mardi 12 février 2008

~ CLIP VIDEO !!!~

ATTENTION VIDÉO CHOC !!! (âme sensible!! s'abstenir !) interdit aux - 16 ans

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La télé qui décoiffe !!!


~ Potins de presse !!!~

Histoire du jour ( la dépêche du midi)


Société. Agresseurs à 12 ans, « snipers » à 13 ans. La violence des très jeunes augmente partout en France. Témoignages à Toulouse et dans la région.


Ces enfants caïds

I l s ont 12 et 13 ans. Le 14 janvier dernier, ils agressent au couteau deux adolescents plus âgés pour dérober un téléphone portable. L'une des victimes est rouée de coups à terre. Cette scène, très violente, s'est déroulée dans le quartier de la Cépière à Toulouse. Les deux agresseurs ont été arrêtés par la police, mis en examen, et placés sous contrôle judiciaire avec des mesures de liberté surveillée.

Les 17 et 18 décembre derniers, à Toulouse, autre agression : pour voler un scooter et un téléphone portable, trois jeunes de 13, 14 et 15 ans agressent violemment au couteau des adolescents.

Dernièrement, un enfant de 12 ans a pris part à un pillage d'un magasin. « C'est une délinquance d'appropriation », constate le vice-procureur au parquet de Toulouse Richard Bometon. Dans les Hautes-Pyrénées, la moitié des délits attribués aux mineurs en 2007 concerne des vols. La violence est parfois gratuite.

Le 23 janvier dernier, à Toulouse, les policiers arrêtent deux gamins de 12 et 13 ans : ils tiraient à la carabine. Deux personnes ont été atteintes par des plombs.

La délinquance des adolescents est en éruption en Haute-Garonne : 20 % d'augmentation de mineurs mis en cause en 2007, soit 1 249 adolescents interpellés.

Tandis qu'au niveau national, la délinquance des mineurs s'est stabilisée à 18 %. « En revanche, le nombre de mineurs mis en cause dans des affaires de violence a augmenté de 8,1 % », souligne Christophe Soullez, directeur de l'Observatoire national de la délinquance.

Un phénomène observé depuis 2003 en France. Cette escalade de la violence concerne aussi les filles.

La plus jeune détenue de France vient de fêter ses 14 ans en prison : à Agen, en novembre 2007, elle est soupçonnée d'avoir participé au meurtre d'un homme.

À Carcassonne, dans l'Aude, trois adolescentes ont été mises en examen, fin novembre, pour des faits présumés de séquestration : elles arrêtaient des automobilistes, les agressaient pour se faire remettre de l'argent ou une carte bancaire.

721 mineurs écroués Comment les arrêter ? « La majorité des mineurs mis en cause sont des récidivistes. Ils gravissent les étapes dans l'échelle de la violence et n'hésitent plus à nous affronter », raconte un officier de gendarmerie à Toulouse.

Le nombre de ces mineurs multirécidivistes, et ceux impliqués dans des affaires criminelles, est estimé à 9 000 en France. La ministre de la Justice Rachida Dati envisage de modifier l'ordonnance de 1945, pierre angulaire de la justice des mineurs, qui donne la priorité à l'éducatif.

Cette ordonnance a déjà été remaniée 31 fois… Rachida Dati explique vouloir « l'actualiser », en « individualisant les peines en fonction des tranches d'âge ». Pour les récidivistes impliqués dans des affaires criminelles, la ministre a décidé de multiplier les centres éducatifs fermés : il devrait y en avoir 47 en 2009. Le nombre des établissements pénitentiaires pour mineurs, EPM, doit également être revu à la hausse.

Début 2008, on compte 724 mineurs écroués en France, soit 1,2 % de la population carcérale. En 2002, ils étaient 900 derrière les barreaux. Une prison pour les plus durs Vu de l'extérieur, cela ressemble à une prison. Murs d'enceinte, absence de fenêtres… De l'intérieur, des petits pavillons et une cour engazonnée font dire à certains ados : « C'est crème, ici ! Le Club Med ! ». L'établissement pénitentiaire pour mineurs de Lavaur, dans le Tarn, inauguré au mois de juillet, a du mal à trouver… ses marques. Menaces de viol, insultes quotidiennes à l'encontre du personnel, tentative de strangulation d'une surveillante, plat de choucroute renversé sur la tête d'une éducatrice : « Entre le mois de novembre et le mois de décembre, le personnel a subi six agressions », déplore Jean-Christophe Bermond, secrétaire régional du syndicat CGT de la PJJ (Protection judiciaire de la jeunesse).

Ces informations n'ont pas été confirmées par la direction de l'établissement pénitentiaire. Lundi dernier, à l'EPM de Meyzieu près de Lyon, un adolescent s'est pendu. Hier, la ministre de la Justice Rachida Dati s'est rendue sur place.

Le week-end dernier à l'EPM de Marseille, deux jeunes détenus ont fait la belle. Ces nouvelles prisons sont-elles la panacée pour contenir les délinquants ? Il s'agit avant tout d'éviter de mettre les jeunes délinquants en contact avec les détenus adultes dans les prisons.

Progressivement, les quartiers pour mineurs dans plusieurs centres de détention vont fermer. « Les EPM restent des prisons, mais avec une prise en charge éducative meilleure », souligne Laurent Ridel, sous-directeur des personnes placées sous main de justice à la direction de l'administration pénitentiaire.

