vendredi 4 avril 2008

~ IMAGE ROMANTIQUE, !!!~

~ IMAGE (Pour un petit sourire)!!!~

Elle est bonne !!!


~ MUSIQUE, !!!~





Michel Fugain, est né le 12 mai 1942 à Grenoble.

Enfant, il prend des cours de piano mais sans réelle motivation. La méthode d'enseignement, trop académique pour lui, ne lui convient guère.

En partie pour cette même raison, c'est sans grand enthousiasme qu'il suit des études secondaires au lycée Champollion.

Il préfère retrouver ses potes au "Lamartine", un jazz-club face au lycée. Là, il se nourrit des sons de Miles Davis, Thelonious Monk, Charlie Parker entre autre.

Il passe aussi des heures au cinéma. Après avoir obtenu le baccalauréat, il entreprend des études de médecine. Que faire d'autre lorsqu'on a un père médecin ?


En fait, la véritable passion de Michel est le cinéma.

Fervent adhérent du ciné-club de Grenoble, il est fasciné par les cinéastes de "la nouvelle vague", Truffaut, Rivette, Chabrol, Resnais et leur volonté de révolutionner le cinéma français. A 21 ans, fort de sa majorité, il annonce à son père qu'il veut devenir cinéaste.

Il monte donc à Paris en septembre 1963. L'ami d'un ami de son père est premier assistant réalisateur d'Yves Robert et voilà comment Michel devient l'assistant de l'assistant.

Il travaille notamment sur le film Les copains pour lequel Brassens écrivit Les copains d'abord. Pour apprendre à diriger des acteurs et rencontrer "les gens du métier", Michel Fugain s'inscrit à un cours de comédie.

C'est là qu'il fait la connaissance d'un jeune apprenti comédien : Michel Sardou. Cette amitié nouvelle va orienter différemment sa carrière.

Michel Sardou décide un jour de passer une audition chez Barclay, la célèbre maison de disques.

Le seul problème est qu'il ne sait pas quoi chanter. Qu'à cela ne tienne : Michel Sardou et Patrice Laffont, qui plus tard deviendra présentateur à la télévision, écrivent les textes et Michel Fugain qui, entre temps, a appris la guitare, compose les musiques.

En 1965, ils signent ensemble quatre titres dont Le madras. Ce sera le premier 45 tours de Michel Sardou.

Michel Fugain aime les harmonies, les accords qui sonnent, les rythmiques qui tournent rond. Il se révèle immédiatement excellent mélodiste ; pas instrumentiste mais mélodiste.

C'est la raison pour laquelle il dit souvent "C'est la musique qui m'a choisi et non moi qui ai choisi la musique". Un producteur de chez Barclay lui demande d'autres titres.

Ainsi devient-il compositeur d'édition et ses premières compositions sont pour Hugues Aufray.

Il écrit ensuite pour d'autres artistes : Dalida, Hervé Vilard, puis pour Marie Laforêt. Le directeur artistique de Marie, Roger Marouani, propose alors à Michel d'enregistrer un disque.

Ce dernier signe chez Festival pour deux ans. En 1966 sort son premier "super 45 tours" avec notamment : Un pas devant l'autre. Début 1967 sort le second "Prends ta guitare, chante avec moi", dont l'enregistrement eut lieu au Landsdown Studio.

Cette précision n'est pas qu'une anecdote car le disque sonne avec le son anglais, ce qui est "le must" pour l'époque ! Le vrai succès, Michel Fugain va le connaître durant l'été 1967 à la sortie de son troisième EP avec "Je n'aurai pas le temps". Les galas s'enchaînent.

En 1968 il signe chez CBS mais son septième EP avec "Quand l'oiseau chante" sort néanmoins sous le label Festival, les chansons ayant été enregistrées auparavant.



