dimanche 18 novembre 2007

~CLIP VIDEO !!~

~ une petite info net !!~


Par Nicolas Aguila


Google traduit votre site en 13 langues

Google vient de lancer un widget à intégrer à son blog ou site Web, et qui se charge de traduire celui-ci en 13 langues.

Il suffit alors de choisir la langue désirée pour que Google traduise automatiquement la page en cours.

Votre site devient polyglotte

« Chez Google, nous pensons qu’Internet a pour vocation de permettre l’accès à toutes les informations existantes – celles de tous les pays, publiées dans toutes les langues. » Ce sont donc 13 langues en plus du français, qui sont supportées par ce petit gadget de Google : l’anglais, l’arabe, le chinois traditionnel ou simplifié, le néerlandais, l’italien, l’allemand, le grec, le japonais, le coréen, le portugais, le russe et l’espagnol.

Pour l’ajouter, il suffit d’intégrer un code HTML à son site, la traduction est ensuite automatique. Un gros bémol est cependant à apporter à cette traduction, puisqu’elle se calque exactement sur celle proposée par le site de Google. On constatera donc qu’un site en langue française ne bénéficie que de deux traductions possibles : l’anglais et l’allemand.

Notre avis : Google propose ici un outil intéressant pour ouvrir son site à un plus large public à moindres frais. On se méfiera tout de même des traductions automatiques de Google, qui ont déjà montré leurs limites.

http://translate.google.com/translate_tools?hl=fr



~ IMAGE (Pour un petit sourire)~

Je déménage !!

~ une petite info santé!!!~

L’actualité Santé du 18/11/07 15h15


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Le Sénat adopte le projet de budget 2008 de la Sécurité sociale .

Le Sénat a adopté dans la nuit de vendredi à samedi le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2008, après avoir validé l'instauration très contestée de franchises médicales et créé une taxe sur les boissons sucrées.

Le texte voté réduit le déficit à 8,8 milliards d'euros, entérine le remboursement par l'Etat à hauteur de 5,1 milliards d'euros de sa dette à l'égard de l'assurance maladie au titre des exonérations de cotisation, et limite à 2,8% la hausse des dépenses du régime général.

Son dispositif central, qui instaure des franchises non remboursées sur les médicaments, les actes paramédicaux et les transports sanitaires a été entériné par les sénateurs sans changement par rapport au texte voté par les députés.

Applicables à partir du 1er janvier 2008, ces franchises seront de 50 centimes par boîte de médicaments et par acte paramédical, et 2 euros par transport sanitaire, avec un plafond annuel de 50 euros par patient.

Leur produit, évalué à quelque 850 millions d'euros par an, sera affecté au financement du plan Alzheimer, de la lutte contre le cancer et des soins palliatifs.

Le principe de ces franchises, dont seront exonérés enfants, femmes enceintes et bénéficiaires de la CMU, a été vivement combattu par la gauche PS et PCF.

Pour le PS, Bernard Cazeau a jugé inacceptable que "des malades payent pour d'autres malades". Patricia Schillinger a dénoncé "une atteinte grave au principe de solidarité". "Le principe, c'est que les bien portants payent pour les malades", a renchéri Raymonde Le Texier.

"Les hommes ne sont pas des voitures", a protesté Guy Fischer (PCF) qui a défendu en vain un amendement visant à exclure du dispositif les malades relevant du régime des affections de longue durée (ALD).

Les sénateurs n'ont amendé qu'à la marge le dispositif ajouté au projet de loi par les députés, qui soumet les stock-options et distributions d'actions gratuites à une contribution sociale payée par l'employeur et par le bénéficiaire.

Pour éviter un effet rétroactif de cette mesure, ils ont toutefois décidé qu'elle ne s'appliquerait qu'aux titres attribuées à compter du 16 octobre 2007.

Parmi les apports du Sénat au projet de loi, figure l'obligation pour un employeur que l'effectif total de ses salariés compte au moins 8% de personnes âgées de 55 ans et plus, sous peine d'une astreinte d'environ 5.000 euros par employé manquant.

Un amendement prévoit la création d'une contribution sociale sur les "boissons sucrées", fixée à 1% du prix de vente hors taxe du produit concerné.

Un autre, voté à l'initiative de la sénatrice de la Réunion Anne-Marie Payet, interdit la vente de produits du tabac en distributeurs automatiques. Compte tenu du monopole des buralistes en métropole, cette disposition ne concernera guère que les départements d'outre-mer.

Ultime désaccord avec l'Assemblée, qui devra être tranché en commission mixte paritaire, le Sénat a supprimé un article introduit par les députés, qui instituait au profit de l'assurance maladie une taxe sur le chiffre d'affaires des fabricants de tabac.

Cette taxe, qui aurait épargné les fabricants étrangers au détriment de la seule entreprise Seita-Altadis, "pour un produit escompté de 5 millions", aurait en outre été "incompatible avec le droit communautaire", a expliqué le rapporteur Alain Vasselle (UMP).

