dimanche 10 février 2008

~ une petite info santé!!!~

L’actualité Santé du 10/02/08 14h25


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


USA: la FDA met en garde contre les effets dangereux du Botox La Food and Drug Administration (FDA), l'autorité américaine de surveillance du médicament, a averti vendredi que l'usage de la toxine botulique, commercialisée notamment sous le nom de Botox, pouvait avoir des effets dangereux, voire mortels.


La FDA n'a pas été toutefois jusqu'à interdire la substance, utilisée par des millions de personnes dans le monde dans des traitements cosmétiques pour gommer les rides.

"La FDA a reçu des rapports concernant des réactions négatives systémiques dont des problèmes respiratoires et des décès à la suite de l'utilisation de toxines botuliques", indique un communiqué.

"Les rapports font état de réactions proches du botulisme, qui survient lorsque la toxine botulique se répand dans le corps au-delà de l'endroit où elle a été injectée", ajoute le communiqué.

"Les cas les plus sérieux ont provoqué l'hospitalisation et la mort", précise la FDA.

Ils se sont produits chez des patients, adultes et enfants, auxquels on avait injecté la toxine botulique à des fins thérapeutiques, pour des symptômes comme les contractions incontrôlables des muscles du cou et des épaules, le strabisme, des battements incontrôlés des paupières et la transpiration excessive sous les bras, ainsi que dans des cas de comblement des rides.

La toxine botulique est secrétée par la bactérie à l'origine du botulisme, une maladie mortelle que l'on contracte en mangeant des conserves avariées.

L'avertissement de la FDA intervient alors que l'association américaine de consommateurs Public Citizen, fondée par le militant Ralph Nader, a mis en cause récemment l'innocuité du Botox.

En analysant des données de la FDA, l'association affirme que le recours au Botox est à l'origine de 87 hospitalisations aux Etats-Unis entre le 1er novembre 1997 et le 31 décembre 2006. 16 personnes en seraient mortes.

~ Potins de presse!!!~

Billywill remercie le CS1 de Bachelor et les élèves du programme Bachelor, pour leurs commentaires !!! Merci à vous de garder Florentin dans votre mémoire, car il ne méritait pas cette Mort effroyable à 19 ans !!


Je vous souhaite à toutes et à tous, de réussir vos études !! votre vie !!


Bien amicalement Billywill.

~ CLIP VIDEO !!!~

Accidents !!

~ une petite info santé!!!~

L’actualité Santé du 10/02/08 14h00


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Arrestation au Népal du médecin indien responsable d'un trafic de reins La police du Népal a exhibé vendredi devant la presse le médecin indien arrêté la veille, soupçonné d'être le cerveau d'un vaste trafic international de reins en Inde et dont New Delhi réclame l'extradition.


Amit Kumar, un chirurgien quadragénaire, a été interpellé jeudi soir dans un hôtel de la province de Chitwan, situé à 80 km de Katmandou, a indiqué à l'AFP Kiran Gautam, un officier de la police du royaume himalayen.

"Je n'ai commis aucun crime" a hurlé M. Kumar devant une forêt de photographes et de caméras. D'après les enquêteurs, le fugitif était en possession de plus de 200.000 dollars en devises étrangères et indienne lorsqu'il a été appréhendé.

"Nous pourrions le déporter vers l'Inde, mais la procédure ne commencera qu'après son passage devant un juge pour être inculpé de violation de la législation sur les devises étrangères", a expliqué l'officier Upendra Kanta Aryal.

Mais l'Inde "fera une demande formelle d'extradition auprès des autorités népalaises", a indiqué son ambassade à Katmandou.

Interpol avait émis le 1er février des avis de recherche internationaux contre deux chirurgiens indiens --Amit Kumar et son frère Jeevan Rawat-- pour "transplantation illégale de reins, escroquerie et complot criminel".

Dans ce qui est probablement le plus grand scandale de trafic d'organes jamais mis au jour en Inde, la police avait effectué fin janvier des perquisitions dans des cliniques et résidences de Gurgaon, en banlieue de New Delhi.

Un médecin, des infirmiers et des intermédiaires ont été arrêtés et la police accuse MM. Kumar et Rawat d'être les cerveaux d'un crime organisé de plusieurs millions de dollars. Des Grecs ont également été interpellés à New Delhi: deux d'entre eux attendaient apparemment des greffes et une femme grecque aurait servi d'intermédiaire.