45 Tours

1966

- C'est que je t'aime - Un pas devant l'autre / Ne dis plus rien - La famille Fugain

- Joe, emmène-moi - Quand j'ai vu pleurer mon père / Tu peux compter sur moi - Prends ta guitare, chante avec moi

- Ne dis plus rien / La famille Fugain

- Tu peux compter sur moi / Prends ta guitare, chante avec moi

1967

- Un moral d'acier - Un homme, un enfant / Je n'aurai pas le temps - Si je reviens la belle

- Daisy - Monsieur Schmitt / Si tu vas là-bas - Les poissons argentés

- Je n'aurai pas le temps / Si je reviens la belle

- Daisy / Les poissons argentés

- Si tu vas là-bas / Monsieur Schmitt

1968

- Les fleurs de mandarine - Les enfants trop grands / Le faiseur de tendresse - À nous deux Paris (je pars)

- Je n'ai pas changé - Le petit Nicolas / Laissez-moi essayer - A qui crois-tu donc que je pense

- Les fleurs de mandarine / Les enfants trop grands

- Le faiseur de tendresse / À nous deux Paris

1969

- Quand l'oiseau chante - Le sergent / On a la mer - Faut tout lui dire

- Le temps met longtemps - Toi qui me ressembles / Ouvre un petit peu les yeux - La corde au cou

- Toi qui me ressembles / La corde au cou

- Le temps met longtemps / Ouvre un petit peu les yeux


Album 33 tours

Michel Fugain (1968 )

Quand l'oiseau chante - Le petit Nicolas - On a la mer - Gros Pierrot - Je n'ai pas changé - Faut tout lui dire - Laissez-moi essayer - Le Mathieu - Le sergent - A qui crois-tu donc que je pense - Le grand comique - Je n'aurai pas le temps.




~ REMARQUE AMOUREUSE, !!!~








L’Amour C’Est Comme La Danse



L’amour c’est comme la danse...

Au début on ose pas se lancer, on y va a reculons,

on essaye de faire comme tout ces gens,

on a peur de ne pas assurer alors souvent on pense à se défiler.

Pourtant, une fois le premier pied posé sur la piste,

aucun moyen de s’arrêter, emmené par cette envoûtante mélodie,

loin d’un monde sans couleurs, près d’un monde de magie!

C’est parti! On envahi l’espace, fier d’avoir enfin réussi!

Tout le monde nous regarde, tout le monde nous envie,

enlacé dans ses bras, on espère que tout ça ne s’arrêtera pas,

que la musique nous guidera sans fausses notes, et dans la joie.

- Stefany Montero –


~ IMAGE ROMANTIQUE, !!!~

~ une petite info santé!!!~

L’actualité Santé du 04/04/ 08 17h09


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


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Ouverture d'une information judiciaire à Paris sur les irradiés de Toulouse. Une information judiciaire contre X a été ouverte, notamment pour "homicide involontaire", à Paris après que 145 patients eurent été victimes en 2006 et 2007 de surdoses de radiations dans un hôpital de Toulouse, a-t-on appris jeudi de source judiciaire.

Cette information judiciaire vise également le chef de "blessures involontaires ayant entraîné une incapacité totale de travail (ITT) supérieure à trois mois".

Elle a été ouverte le 26 mars et confiée aux juges du pôle de santé publique du palais de justice, Anne-Marie Belot et Pascal Gand, a précisé cette source, confirmant une information de MediaPart.

145 patients de l'hôpital Rangueil de Toulouse, traités pour des tumeurs cérébrales cancéreuses ou bénignes entre avril 2006 et avril 2007, avaient reçu des surdoses en raison du mauvais étalonnage d'un appareil. Six sont décédés, mais le lien direct avec la surexposition n'a pas été établi.

Plusieurs victimes ont témoigné de troubles persistants apparus après leur traitement (paralysie faciale, maux de tête, difficultés à se déplacer, etc.).

L'Institut de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN) avait estimé le 26 février que ces surexpositions aux radiations étaient dues à un mauvais "étalonnage", c'est-à-dire à une erreur de calibrage des doses, souligne le fabriquant, BrainLab.

En effectuant des comparaisons de "fichiers de calibration", la société Brainlab (constructeur de l'appareil) avait constaté l'anomalie et en avait informé le CHU qui avait immédiatement arrêté tout traitement le 18 avril 2007.

Une convention permettant "une indemnisation rapide des victimes" des surirradiations devrait être signée le 9 avril.

Les juges Belot et Gand sont déjà en charge de l'affaire des irradiés de l'hôpital Jean-Monnet d'Epinal.

Quelque 4.500 personnes traitées par radiothérapie dans cet hôpital pour différents cancers entre 1989 et 2000 ont été victimes de surirradiations, dont 300 plus sérieusement, en raison du dysfonctionnement d'un appareil.

~ IMAGE (Pour un petit sourire)!!!~

Le petit chaperon rouge !!!

