
R : Mon nom est Susan.


Q: Et à quel endroit a eu lieu l'accident ?
R : Approximativement au kilomètre 499.
Q: Et où se trouve le kilomètre 499 ?
R : Probablement entre les kilomètres 498 et 500.


Q: Maintenant docteur, n'est-il pas vrai que quand une personne décède dans son sommeil elle ne s'en rend compte que le matin suivant ?


Q: Le plus jeune fils, celui de 20 ans, quel âge a-t-il ?


Q: Etiez-vous présent quand votre photo a été prise ?


Q: Etait-ce vous ou votre plus jeune frère qui fut tué durant la guerre ?


Q: Vous a-t-il tué ?


Q: A quelle distance étaient les véhicules au moment de la collision ?


Q: Vous étiez là jusqu'à ce que vous partiez, est-ce exact ?


Q: Combien de fois vous êtes-vous suicidé ?


Q: Elle avait trois enfants, vrai ?
R : Oui.
Q: Combien de garçons ?
R : Aucun.
Q: Il y avait des filles ?


Q: Mr. Slatery, vous êtes parti pour une lune de miel plutôt "élaborée", n'est-ce pas ?
R : Je suis parti en Europe, monsieur.
Q: Et vous avez emmené votre nouvelle femme ?


Q: Comment s'est terminé votre premier mariage ?
R : Par la mort.
Q: Et par la mort de qui s'est-il terminé ?


Q: Pouvez-vous décrire l'individu ?
R : Il était de taille moyenne et portait une barbe.
Q: Etait-ce un homme ou une femme ?


Q: Docteur, combien d'autopsies avez-vous effectuées sur des morts ?
R : Toutes mes autopsies on été effectuées sur des morts.


Q: Toutes vos réponses doivent être orales. A quelle école êtes-vous allé ?
R : Orale.


Q: Vous souvenez-vous à quelle heure vous avez examiné le corps ?
R : L'autopsie a commencé vers 20h30.
Q: Et Mr. Dennington était mort à cette heure ?
R : Non, il était assis sur la table à se demander pourquoi je faisais une autopsie.


Q: Docteur, avant de faire votre autopsie, avez-vous vérifié le pouls ?
R : Non.
Q: Avez-vous vérifié la pression sanguine ?
R : Non.
Q: Avez-vous vérifié s'il respirait ?
R : Non.
Q: Alors, il est possible que le patient ait été vivant quand vous avez commencé l'autopsie ?
R : Non.
Q: Comment pouvez-vous en être certain, Docteur?
R : Parce que son cerveau était sur mon bureau dans un bocal.
Q: Mais le patient ne pouvait-il quand même pas être encore en vie ?
R : Il est possible qu'il ait été encore en vie et en train de rendre la justice quelque part.

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Par Nicolas Aguila, publié le 03/10/2007 à 09:23




Les plaintes contre les FAI continuent

La DGCCRF (Direction générale de la concurrence et de la répression de fraudes) est formelle : les plaintes contre les fournisseurs d’accès à Internet continuent d’affluer.

Son bilan semestriel ne manque d’ailleurs pas de confirmer cela, avec pas moins de 17 175 plaintes enregistrées entre le 1er janvier et le 30 juin 2007.

De plus en plus de plaintes

Les chiffres de la DGCCRF montrent en outre une progression de 12,2% par rapport au précédent semestre, et de 19,3% par rapport au premier semestre 2006. Ce sont les problèmes techniques qui entraînent le plus de litiges (26,2%), suivis de près par les problèmes de résiliation des contrats (25,1%). 12,8% des plaintes concernent des erreurs de facturation et 10% portent sur les clauses contractuelles. La vente forcée représente quant à elle 7,3% des litiges.

Selon la DGCCRF, ces résultats marquent une nette dégradation de la situation.

L’analyse : Le deuxième semestre 2006 avait montré une certaine accalmie dans le nombre de plaintes de la part des abonnés aux FAI, en désaccord avec les chiffres récemment publiés par la DGCCRF. Toutefois, si le nombre de plaintes augmente, cela ne marque pas nécessairement une dégradation de la qualité des services des opérateurs.