~ une petite info santé!!!~

L’actualité Santé du 18/11/07 15h10


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Deux revues médicales mettent en garde contre les médicaments anti-obésité.

Alors que le nombre de personnes en surpoids ne cesse de progresser dans le monde, deux études scientifiques distinctes mettent en garde contre les médicaments anti-obésité, et plus particulièrement le rimonabant.

Commercialisé en Europe sous le nom Acomplia, le rimonabant serait associé à un risque accru d'effets psychiatriques sévères, selon un article à paraître samedi dans la revue médicale britannique The Lancet.

Cette publication intervient quelques jours après le dépôt par un cabinet d'avocats américain d'un recours collectif ("class action") contre Sanofi-Aventis. Il reproche au laboratoire d'avoir diffusé auprès des investisseurs des informations "trompeuses" sur ce médicament (baptisé Zimulti pour les Etats-Unis).

Analysant les résultats de quatre essais en double-aveugle impliquant plus de 4.000 patients, l'équipe du Pr Arne Astrup (Département de nutrition humaine, université de Copenhague, Danemark) a montré que les patients recevant le rimonabant (20 mg/jour) avaient 40% plus de risque d'avoir des effets secondaires que ceux recevant un placebo. Les patients sous rimonabant avaient un risque accru d'arrêter le traitement en raison de troubles dépressifs (2,5 fois plus que ceux sous placebo) et d'anxiété (3 fois plus).

"Nos travaux suggèrent que la prise de 20 mg/jour de rimonabant accroît le risque d'effets psychiatriques - par exemple troubles de l'humeur et anxiété", estiment les chercheurs, soulignant que les personnes présentant des antécédents de dépression ou de maladies psychiatriques avaient été exclues des essais.

Le 13 juin dernier, des experts sanitaires américains s'étaient prononcés contre la commercialisation du médicament aux Etats-Unis, jugeant qu'il pouvait entraîner une augmentation des pensées suicidaires.

Le 29 juin le laboratoire annonçait qu'il retirait son dossier de demande de commercialisation auprès de la Food and Drug Administration.

En Europe, l'Agence européenne du médicament a décidé le 19 juillet de laisser le produit sur le marché, tout en ordonnant qu'il ne soit plus prescrit aux personnes présentant une grave dépression ou traitées aux antidépresseurs.

Par ailleurs, le British Medical Journal (BMJ) publie en ligne une autre étude évaluant l'efficacité à long terme de trois traitements anti-obésité -rimonabant, orlistat et sibutramine.

L'équipe du Pr Raj Padwal (Université d'Alberta, Edmonton, Canada) a montré que ces trois médicaments permettaient seulement une perte de poids modeste, de moins de 5 kilos, de nombreux patients restant obèses ou en surpoids.

Selon les chercheurs, orlistat permet une perte de poids de 2,9 kg, sibutramine de 4,2 kg et rimonabant de 4,7 kg. Ils ont aussi montré des effets secondaires pour les trois produits, et plus particulièrement pour le rimonabant un risque accru de troubles de l'humeur, comme la dépression ou l'anxiété.

De son côté, le Pr Gareth Williams (Université de Bristol) met en garde dans le BMJ contre les dangers potentiels d'autoriser l'accès libre aux médicaments anti-obésité.

"Vendre des médicaments anti-obésité devant le comptoir (NDRL: sans prescription médicale) va perpétuer le mythe selon lequel l'obésité peut s'arranger simplement en avalant une pilule et pourrait en outre saper les efforts pour promouvoir une vie saine, seule échappatoire à l'obésité sur le long terme".

Dans le monde, plus d'un milliard d'adultes sont en excès pondéral, selon l'OMS et il y a au moins 300 millions d'obèses sur la planète

~ une petite info santé!!!~

L’actualité Santé du 18/11/07 15h05


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Alzheimer:lorsqu'un malade oublie son conjoint et tombe amoureux d'un autre .

Son mari depuis plus de cinquante ans est atteint par la maladie d'Alzheimer: admis dans une maison de retraite, il tombe amoureux et vit une relation avec une autre femme.

Mme Sandra Day O'Connor, ancienne juge de la Cour suprême américaine, a récemment révélé cette douloureuse situation, levant le voile sur un aspect méconnu de la maladie où le patient peut développer un autre attachement.

Sandra Day O'Connor, 77 ans, a quitté la Cour suprême l'année dernière pour s'occuper de son mari, John O'Connor, son époux depuis 55 ans avec qui elle a eu trois fils.

Cette semaine, leur fils a annoncé à la presse que John O'Connor, 77 ans, souffrant de la maladie d'Alzheimer depuis 17 ans, vivait avec bonheur une relation amoureuse avec une autre femme à la maison de retraite où il est admis à Phoenix (Arizona, sud).

La famille O'Connor a choisi d'en parler pour aider à la compréhension de ce phénomène qui n'est pas si rare et qui parfois déchire les familles.