~ une petite info santé!!!~

L’actualité Santé du 04/04/ 08 17h04


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Prise en charge de la dépendance: les syndicats privilégient la solidarité nationale. Les syndicats ont souhaité unanimement jeudi que la solidarité nationale soit privilégiée dans le financement d'un nouveau risque dépendance, le patronat appelant aussi à la responsabilité individuelle, lors d'un premier round de consultations jeudi au ministère du Travail.

Le ministre du Travail Xavier Bertrand et la secrétaire d'Etat à la Solidarité Valérie Létard ont reçu en bilatéral les partenaires sociaux pour entendre leurs propositions sur la définition et le financement de ce "5ème risque", rendu nécessaire par le vieillissement de la population.

Ils présenteront "d'ici un mois" les premières propositions du gouvernement, a indiqué M. Bertrand, qui va poursuivre d'ici là la concertation.

La mise en place de ce risque dépendance, qui s'ajoutera aux risques de la maladie ou du chômage par exemple, et qui concernera personnes âgées et handicapées, quel que soit leur âge, interviendra "début 2009", a-t-il confirmé.

"La prise en charge de la dépendance, c'est une question de solidarité nationale, mais aussi de responsabilité collective, individuelle et familiale", a-t-il dit.

Les syndicats ont globalement affirmé jeudi que la solidarité nationale devait être au coeur du futur dispositif.

Pour la CGT, c'est une question "d'équité", selon les termes de Daniel Prada, la CGT privilégiant l'augmentation des cotisations.

Même discours à FO, Jean-Marie Bliquez affirmant que l'on devait être, avec la dépendance, dans le cadre de la sécurité sociale. Il a évoqué également une "préférence" pour une "augmentation des cotisations" plutôt qu'une augmentation de la CSG, "car les employeurs ne doivent pas être absents de la solidarité nationale".

La CFE-CGC se prononce aussi pour une hausse des cotisations, estimant que "la dépendance relève du contributif, selon les valeurs de la sécurité sociale, même si ce n'est pas forcément un risque sécurité sociale", a affirmé Danièle Karniewicz, présidente de la caisse nationale d'assurance vieillesse (Cnav).

En revanche la CFDT, par l'intermédiaire de Gaby Bonnand, a plaidé pour un "financement public reposant sur l'ensemble des revenus", la CSG "étant la plus adaptée". Celle-ci pourrait passer à un taux supérieur à partir d'un certain niveau de revenus, propose la CFDT, avec "pour effet de toucher le patrimoine en amont dans le financement, et éviter de toucher aux successions".

La prise en compte du patrimoine dans le financement de la dépendance, souhaitée par le Président de la République, devrait être en effet l'un des sujets sensibles du dossier.

La question de l'assurance complémentaire, collective ou individuelle, fait également débat. Pour FO, elle "ne peut être que collective", comme pour la CFE-CGC qui rappelle que "tout le monde peut être confronté un jour à la dépendance" et qui préconise une assurance mutualisée au niveau de l'ensemble des actifs, et non uniquement des retraités.

La CFTC n'exclut pas l'assurance individuelle, mais l'essentiel doit être "un socle universel financé par la solidarité nationale", comme la CFDT qui met en garde contre "les inégalités entre citoyens et entre personnes dépendantes".

Le patronat de son côté reconnaît que la solidarité nationale doit prendre en charge la perte d'autonomie des plus démunis, mais exclut "toute cotisation supplémentaire sur le travail", a précisé Jean-René Buisson pour le Medef.

"Le problème de la dépendance doit être aussi traité par la responsabilité individuelle", a-t-il souligné.

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Fais gaffe !!!


~ une petite info santé!!!~

L’actualité Santé du 04/04/ 08 16h59


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Jonah Lomu, ex-star des All Blacks reconverti en ambassadeur du don d'organe. L'ancien ailier mythique des All Blacks, Jonah Lomu, qui a raccroché les crampons après une carrière fulgurante interrompue en 2002 par la maladie, est venu jeudi à Bordeaux promouvoir le don d'organe et témoigner de sa greffe de rein, symbole pour lui d'un nouveau départ.

Décidée à "sensibiliser les gens à la transplantation et au don d'organe, que ce soit le coeur, le foie, le rein ou tout autre organe", l'ancienne star mondiale du rugby d'origine tongienne, âgée de 33 ans, a témoigné "de la joie d'avoir une seconde chance dans sa vie".