Sous l'autorité de M. Kumar "500 personnes auraient été opérées ces huit dernières années, sous la contrainte et clandestinement, puis leurs reins transplantés sur des patients étrangers", ont dénoncé l'Inde et Interpol.

Bien que M. Kumar clame son innocence, "il a dit avoir procédé à quelque 300 transplantations en Inde au cours des 12 dernières années", a affirmé le policier népalais, M. Aryal, ajoutant qu'il enquêtait sur de possibles victimes népalaises de ce commerce illégal.

En Inde, les donneurs d'organes sont des travailleurs déshérités venus des Etats les plus pauvres. Les dons de reins sont légalement autorisés en Inde, mais seulement entre membres d'une même famille et après le feu vert des autorités sanitaires. Pour autant, beaucoup disent être rackettés et vendent leurs organes illégalement pour gagner de l'argent.

~ CLIP VIDEO !!!~

Aieeeeeeeeee!!!

~ une petite info santé!!!~

L’actualité Santé du 10/02/08 13h45


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


"Devenir parent est parfois difficile. Parler peut vous aider": Un numéro vert national pour aider les parents et parfois sauver un enfant national "Allo parents bébé" a été ouvert vendredi par l'association Enfance et Partage, pour offrir une écoute professionnelle aux jeunes parents dépassés et prévenir les "mauvais gestes".


Aider un parent peut sauver un enfant: c'est cette idée qui a conduit Enfance et Partage, association de défense des droits de l'enfant gérant depuis 1988 un numéro national de signalement d'enfants en danger, à lancer "Allo parents bébé" (0 800 00 3456).

Pour l'association, la maltraitance des enfants, aujourd'hui mieux prise en compte en France, pourrait être évitée en agissant en amont, dès la maternité.

Le numéro est un "trait d'union avec les jeunes mamans qui ont besoin d'être rassurées sur leur compétence", mais il "peut permettre aussi de sauver un enfant avant un geste fatal", affirme Florence Francillon, sage-femme à l'Hôpital de Poissy St Germain (Yvelines), et membre du comité scientifique d'"Allo parents bébé".

Les deux professeurs obstétriciens Israël Nisand et René Frydman, également membres du comité scientifique, insistent sur le rôle préventif de ce numéro d'écoute.

La maltraitance, conséquence de la détresse des parents, intervient dans tous les milieux, rappellent-ils. Chaque année, environ 300 bébés sont "secoués" par des parents à bout de nerfs, selon les estimations d'Enfance et Partage.

"L'idée n'est pas de mettre un psychologue derrière chaque difficulté, mais de renvoyer les gens sur les bons interlocuteurs", précise Catherine Schor, psychologue référente d'"Allo parents bébé".

Les séjours de plus en plus courts à la maternité, l'éclatement géographique des familles, l'augmentation des familles monoparentales, la pression sociale liée à l'image idyllique de la maternité, expliquent les difficultés de certains jeunes parents.

"Avant, je discutais des heures avec les mamans à la maternité, les puéricultrices montraient les gestes, accompagnaient la montée de lait. Quand elles sortent au bout de trois jours, on n'a plus le temps", souligne Florence Francillon. "Je comprends l'intérêt économique de raccourcir l'hospitalisation, dit-elle, mais le risque de baby-blues est plus grand, d'autant qu'il n'y a aucun relais ensuite".

La multiplication des forums internet où les jeunes mères échangent des conseils, qui n'est pas vue d'un très bon oeil par les médecins, est aussi révélatrice d'un très grand besoin d'écoute, de conseils, au risque d'y trouver des réponses erronées.

"On n'est pas dans l'urgence médicale, ni dans le SOS biberon", prévient cependant Catherine Schor, "mais on est là pour rassurer, pour éviter les dérapages".

Le numéro vert, financé par des entreprises privées mais bénéficiant de l'appui de l'Assistance publique, est ouvert du lundi au vendredi de 10H00 à 13H00 et de 17H00 à 21H00. Pour l'instant, les parents excédés par les nuits sans sommeil ne pourront pas appeler à l'aide au-delà de ces horaires, faute de moyens.

Une campagne de communication est mise en place. Des affiches et dépliants, avec le dessin d'un cordon ombilical qui se termine en cordon de téléphone, seront distribués dans les PMI, et placés dans la mallette donnée aux jeunes accouchées à la sortie de maternité.

Un site internet,

www.alloparentsbebe.org

a été ouvert en parallèle, pour le grand public et les professionnels.