Mme O'Connor n'a pas fait de commentaire. Mais elle accueille avec bienveillance cette nouvelle relation de son mari malade.

"Maman est juste contente de voir papa heureux et à l'aise. Elle ne se plaint pas", a dit son fils Scott O'Connor à la chaîne locale Channel 12 (KPNX). Avant de rencontrer cette autre malade d'Alzheimer avec qui il s'entend bien, M. O'Connor était très déprimé et évoquait le suicide, a encore raconté son fils.

Selon les experts interrogés, il n'est pas rare que des malades d'Alzheimer développent une nouvelle relation alors que sans mémoire du passé et vivant dans l'instant, ils recommencent comme une nouvelle vie.

"Il est difficile de donner une estimation mais ces personnes atteintes de démence ont encore besoin de relations sociales et profondes", affirme le docteur Peter Reed, directeur des programmes pour personnes âgées à l'Alzheimer Association.

"Ce genre de situation va même augmenter alors que les baby-boomers seront en plus grand nombre et pour de longues années placés dans des institutions", assure Mme Rubin Dessel, directrice des services de démence du centre Hebrew Home de Riverdale (New York) qui accueille 900 lits.

Ces nouvelles relations peuvent prendre la forme d'une romance enfantine où le nouveau couple ne fait que se tenir la main mais elles peuvent inclure des relations sexuelles, assurent ces deux spécialistes.

"Cela peut être une relation tout à fait solide. Alors que se tenir la main peut être une démonstration d'affection et de camaraderie, voire d'intimité, cela peut aller jusqu'à quelque chose de beaucoup plus physique", explique Mme Dessel.

Comment expliquer que ces malades puissent nouer une relation au quotidien alors qu'ils ne reconnaissent plus leur partenaire d'antant?

"La maladie d'Alzheimer est un fléau progressif qui affecte la mémoire. Ils peuvent oublier leur partenaire mais ils vivent dans l'instant", explique M. Reed.

"Ce sont des gens qui vivent au jour le jour, heure après heure, instant après instant", insiste la spécialiste de Hebrew Home. "Ce qui est dans leur champ de vision constitue leur monde, guère plus loin".

Les réactions du conjoint délaissé et des familles sont parfois difficiles.

"Si le mariage a été un mariage heureux, de voir cela peut être horriblement blessant", convient Mme Dessel, "et les familles peuvent réagir avec douleur, ressentant un sentiment de trahison". "Les familles ont besoin de temps pour comprendre et réagir avec détachement", ajoute-t-elle.

L'attitude compréhensive de Mme O'Connor est pour elle exemplaire. "Je l'applaudis. Je pense que son soutien est noble et généreux". "La juge O'Connor agit avec pour seule préoccupation le bonheur et le bien-être de son mari", conclut cette spécialiste.

~ une petite info santé!!!~

L’actualité Santé du 18/11/07 15h00


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Le créateur de la brebis Dolly abandonne le clonage à partir d'embryons.

Le scientifique britannique créateur de la brebis Dolly, premier clone de mammifère obtenu à partir d'une cellule d'animal adulte, abandonne ses recherches sur le clonage au profit de la production de cellules souches sans embryon, a-t-il indiqué samedi au Daily Telegraph.

Le professeur Ian Wilmut du Roslin Institute d'Edimbourg (Ecosse) est à l'origine de la naissance le 5 juillet 1996 de la brebis Dolly, clone d'un animal adulte. Cette réussite, annoncée le 23 février 1997, lui a valu de vives critiques notamment de groupes religieux.

Mais il vient de changer son fusil d'épaule: il renonce à exploiter la licence obtenue il y a deux ans pour cloner des embryons humains afin de suivre les pas du Japonais Shinya Yamanaka, professeur à l'université de Kyoto, qui a créé des cellules souches à partir de morceaux de peau de souris sans embryon.

Le professeur Yamanaka serait parvenu à faire de même avec des cellules humaines, a indiqué le journal.

"J'ai décidé il y a quelques semaines de ne pas continuer dans le transfert de noyau (technique utilisée pour le clone Dolly)", a déclaré le professeur Wilmut au Daily Telegraph.

La recherche sur les cellules souches est une technique "plus facile à accepter socialement" tout en étant "extrêmement passionnante et étonnante", a-t-il expliqué.

Elle pourrait permettre de cultiver les cellules souches d'un patient puis de les utiliser pour réparer les dégâts causés par une maladie.

Selon certains scientifiques, le taux de succès de la méthode utilisée sur la brebis Dolly n'est pas assez élevé pour être utilisé sur les humains, en particulier compte-tenu de la difficulté à obtenir des ovules.

Les Etats-Unis ont limité les financements fédéraux pour la recherche sur les cellules souches et le président George W. Bush a apposé son veto sur un projet de loi qui avait pour but de développer cette recherche, au nom de la protection de la vie humaine.