"Ceux qui font un don d'organe sont des gens qui font la différence et qui permettent à des gens comme moi de retrouver une vie normale, alors qu'on m'avait prédit que je finirai ma vie dans une chaise roulante" a-t-il ajouté, après avoir visité quelques patients du service de néphrologie du CHU.

C'est le cinquième hôpital que l'ancien joueur visite et même si le rugby restera toujours sa passion, il affirme vouloir poursuivre cette vocation d'+ambassadeur+ du don d'organe auprès du public "qui peut avoir peur de ce qu'il ne connaît pas".

En 2007 en France, plus de 13.000 malades ont eu besoin d'une greffe d'organes pour continuer à vivre ou améliorer leur existence. Seuls 4.664 ont été greffés et plus de 200 malades sont décédés, faute d'organes, estime l'agence de Biomédecine.

Alors qu'il était devenu en quelques mois l'unique star planétaire du rugby, grâce à son impressionnante présence sur le terrain, Jonah Lomu a vu sa carrière interrompue en 2002 par le syndrome néphrotique, une maladie invalidante dont il était atteint sans le savoir depuis une dizaine d'années.

Ce syndrome endommageait ses reins à tel point que ce géant de 1,95 m devait endurer des dialyses quotidiennes de huit heures par nuit, six nuits par semaine, dans le seul but de rester en vie.

Malgré les centaines d'offres de rein de ses compatriotes, il refusa tout passe-droit vis-à-vis des autres malades et ne subit une transplantation en Nouvelle-Zélande qu'en juillet 2004, de la part d'un ami de longue date.

Ce joueur emblématique, qui malgré ses 120 kg était capable d'afficher le temps record de 10,8 s au 100 m, détient toujours le titre de meilleur marqueur d'essais en Coupe du monde de rugby, dans son style qualifié de "démolisseur".

En France, on estime qu'environ 3 millions de personnes ont une maladie rénale chronique, qui expose à une augmentation significative du risque cardiovasculaire et à la possibilité d'évolution vers l'insuffisance rénale terminale nécessitant un traitement de substitution, dialyse ou transplantation.

Pour l'équipe médicale du CHU de Bordeaux, l'exemple de Jonah Lomu montre que "comme dans le rugby, il faut à l'hôpital un esprit d'équipe entre les médecins, les patients et les donneurs", dans un contexte difficile où persiste chaque année en France un déficit de transplantations par manque de dons.

Le Pr Pierre-Gilles Merville, chef du service de transplantation du CHU, souhaite une évolution de la loi en la matière, qui s'inspirerait par exemple de la Nouvelle-Zélande, où il est possible de recevoir un don hors de la fratrie, ou bien de la Norvège qui a davantage recours à la transplantation qu'aux techniques de dialyse.

~ REMARQUE AMOUREUSE, !!!~

~ une petite info santé!!!~

L’actualité Santé du 04/04/ 08 16h53


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Méningite à Lyon: un étudiant encore dans un état critique. L'un des trois étudiants lyonnais atteints d'une infection à méningocoque de type B, qui a coûté la vie à l'un d'eux, était toujours dans un état critique vendredi, alors que le troisième était dans un état stable et hors de danger, a-t-on appris auprès de la Ddass du Rhône.

"Les deux étudiants sont toujours (hospitalisés) en réanimation. L'un est dans un état critique, et l'autre va beaucoup mieux, sa vie n'est plus en danger", a expliqué la directrice-adjointe de la Ddass du Rhône, Anne-Marie Durand, lors d'un point-presse organisé à l'Université Lyon-II Claude Bernard, où étudiaient les trois jeunes.

Le 29 mars, un étudiant en deuxième année de pharmacie avait été retrouvé mort au matin dans son lit par un entraîneur, alors qu'il participait à un stage sportif en Isère.

"Il a été atteint par une forme particulièrement virulente de l'infection, appelée +purpura fulminans+ qui l'a tué en quelques heures. L'infection à méningocoque a été diagnostiquée après sa mort", a expliqué Daniel Floret, infectiologue expert auprès de la Direction générale de la santé.

L'étudiant qui se trouve dans un état critique a également été touché par cette forme très sévère, a-t-il précisé.

Les autorités sanitaires ont souligné qu'il était trop tôt pour savoir si les trois cas sont liés entre eux, bien que le sérogroupe du méningocoque, le type B, soit le même.

