samedi 26 avril 2008

~ REMARQUE AMOUREUSE, !!!~

~ LA PEUR !!!~

· ablutophobie - Peur de se baigner. Cette phobie est plus une peur de la noyade qu'une peur de l'eau.

· acaraphobie : Peur des parasites de la peau, des acariens.

· Achluophobie - Peur de l'obscurité.

· Achmophobie - Peur des pointes.

· Acnophobie - Peur de l'acné.

· Acousticophobie - Peur du bruit.

· Acrophobie - Peur des hauteurs ; s'accompagne souvent de vertiges.

· Aérodromophobie - Peur des avions.

· Agoraphobie : Peur des espaces libres et/ou des lieux publics.

· Apiphobie - Peur des abeilles. Par extension, peur des insectes possédant un dard ou pouvant piquer.

· Apopathodiaphulatophobie - Peur d'être constipé.

· Apopathophobie - Peur d'être pris d'une envie de déféquer ou peur des excréments.

· Arachnophobie- Peur des araignées.

· Claustrophobie- Peur des espaces confinés.

· Dysmorphophobie - Peur des anomalies anatomiques.

· Émétophobie - Peur de vomir.

· Entomophobie - Peur des insectes

· Éreutophobie - Peur de rougir en public.

· Géphyrophobie - Peur de franchir les ponts.

· Gymnophobie- Peur de la nudité.

· Hématophobie- Peur du sang.

· Hodophobie - Peur des voyages

· Lépidophobie - peur des papillons

· Hexakosioihexekontahexaphobie- Peur du nombre 666.

· Musophobie - Peur des souris.

· Nosophobie - Peur de la maladie.

· Ochlophobie - Peur de la foule.

· Pantophobie - Peur du tout.

· Paraskevidékatriaphobie - Peur du vendredi 13.

· Squalophobie - Peur des requins.

· Phobie sociale- Peur de certaines situations sociales.

· Taijin kyofusho - Peur d'offenser autrui par l'odeur ou le regard (terme japonais).

· Triskaïdekaphobie- Peur du nombre 13.

~ IMAGE (Pour un petit sourire)!!!~

Alerte !!! TSUNAMI !!!


~ CLIP VIDEO !!!~

Du plaisir !!!

~ CLIP VIDEO !!!~

Le compacteur !!!

~ IMAGE (Pour un petit sourire)!!!~

Gentil le toutou !!!


~ une petite info santé!!!~

L’actualité Santé du 26/04/ 08 08h22


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)





Amiante: un rapport préconise un système de préretraite "plus juste". Un rapport remis jeudi au gouvernement préconise de modifier le dispositif actuel de préretraite pour les dizaines de milliers de salariés fortement exposés à l'amiante, jugé inéquitable, en l'ouvrant selon leur métier et non plus en fonction de leur entreprise.

Cette refonte permettrait selon le rapport à près de 35.000 salariés, actuellement exclus du dispositif, de bénéficier d'une "cessation anticipée", tandis que plus de 52.000 salariés y ont eu accès depuis sa création en 1999.

Le rapport de Jean Le Garrec (PS) demande aussi que l'Etat et les entreprises augmentent leur participation au financement du dispositif, jugeant "inacceptable" la répartition actuelle de la prise en charge.

Le ministre du Travail Xavier Bertrand a "demandé à ses services d'utiliser (ces) propositions" pour préparer une réforme "soutenable" financièrement.

Le dispositif actuel permet aux salariés de plus de 50 ans exposés à l'amiante une cessation anticipée d'activité tout en percevant une allocation --l'Acaata financée par un fonds, le FCAATA-- jusqu'à ce qu'ils remplissent les conditions d'un départ en retraite à taux plein.

Pour en bénéficier, il faut travailler ou avoir travaillé dans l'un des établissements figurant sur une liste fixée par le gouvernement, ou être reconnu atteint d'une maladie professionnelle liée à l'amiante.

"Je veux un dispositif plus juste et plus équitable", a déclaré M. Le Garrec lors d'une conférence de presse au ministère du Travail.

Si le FCAATA a constitué à ses yeux "une avancée sociale considérable", il n'en a pas moins de graves défauts qui ont provoqué "des recours juridiques divers" allongeant le délai de traitement des demandes, souvent supérieur à deux ans.

Le système est par ailleurs "d'une iniquité très grande", excluant par exemple les salariés des sous-traitants et les intérimaires. Il a en outre parfois été utilisé comme "un système supplémentaire de préretraite" pour des salariés pas forcément exposés à l'amiante.