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Par Nicolas Aguila publié le 02/10/2007 à 18:00






Rien de tel pour se détendre qu’une bonne partie de golf en plein air. Si vous aimez le golf, mais que vous n’avez pas de plein air à portée de main, il vous reste encore le choix de faire une partie de Golf Jam, bien calé dans votre fauteuil. Vous devrez ainsi remplir une série d’exercices avec votre club virtuel, comme toucher une cible ou atterrir sur le green. Vous aurez un nombre limité d’essais, et devrez composer avec le vent et autres paramètres du terrain.

http://www.freegamesnews.com/en/games/GolfJam.html

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L’actualité Santé du 03/10/07 09h00


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)





"Le baiser d'Isabelle" ou l'"odyssée" de la première greffe du visage.

L'écrivain Noëlle Châtelet livre dans "Le baiser d'Isabelle" le récit haletant de la première greffe mondiale du visage, en plongeant le lecteur au coeur de l'équipe médicale qui a opéré Isabelle Dinoire, et en révélant un témoignage inédit de cette dernière.

"Le baiser d'Isabelle" ou l'"odyssée" de la première greffe du visage L'écrivain Noëlle Châtelet livre dans "Le baiser d'Isabelle" le récit haletant de la première greffe mondiale du visage, en plongeant le lecteur au coeur de l'équipe médicale qui a opéré Isabelle Dinoire, et en révélant un témoignage inédit de cette dernière.

L'ouvrage, à paraître jeudi aux éditions du Seuil, retrace neuf mois d'une aventure tant scientifique qu'humaine, en alternant narration et confidences de la patiente, qui s'était jusqu'ici peu exprimée.

Construit comme "une odyssée moderne", "Le baiser d'Isabelle" suit cette dernière de son arrivée le 30 mai 2005 à l'hôpital d'Amiens, où elle est admise après avoir été défigurée par son chien, à la conférence de presse organisée le 6 février 2006, devant les caméras du monde entier, après l'opération le 27 novembre 2005.

Page après page, on découvre le cheminement psychologique d'Isabelle, de son désespoir à sa reconstruction.

Après l'accident, "je ne voulais pas qu'on me regarde! (...) Mon visage, c'était un visage de monstre", car l'os du nez, apparent, "me faisait penser à un squelette. A la mort", souligne-t-elle.

Alors qu'elle pensait que c'était "fini", "irréparable", les chirurgiens lui proposent une greffe du triangle nez-lèvres-menton, une première mondiale jugée possible car la "morsure (est) particulièrement nette".

Après plusieurs obstacles et une longue attente source d'anxiété, le 26 novembre 2005, la bonne nouvelle arrive enfin : des parents ont accepté "l'impensable", donner "le visage" de leur fille.

Quand Isabelle découvre son nouveau visage après l'opération, "ses yeux disent +merci+". "Jamais je n'oublierai ce moment. Quelque part c'était revivre", confie-t-elle.

Débute alors le travail d'appropriation. "Le plus dur à accepter, c'était (d') avoir l'intérieur de la bouche de quelqu'un d'autre", "c'était atroce", dit Isabelle, qui évoque aussi son étonnement quand elle s'est découvert plus tard un poil au menton, elle qui n'en avait jamais eu.

Noëlle Châtelet a rencontré pendant quatre mois Isabelle Dinoire, des entretiens d'où sont nées "une amitié et une confiance très grandes".

L'auteur a été frappée "par son courage exceptionnel", son "opiniâtreté qui a encouragé" l'équipe. De cette épreuve - notamment du regard d'autrui dont elle se protégeait en portant un masque - Isabelle est sortie "plus forte", a déclaré à l'AFP Noëlle Châtelet.

Alors qu'elle lui avait envoyé le livre, "assez tremblante", Isabelle Dinoire l'a "remerciée" de cet ouvrage "magnifique".

Le livre, rédigé également d'après les témoignages des 45 membres de l'équipe médicale, donne le sentiment que l'auteur a vécu jour après jour l'aventure.

L'"exploit médical" sera considéré achevé quand Isabelle pourra embrasser. "Chaque jour, elle s'exerce, confie Noëlle Châtelet, ajoutant, "ce baiser, elle est tout près de le faire".

("Le baiser d'Isabelle", éditions du Seuil, 318 pages, 18 euros)