"Des examens sont en cours au centre national de référence pour la méningite, à l'Institut Pasteur, et les résultats seront connus dans la semaine", a expliqué M. Floret.

Par ailleurs, "les méningocoques se transmettent difficilement. Ils nécessitent un contact rapproché et prolongé, c'est-à-dire de plus d'une heure à moins d'un mètre de distance", a-t-il ajouté.

Une campagne prophylactique par prise d'antibiotiques a été lancée vendredi matin auprès d'étudiants lyonnais ayant participé à deux soirées ayant eu lieu le 26 mars, et auxquelles avaient pris part les trois étudiants atteints.

"A la soirée des 2e année de pharmacie, il y avait 107 personnes, identifiées par l'inscription obligatoire. Pour celle des étudiants de médecine, il y avait 300 personnes, mais nous n'avons pu contacter directement que ceux qui avaient payé par chèque", a expliqué Anne-Marie McKenzie, médecin inspectrice de santé publique à la Ddass du Rhône.

Cette dernière a également insisté sur le fait que les deux restaurants, où se sont retrouvés les étudiants lors de ces soirées, "ne sont pour rien dans les infections, et on peut s'y rendre absolument sans crainte".

Dès les deux premières heures de la campagne, quelque 200 étudiants avaient déjà bénéficié de cette campagne prophylactique, "beaucoup plus large que ce qui est prévu dans la circulaire qui régit ces traitements", a souligné Daniel Floret.

~ IMAGE (Pour un petit sourire)!!!~

Le pet du siècle !!!


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L’actualité Santé du 04/04/ 08 16h48


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Drépanocytose : un médicament déjà disponible pourrait être utile. Une molécule utilisée contre l'hypertension artérielle pulmonaire pourrait aider à traiter la drépanocytose, maladie de l'hémoglobine la plus fréquente, selon des travaux conduits par des chercheurs de l'Institut national français de la santé et de la recherche médicale (Inserm).

La drépanocytose, également appelée anémie falciforme est dépistée à la naissance dans les pays industrialisés. A défaut d'une prise en charge rapide, cette pathologie due à une malformation des globules rouges peut s'avérer mortelle, en raison de crises douloureuses et répétées d'obstruction des petits vaisseaux. Elle touche des millions de personnes en Afrique noire et des régions françaises comme l'Ile-de-France, la Guyane ou les Antilles.

Des chercheurs du Centre de recherche cardiovasculaire Inserm Lariboisière (Paris) ont, avec l'université de Vérone (Italie), mis en évidence le mécanisme contribuant à la survenue de ces crises et démontré sur des souris le potentiel thérapeutique d'une molécule utilisée contre l'hypertension artérielle pulmonaire, le bosentan.

Leurs travaux viennent d'être publiés en ligne dans le "Journal of Clinical Investigation".

Malgré des progrès, l'espérance de vie des patients des pays riches est raccourcie par cette maladie -environ 42 ans chez les hommes et 48 ans chez les femmes- et elle est encore plus faible en Afrique.

La drépanocytose ("sickle-cell disease" en anglais) résulte d'une malformation des globules rouges, due à une unique mutation dans un gène de l'hémoglobine (HbS) qui transporte l'oxygène dans le sang. Les globules rouges s'agglutinent dans les micro-vaisseaux et se fragilisent. Certains d'entre eux se brisent, provoquant une anémie. La répétition de crises d'obstruction des petits vaisseaux, dites vaso-occlusives (CVO), associée à l'anémie, est responsable de sévères lésions des reins, des poumons, des os, du système nerveux central...

Selon les chercheurs, la crise vaso-occlusive n'est pas seulement due à la rétention des globules rouges mais aussi à un trouble de la réactivité des vaisseaux induisant leur constriction, ce qui joue un rôle aggravant considérable. Ils ont établi que cette vasoconstriction était due à l'activation des récepteurs de l'endothéline, un peptide provenant de la couche la plus interne des vaisseaux sanguins et sécrété en quantité accrue chez les souris malades et les patients, en particulier dans les reins et les poumons.

Chez les rongeurs, ils ont pu prévenir cette vasoconstriction, ainsi que les lésions rénales et pulmonaires et la mortalité associées, par un inhibiteur des récepteurs de l'endothéline, le bosentan. Ils espèrent contribuer à la mise en route d'études cliniques de ce médicament.