Le rapport propose donc de lui substituer, à partir de 2010, une approche par métiers, en inscrivant dans la loi "le principe selon lequel les salariés exerçant, ou ayant exercé, un des métiers figurant sur une liste arrêtée par le gouvernement pourront demander à percevoir l'Acaata".

Une liste de six métiers est proposée, comprenant par exemple les chaudronniers-tôliers industriels ou les plombiers chauffagistes qualifiés. Chaque demandeur verrait sa situation évaluée "au regard d'un faisceau d'indices" (secteur d'activité, durée d'exposition, etc.).

Le rapport propose également une réforme du financement du FCAATA, assuré à plus de 93% par la branche AT-MP (accidents du travail-maladies professionnelles) de la Sécurité sociale.

M. Le Garrec appelle l'Etat à porter sa participation à un tiers, contre moins de 4% aujourd'hui.

Les entreprises sont aussi appelées à mettre davantage la main au portefeuille, également à hauteur d'un tiers.

Des associations, tout en soutenant le principe d'une réforme, ont critiqué certains points du rapport.

"Fixer par décret une liste de métiers n'est pas une approche satisfaisante", a estimé le président de l'Andeva (associations de victimes), Michel Parigot, qui craint que de nombreux salariés exposés à l'amiante restent exclus.

Le vice-président de la Fnath (handicapés et accidentés du travail), François Martin, aurait souhaité "un texte plus musclé" à l'encontre des employeurs.

Chaque année, quelque 2.500 décès sont dus à l'exposition professionnelle à l'amiante, selon la Cour des Comptes.

~ IMAGE (Pour un petit sourire)!!!~

Trouve pas !!!

~ une petite info santé!!!~

L’actualité Santé du 26/04/ 08 08h15


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


L'ONU donne au monde 1.000 jours pour éradiquer le paludisme en Afrique. Le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, a lancé vendredi un plan ambitieux visant à mettre fin en moins de 1.000 jours à l'hécatombe causée par le paludisme en Afrique.

Dans un message vidéo diffusé à New York à l'occasion de la première Journée internationale contre le paludisme, M. Ban a présenté comme une "vision audacieuse mais réalisable" l'objectif de vaincre la maladie sur le continent d'ici à fin 2010, à condition que la communauté internationale se mobilise.

Plus d'un million de personnes meurent du paludisme chaque année dans le monde, selon l'ONU. La maladie, due à un parasite et transmise par des moustiques, représente une menace pour près de 40% de la population mondiale. La plupart des cas et des décès surviennent en Afrique subsaharienne où un enfant de moins de 5 ans décède toutes les 30 secondes.

"Durant le temps que je vais mettre à vous lire ce message, six enfants vont mourir de cette maladie... Ce bilan est inacceptable, d'autant plus que le paludisme est évitable et curable", a dit M. Ban.

Tout en relevant que plusieurs pays africains avaient progressé récemment dans la lutte contre le fléau, le chef de l'ONU a déploré que "les pays les plus touchés sont encore loin de l'objectif consistant à stopper la progression, puis faire reculer le paludisme."

"A mi-chemin des Objectifs du millénaire pour le développement (OMD), nous avons désespérément besoin d'accroître nos efforts pour vaincre" cette maladie, a-t-il dit. Adoptés en 2000, les OMD visent à réduire de moitié la grande pauvreté dans le monde d'ici à 2015 et à faire reculer les grandes pandémies (sida, tuberculose, paludisme).

L'initiative multiforme lancée par M. Ban, son représentant spécial pour le paludisme Ray Chambers et le Partenariat "Faire reculer le paludisme", est axée sur la distribution de 250 millions de moustiquaires, imprégnées d'insecticide à efficacité durable, dans les régions où la maladie est endémique.

Elle vise par ailleurs à fournir aux dispensaires de ces régions les médicaments nécessaires, notamment un accès aux traitements combinés à base de dérivés d'artémisine, qui combattent le parasite devenu résistant aux médicaments classiques comme la chloroquine.

L'initiative consiste également à améliorer la formation des personnels soignants dans les pays touchés et à encourager la recherche.

"Nous avons les ressources et le savoir-faire mais nous avons moins de 1.000 jours d'ici à la fin 2010", a déclaré M. Ban dans son message. "Nous avons donc besoin de votre engagement, mettons-nous au travail", a-t-il dit en conclusion à l'adresse des décideurs, des donateurs, des Organisations non gouvernementales (ONG) et des personnels de l'ONU.

Fixée au 25 avril par l'Organisation mondiale de la santé (OMS), la Journée mondiale de lutte s'intitule cette année "paludisme, maladie sans frontière" (www.rollbackmalaria.org) et a été officiellement lancée à Livingstone (Zambie) en présence de 17 ministres de la santé d'Afrique australe.

