lundi 25 février 2008

~ petite déclaration d'AMOUR !!!~








Mon Amour



Mon amour, mon coeur,

ma princesse, mon âme soeur.

Je pense à toi tous les jours,

toutes les nuits,

tu es dans toutes mes pensées.

Il y a quelque chose en toi

qui me rend heureux,

ton sourire m'envahit de bonheur.

Belle comme le coucher du soleil,

tu es ma petite fée.



Je veux t'offrir ma chaleur

pour te réchauffer du froid,

t'embrasser pour ne pas que tu aies peur,

pour ne jamais que tu pleures.

Et tout ça, pour être à toi.

Ton sourire est tellement agréable,

ton corps si tendre à caresser,

ton odeur si douce à sentir,

ton regard si intense mon coeur.

Je me ferais tout beau, tout neuf

pour que tu me regardes toujours

avec cette lueur qu'il y a en toi.

Je t'aime, je t'aime, je t'aime.



J'aime te regarder, t'admirer,

me balader avec toi

pour oublier tout, tout à part toi.

J'aime sentir ton odeur,

te faire tout plein de bisous dans le cou

et t'embrasser en posant mes lèvres

sur les tiennes avec tant de tendresse.

J'aime te sentir à mes cotés

lorsque je dors, lorsque je rêve.

Et te voir apparaître

quand je me réveille.



Tu me plais mon amour,

je t'aime tellement.

Profitons de tous les moments

que nous pouvons passer ensemble

car la vie avance à pas de géant.

Je ne serais jamais méchant,

jamais infidèle,

pour que tu sois belle.

Je t'aime, je t'aime, je t'aime.

- Julien Wiart -

~ Remarque amoureuse !!!~








L'amour, c'est rire

c'est sourire

c'est grandir

c'est s'embellir

c'est mûrir

et vieillir

et surtout c'est vivre...

- Nicolas Charlier -

~ une petite info santé!!!~

L’actualité Santé du 25/02/08 17h47


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)



Etude des effets du LSD pourrait conduire à des traitements de la schizophrénie.

Des recherches sur les effets du LSD sur le cerveau pourraient conduire à l'amélioration des traitements pour la schizophrénie, selon une étude publiée dimanche en ligne dans le journal britannique Nature.

Une équipe de chercheurs, menée par Stuart Sealfon, de la Mount Sinai School of Medicine de New York, a constaté sur des souris que les modifications qu'entraînait le LSD sur les voies nerveuses, de même que les symptômes, étaient très similaires à ceux qu'entraîne la schizophrénie.

Comme les personnes qui ont absorbé du LSD, les malades de schizophrénie sont victimes d'hallucinations, entendant des voix et se persuadant que d'autres contrôlent leurs pensées.

De fait, le LSD (lysergic acid diethylamide), créé vers la fin des année 30 par un chimiste suisse pour traiter des troubles nerveux et respiratoires, influence les mêmes récepteurs de sérotonine que ceux qui sont modifiés chez les schizophrènes.

En outre, l'équipe de chercheurs a établi que le LSD, pour obtenir l'effet recherché, devait en même temps agir sur un récepteur régulant le glutamate. Ils ont montré que chez des souris activer ce récepteur abolit les effets hallucinogènes.

Selon eux, combattre la schizophrénie pourrait donc nécessiter un ensemble de médicaments régulant aussi bien les niveaux de sérotonine que ceux de glutamate, deux neurotransmetteurs agissant en interaction.

~ une petite info santé!!!~

L’actualité Santé du 25/02/08 17h45


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Calvitie : la recherche génétique s'attaque aux racines du mal Des chercheurs ont identifié la base génétique de deux formes distinctes de perte héréditaire des cheveux, ouvrant la voie à de nouveaux traitements potentiels de la calvitie, selon deux études publiées dimanche en ligne dans la revue Nature Genetics.

Normalement un individu perd environ une centaine de cheveux par jour. Aussi longtemps qu'ils sont constamment remplacés, les gens ne s'en inquiètent guère. Mais, c'est une autre affaire, sur le plan esthétique et psychologique, pour ceux dont la perte dépasse ce niveau et qui voient poindre la calvitie.

Les thérapies actuelles ne sont pas satisfaisantes, d'où le besoin de nouvelles stratégies de traitements, souligne l'équipe du Dr Regina Betz (université de Bonn, Allemagne).

En étudiant des familles d'Arabie Saoudite, le Dr Betz et ses collègues, avec le dermatologue saoudien Khalid Al Aboud, ont réussi à identifier un gène responsable d'une forme héréditaire rare de perte de cheveux appelée "hypotrichose simplex", qui commence dès l'enfance, et chez les deux sexes.