~ PETITE DECLARATION D' AMOUR, !!!~

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L’actualité Santé du 04/04/ 08 16h42


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Un hôpital marseillais innove en matière de prothèse auditive pour enfants. L'hôpital marseillais de La Timone a annoncé jeudi qu'une de ses équipes était parvenue pour la première fois en France à implanter une prothèse auditive jusqu'alors réservée aux adultes, sur un enfant de 9 ans, selon un communiqué.

Sourd de naissance en raison d'une grave malformation de l'oreille, Ange-Marie qui vit avec sa famille en Corse, avait porté des prothèses auditives externes sans que le résultat soit satisfaisant en raison de la malformation de ses conduits auditifs.

Le professeur Jean-Michel Triglia, chef du service ORL pédiatrique à l'hôpital d'enfants de La Timone, a décidé d'implanter les composants internes d'une prothèse, en particulier un minuscule aimant, sur les trois osselets de l'oreille moyenne (l'une des trois parties de l'oreille avec l'externe et l'interne).

L'aimant permet de faire vibrer les osselets "de manière pratiquement comparable aux vibrations acoustiques transmises dans l'oreille via le tympa", précise le communiqué.

L'opération qui a duré un an et demi, a été réalisée en février. Un mois plus tard, le jeune garçon "a pu tester sa nouvelle prothèse avec succès, puisqu'il a pu répéter une série de mots et de phrases de façon très distincte, ce qu'il ne pouvait faire que de façon très approximative jusqu'alors".

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L’actualité Santé du 04/04/ 08 16h38


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Dormir davantage permet de retrouver la ligne. Pour maigrir, commencez par dormir une heure de plus, pourrait être de bon conseil, si l'on considère de nombreuses études publiées dans le monde associant manque de sommeil et obésité.

"Dormir davantage pourrait être une bonne recommandation pour stabiliser son poids ou maigrir et ainsi lutter contre le surpoids et l'obésité", avance Karine Spiegel, chercheuse à l'Inserm.

Si manger trop et ne pas bouger suffisamment jouent clairement un rôle dans la flambée de surpoids et d'obésité observés dans le monde, les données récentes suggèrent aussi que ne pas dormir assez serait un facteur de risque largement sous-estimé.

Une trentaine d'études menées dans sept pays sur de larges populations ont montré un lien entre manque de sommeil et surpoids ou obésité chez l'adulte et l'enfant, ajoute ce docteur en neurosciences.

La première étude pointant ce problème chez les enfants et les adolescents date de 1992 et c'est d'ailleurs une étude française.

Au cours de la deuxième moitié du 20e siècle, l'augmentation rapide de la fréquence de l'obésité aux Etats-Unis s'est développée de façon parallèle à la diminution progressive du temps consacré au sommeil, remarque la chercheuse.

En France, près d'un jeune adulte sur deux (45%) se plaint de ne pas dormir assez, selon une enquête de mars 2008 de l'Institut national de prévention et d'éducation pour la santé (Inpes).

Elle s'est particulièrement intéressée à deux hormones-clé produites la nuit et impliquées dans la régulation de l'appétit : la ghréline sécrétée par l'estomac et la leptine produite par les cellules adipeuses (graisse).

"Nous avons montré qu'une réduction de sommeil (2 nuits de 4 heures) était associée à une diminution de 18% de la leptine anorexigène (coupe-faim) et à une augmentation de 28% de la ghréline qui, au contraire, ouvre l'appétit".

"Ces modifications hormonales étaient effectivement associées à une augmentation de faim et d'appétit", explique-t-elle. Mais "l'appétit était essentiellement augmenté pour les aliments riches en graisses et en sucre tels que chips, biscuits, gâteaux, chocolat, cacahuètes..."

La sensation de faim et d'appétit a fait un bond de respectivement 23 à 24%. Si l'on traduit ces hausses en calories, "cela correspondrait à un excès de 350 à 500 kcal par jour, ce qui pour un adulte jeune sédentaire de poids normal peut entraîner une prise de poids conséquente", poursuit la chercheuse.

Après des années, on ignore si l'organisme est capable, et en combien de temps, de rétablir une synthèse équilibrée de ces deux hormones.

Toutefois, "pour vérifier notre hypothèse, nous démarrons une étude chez des patients en surpoids, avec une diététicienne, pour voir si des conseils pour augmenter la durée du sommeil améliorerait la perte de poids", précise-t-elle à l'AFP.