Tempérant quelque peu les propos de M. Ban sur la disponibilité des ressources, le Partenariat "Faire reculer le Paludisme" a indiqué que la lutte contre la maladie ne dispose que d'un tiers des financements nécessaires pour y faire face.

Créé en 1998 à l'initiative notamment de l'OMS, le RBM, pour "roll back malaria", réunit des gouvernements, ONG et secteur privé. Venir à bout du fléau coûterait environ 3,2 milliards de dollars selon le RBM qui pour l'instant, a recueilli un milliard de dollars auprès des secteurs public et privé.

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On joue !!!


~ une petite info santé!!!~

L’actualité Santé du 26/04/ 08 08h10


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Grippe aviaire: l'Indonésie simule un début de pandémie. Des centaines de villageois et de volontaires indonésiens participaient vendredi sur l'île de Bali à une simulation de début de pandémie provoquée par le virus H5N1 de la grippe aviaire, selon des journalistes de l'AFP sur place.

L'exercice, de vendredi à dimanche, vise à évaluer les capacités de réponse des autorités et à sensibiliser la population du pays le plus touché dans le monde par la grippe du poulet.

"Il s'agit de la plus importante simulation en Indonésie. L'objectif est de tester la préparation des responsables sanitaires à faire face à une épidémie si elle survenait", a expliqué aux journalistes I Nyoman Kandun, chargé des maladies infectieuses au ministère de la Santé.

La pandémie fictive a éclaté dans le village balinais de Tukaddaya, à 80 kilomètres à l'ouest de Denpasar, la capitale de Bali. Un homme s'est présenté au poste de soins local, avec tous les symptômes de la grippe aviaire.

La victime a expliqué ne pas avoir été en contact avec des volailles, ce qui est le mode de contamination habituel.

Le virus a ensuite été localisé chez un autre villageois, faisant naître la crainte d'une transmission inter-humains du virus.

Le village a ensuite été bouclé tandis qu'était lancé l'abattage de ses volailles et de ses canards. Les autres victimes potentielles étaient rassemblées et mises en quarantaine.

I Wayan Nerken, un Balinais de 51 ans, a expliqué à l'AFP trouver l'exercice très instructif.

"Jusqu'à maintenant l'information dont on dispose sur la grippe aviaire vient seulement de la télévision. Nous ne savons pas quoi faire en cas d'infection", a-t-il déclaré. "J'ignorais ce que j'étais supposé faire des carcasse de poulets s'ils mouraient brusquement".

Le virus H5N1 est hautement pathogène mais difficilement transmissible de l'animal à l'homme. Il a fait néanmoins 107 morts en Indonésie, le pays qui a enregistré le plus de décès dus à la maladie.

Les experts redoutent une mutation du virus, qui ferait craindre une possible épidémie chez l'homme aux conséquences effroyables, en particulier en Indonésie.

"Quelque 65 millions de personnes ou 30% de la population du pays seront infectées", a récemment estimé Bayu Krisnamurthi, directeur du Comité national de lutte contre la grippe aviaire et de prévention des épidémies grippales (Komnas FBPI).

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Prière du soir !!!

~ une petite info santé!!!~

L’actualité Santé du 26/04/ 08 08h05


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Un enfant victime d'un incident grave avec une table de kinésithérapie. L'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) a appelé vendredi les masseurs et kinésithérapeutes à la vigilance après la survenue d'un incident grave où un enfant handicapé s'est retrouvé coincé sous une table de traitement.

Posé au sol après avoir reçu des soins de rééducation et laissé sans surveillance pendant un court instant par le personnel médical soignant, l'enfant s'est déplacé sous la table et a appuyé sur la barre périphérique entourant la table, provoquant sa descente. Il s'est alors retrouvé coincé et n'a pu être "désincarcéré" qu'avec de grandes difficulté, selon l'Afssaps.

L'enfant "était inconscient et cyanosé" et l'incident "aurait pu avoir des conséquences cliniques graves", a précisé l'agence.

"Certains patients peuvent s'avérer potentiellement dangereux pour eux-mêmes" et "nécessitent l'attention du personnel médical soignant", a-t-elle indiqué dans une "mise au point" à l'attention des masseurs et kinésithérapeutes. "C'est pourquoi il convient de rappeler qu'une surveillance des patients dans un environnement de soin est indispensable pour prévenir ce type d'incident".

L'Afssaps recommande de préférer des tables offrant la possibilité d'inverser le système de commande : "au lieu de provoquer la descente par appui sur le commande périphérique, ceci provoque la montée du plateau".