Ils ont ainsi identifié des "mutations" (anomalies) d'un gène dénommé P2RY5. Ce gène commande la fabrication d'une protéine, un récepteur impliqué dans la croissance du cheveu. Le défaut génétique empêche la formation correcte du cheveu.

De son côté, l'équipe réunie autour d'Angelina Christiano (université Columbia, New York) a étudié des familles pakistanaises aux cheveux d'allure laineuse, épars, drus et secs, sans maladie associée (cardiaque) comme on peut parfois l'observer avec ce type particulier de cheveu.

Ces chercheurs ont également identifié des mutations du gène P2RY5 et montré que ce nouveau gène est impliqué dans la texture de la chevelure humaine.

Pour les deux équipes, ces découvertes pourraient conduire à la mise au point de nouveaux traitements de la perte capillaire.

~ une petite info santé!!!~

L’actualité Santé du 25/02/08 17h40


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Les médecins généralistes inquiets de l'épuisement professionnel Les médecins généralistes, dont le gouvernement a promis de valoriser le rôle, expriment un malaise persistant face à des conditions de travail dégradées, qui conduit certains d'entre eux au "burn-out", l'épuisement professionnel.

Le récent suicide d'un généraliste du Pas-de-Calais, qui se reprochait un mauvais diagnostic sur un patient ensuite décédé, illustre tragiquement la pression à laquelle la profession est soumise.

"On note de plus en plus de cas de +burn-out+, et les taux de suicide sont deux fois plus élevés que dans le reste de la population", relève Thierry Le Brun, vice-président du syndicat MG-France.

Il constate aussi des "divorces plus fréquents" et, chez les femmes médecins, un taux de bébés prématurés "plus élevé que dans le reste de la population". Les raisons selon lui: "toujours plus de travail, mais sans aide des pouvoirs publics et sans reconnaissance".

Pour la socio-anthropologue Anne Vega, auteur d'une récente étude pour la Drees (ministère de la Santé), le "burn-out" chez les généralistes "est une réalité", mais marquée par "de profondes inégalités".

"Selon la +clientèle+ que l'on a, le lieu où l'on exerce, le capital dont on dispose pour s'installer, tout change", souligne-t-elle. Les cas d'épuisement professionnel touchent plutôt des médecins "ne triant pas leurs patients", exerçant dans des zones isolées ou des banlieues défavorisées.

Les rencontres organisées par le gouvernement dans le cadre des Etats généraux de l'organisation de la santé ont montré qu'on ne résoudra pas les problèmes de démographie médicale sans se pencher sur ces généralistes en difficulté.

En annonçant le financement de maisons de santé dans les zones sous-dotées en médecins, la ministre de la Santé Roselyne Bachelot a entendu l'aspiration des jeunes médecins à exercer en groupe pour préserver leur qualité de vie.

Elle a aussi promis de "renforcer une véritable filière de médecine générale", souvent perçue comme une "voie par défaut" pour les étudiants en médecine.

"Ceux qui choisissent d'être généralistes sont encore sifflés dans le grand amphi" à l'issue du concours où les futures médecins choisissent leur spécialité future, note Philippe Foucras, ancien généraliste, qui a dévissé sa plaque en 2005.

Son cas illustre une autre facette du blues de la profession.

"J'ai arrêté en 2005, après 10 ans à Roubaix où je m'étais installé par conviction, pour soigner des gens modestes", explique cet ancien adepte du dispositif de médecin référent, qui lui permettait de "prendre son temps" sans avoir à "multiplier les consultations pour avoir un revenu décent".

Adopté par 6.000 généralistes et un million de patients, ce système permettait une part de rémunération forfaitaire pour les médecins. Il a été supprimé en 2005, sous la pression de certains syndicats y voyant une atteinte au caractère libéral de la profession.

M. Foucras s'est reconverti dans la formation des médecins, dont les lacunes sont souvent relevées pour expliquer leurs difficultés.

Pour Anne Vega, les généralistes ne sont pas préparés aux réalités sociales qu'ils rencontrent, dans un contexte où la précarité se développe.

"La précarité sociale peut entraîner une fragilité psychologique à laquelle nous devons faire face", prévient Elisabeth Banide, généraliste, dans la revue médicale "Pratiques". Aujourd'hui, comme les travailleurs sociaux, les médecins sont devenus les "brancardiers de la République", souligne son dernier numéro.