"La première chose à demander à quelqu'un qui vient voir son médecin pour obésité, c'est êtes-vous satisfaits de votre sommeil", dit-elle.

Car c'est aussi un moyen de détecter les "apnées" du sommeil fréquentes chez les ronfleurs, caractérisée par la répétition d'arrêts de la respiration (de plus de dix secondes, plusieurs dizaines de fois par heure), d'après le professeur Patrick Lévy (CHU, Grenoble). Ces apnées, qui font que l'on se réveille fatigué, constituent un risque de maladies cardiovasculaires, souligne-t-il.

Comme le sommeil trop bref, elles favoriseraient aussi le risque de développer la forme la plus fréquente du diabète, dit de type 2.

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L’actualité Santé du 04/04/ 08 16h33


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Boire beaucoup d'eau n'améliore pas la santé, selon une étude. Boire à sa soif suffit pour être en bonne santé et rien ne dit qu'augmenter sa consommation est bénéfique pour l'organisme, indique une étude publiée cette semaine dans le Journal of the American Society of Nephrology.

"Il y a un manque général de preuves" sur les avantages que les organes pourraient tirer d'une consommation d'eau allant au-delà de la soif, estiment ses auteurs.

Aucun résultat scientifique ne justifie la recommandation communément admise de boire 1,5 litre d'eau par jour, soulignent Dan Negoianu et Stanley Goldfarb de l'Université de Pennsylvanie à Philadelphie.

Ils se sont intéressés à plusieurs études concluant que la consommation d'eau améliore le filtrage de toxines par les reins. "La question est: est-ce que boire plus d'eau augmente cette fonction normale et importante des reins? La réponse est non. En fait, étonnamment, cela tend à réduire la capacité des reins à fonctionner comme un filtre", a affirmé jeudi Stanley Goldfarb sur la radio publique américaine NPR.

L'eau est souvent présentée comme la recette d'un régime réussi. Dan Negoianu et Stanley Goldfarb reconnaissent que boire plus d'eau permet aux personnes de se sentir repues et donc de réduire leur appétit. Mais aucun essai clinique n'a démontré les effets de l'eau sur le maintien de son poids, écrivent-ils.

Quelques verres supplémentaires d'eau ne permettent pas non plus d'embellir son teint de peau, ni de réduire les maux de tête. Aucune étude n'a pu démontrer ces hypothèses.

Une consommation accrue d'eau se justifie uniquement dans quelques cas extrêmes: pour les athlètes, les personnes soumises à un climat chaud et sec, ou les personnes souffrant de troubles particuliers.

"Mais pour la majorité, les gens ne devraient pas s'en faire. Buvez simplement quand vous avez soif", conseille Stanley Goldfarb.

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Suis propre !!!

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L’actualité Santé du 04/04/ 08 16h28


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Côte d'Ivoire: les "survivants" d'un village de lépreux crient à l'abandon"Nous sommes livrés à nous-mêmes": les pensionnaires de Marchoux (près d'Abidjan), derniers "survivants" du premier village de lépreux en Côte d'Ivoire crient à l'abandon, oubliés selon eux, par leurs familles et les autorités publiques.

"Nous sommes les derniers survivants, livrés à nous-mêmes, les familles nous ayant abandonnés", explique Dosso, 69 ans, l'un des vingt lépreux vivant encore à "Gnankanassi"-Marchoux ("Dieu merci" en langue locale Ebrié).

"C'est tout récemment que j'ai reçu la visite de mes parents", raconte avec amertume cet homme qui a passé 38 ans dans ce site construit en 1950 au bout d'une route cahoteuse, en bord de lagune.

Le village tire son nom d'Emile Marchoux (1862-1943), un médecin-chercheur français, spécialiste de la lèpre, connu pour son combat en faveur d'un traitement plus humain des lépreux qui devait passer, selon lui, par l'aménagement de villages spéciaux où les malades pouvaient vivre selon leurs coutumes.

Il y a dix ans, le village abritait encore une centaine de malades, dont certains originaires du Mali, du Burkina, du Niger et du Bénin, se souvient un habitant qui attribue les nombreux décès à la "solitude, l'isolement et la pauvreté".

Les "survivants" de Marchoux sont certes guéris grâce au traitement à base d'antibiotiques qui, depuis 1981, permet de détruire le bacille responsable de la maladie. Mais ils gardent tous de graves séquelles avec des pieds et des mains blessés, voire amputés, ou le visage déformé.

Handicapés et dépourvus d'allocations, ces malades dépendent entièrement des quelque 500 habitants du village, quasiment tous des descendants d'ex-pensionnaires.

Electrifié et doté d'adduction d'eau potable, mais aussi d'une école et d'un dispensaire, Marchoux était à sa création un village modèle. Il est aujourd'hui victime d'une "paupérisation grandissante" en raison de l'absence d'activités commerciales, expliquent ses habitants.

"Avant, nos femmes vendaient le produit de notre pêche", une activité maintenant sinistrée avec la raréfaction des poissons dans la lagune, explique Ernest, 55 ans, les yeux cachés par de larges lunettes noires, admis dans le village en 1967.

Refusant le rôle de "mendiants toujours prêts à tendre la main", les "survivants" de Marchoux espèrent créer des projets agricoles, des "élevages de porcs ou de volailles", pour éviter la disparition du village.

"Nous sommes les derniers et notre rêve serait de laisser un village avec des hommes valides en activité pour perpétuer la mémoire des centaines de malades qui y ont séjourné", plaide Dosso.

Outre le village de Marchoux, la Côte d'Ivoire dispose de trois centres de traitement de malades de la lèpre, dont le plus important est l'Institut Raoul Follereau d'Adzopé (est).

En janvier, le ministre ivoirien de la Santé, Rémi Alla Kouadio, a indiqué que 1.156 nouveaux cas avaient été dépistés en 2007 en Côte d'Ivoire et que 1.367 malades recevaient un traitement.

"Depuis 2001, la lèpre n'est plus un problème de santé publique en Côte d'Ivoire où, sur 10.000 personnes, moins d'une personne est lépreuse", a-t-il souligné.

"Néanmoins, notre pays figure parmi les pays d'Afrique dont le dépistage annuel reste encore élevé", a déploré M. Alla, notant la "persistance de foyers ou de zones d'hyper-endémicité à l'Ouest et au Nord".

~ une petite info santé!!!~

L’actualité Santé du 04/04/ 08 16h25


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Plus de deux millions d'enfants vivent avec le virus du sida. Quelque 290.000 enfants de moins de 15 ans sont morts du sida l'an dernier et 2,1 millions d'enfants dans le monde vivent avec le VIH, selon une étude de l'Unicef, de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et de l'Onusida présentée jeudi.

Plus de 12 millions d'enfants en Afrique subsaharienne sont orphelins du sida et 15 millions dans le monde.

Seulement 23% des femmes enceintes séropositives (350.000) reçoivent des antirétroviraux pour diminuer le risque de transmission à leur bébé, même si cette proportion a augmenté de 60% de 2005 à 2006.

Le nombre d'enfants séropositifs bénéficiant d'un traitement antirétroviral dans les pays en développement a augmenté de 70% entre 2005 et 2006 (127.000 enfants contre 75.000 l'année précédente).

La plupart des 2,1 millions d'enfants de moins de 15 ans vivant avec le VIH en 2007 ont été infectés avant leur naissance, au cours de l'accouchement ou de l'allaitement. Les jeunes de 15 à 24 ans représentent toujours environ 40% des nouvelles infections chez les personnes de plus de 15 ans.

Selon cette étude, 21 pays sont bien partis pour atteindre la cible de 80% de couverture pour la prévention de la transmission du VIH de la mère à l'enfant d'ici 2010.

Parmi ces pays, l'Unicef cite l'Afrique du Sud, le Bénin, le Botswana, le Brésil, la Namibie, le Rwanda et la Thaïlande. Une année auparavant, ils n'étaient que 11 dans ce cas.

"Des progrès importants ont été enregistrés pour répondre aux besoins de traitement des enfants et dans la prévention de la transmission du VIH de la mère à l'enfant", se félicite le directeur exécutif d'Onusida, le Dr Peter Piot. "Cependant il reste beaucoup à faire, en particulier dans le domaine de la prévention chez les jeunes, pour obliger l'épidémie à changer de direction", a-t-il ajouté.

Même si le financement reste insuffisant, il a augmenté, constate le rapport. En 2007, quelque dix milliards de dollars ont été alloués à la lutte contre le sida, contre 6,1 milliards en 2004.