Debout à 7 h 30, les mineurs ont des cours délivrés par des enseignants, ils font du sport, mangent ensemble. « Pour des adolescents déscolarisés, désocialisés, sans repère, on passe de rien à tout, et cela ne va pas sans créer des tensions », explique un éducateur.

Parfois, un mineur refuse tout contact avec les adultes, préférant l'isolement d'une cellule : « Je mange ma peine et puis c'est tout ». D'autres explosent, se bagarrent, agressent. Ces détenus, même très jeunes, ne sont pas des anges. Ceux qui sont envoyés derrière les barreaux ont soit commis un crime, ou pour les plus de 16 ans, des délits graves. Il y a le cas de ces multirécidivistes qu'aucune mesure judiciaire, placement en foyer, en centre éducatif fermé, n'a pu arrêter. La prison est la dernière case.

L'administration pénitentiaire estime qu'il est encore trop tôt pour tirer un bilan de ces EPM après six ou huit mois de fonctionnement. Les syndicalistes de la CGT, réunis en coordination nationale des EPM ce jeudi à Lyon, jugent que les éducateurs en sont réduits « à du gardiennage ». « Il faut pouvoir créer un lien avec le mineur, souligne Jean-Christophe Bermond.

Et ce n'est pas avec de l'activisme, une salle de muscu et un atelier, que l'on peut y arriver ». À Lavaur, 40 adolescents, dont trois filles, sont détenus. Située entre un magasin de bricolage et une grande surface, cette prison moderne se fond dans le paysage d'une zone commerciale. Le soir, à la fenêtre de leur cellule, les jeunes détenus s'invectivent. Des cris qui rappellent aux riverains la présence de ces jeunes qui en ont pris pour un bail. 17 ans et 27 procédures Pas encore majeur et déjà un passé de « grand ».


Dans les fichiers de la justice toulousaine, le nom de ce Toulousain de 17 ans apparaît déjà dans vingt-sept procédures !


Vols, agressions, outrages à policiers, menaces, incendie… Son casier judiciaire compte déjà sept condamnations. En attendant les prochaines, et notamment de lourdes accusations dans le cadre des émeutes de novembre 2005 à la Reynerie où il est accusé d'avoir mis le feu à un bus détourné quelques minutes plus tôt. « Hyperviolent, prêt à tout, sans limite… Il est objectivement identifié comme dangereux », résume un policier qui l'a trop souvent croisé. La date de ses débuts « officiels », avec passage devant la justice, remonte à 2001. Cet enfant du Mirail avait alors 12 ans. Dernièrement, au volant d'une voiture volée avec violence quelques jours plus tôt, il a foncé droit dans un véhicule de police. Deux policiers ont été blessés et son arrestation a été très mouvementée sous un flot de cailloux…

Face aux policiers de la sûreté, l'intéressé ne s'affole pas : « Pas moi… » Et il faut sortir sa photo, réalisée par un radar automatique (!), au volant d'une autre voiture volée pour qu'il admette, du bout des lèvres, que peut-être, ce jour-là… La justice l'a renvoyé à l'établissement pénitentiaire pour mineurs de Lavaur. Dans vingt jours, il passera chez les grands, à la maison d'arrêt de Seysses. Pas la même histoire. « Peut-être le déclic », espère, sans y croire vraiment, une magistrate. l 18 % des faits de délinquance, en France, sont commis par des mineurs.

Entre 2006 et 2007, le nombre de mineurs mis en cause dans des affaires de violences a augmenté de 8,1 %, selon l'Observatoire national de la délinquance. Chez les filles, les mineures, cette augmentation est de 11,7 %. Toujours entre 2006 et 2007, on note une augmentation de 30 % de mineurs mis en cause dans des affaires de violence à l'encontre d'autres mineurs de moins de quinze ans !

Pas de prison pour les moins de 16 ans L'ordonnance de 1945, que souhaite « réactualiser » la ministre de la Justice, prévoit que les mineurs de moins de 16 ans ne peuvent être emprisonnés, sauf pour les faits criminels.

À partir de 13 ans, les mineurs délinquants peuvent être placés dans un établissement pénitentiaire pour mineurs (EPM). Il existe cinq EPM en France, dont un à Lavaur. Deux autres vont ouvrir.

Publié le 10 février 2008 à 08h53 | Auteur : Jean Cohadon

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Simple arrestation !!!

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Jeu idiot !!!!

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Arrestation en douceur !!!

~ une petite info santé!!!~

L’actualité Santé du 12/02/08 8h20


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Ovaires : les ruses du cancer pour résister à la chimiothérapie Une étude réalisée par des chercheurs américains révèle pourquoi certains patients souffrant de cancers de l'ovaire deviennent au fil du traitement résistants à la chimiothérapie à base de platine, selon la revue britannique Nature.


Les gènes BRCA1 et BRCA2, qui ont capacité à réparer l'ADN -en protégeant les cellules d'agents agressifs, notamment cancerogènes- peuvent eux-mêmes prédisposer aux cancers du sein et de l'ovaire, en cas de mutation génétique. De telles "erreurs" génétiques sont à l'origine d'environ 10% des cancers de l'ovaire, selon les auteurs.

Ainsi, si les tumeurs de l'ovaire répondent initialement très bien à la chimiothérapie à base de platine, 70 à 80% des personnes traitées finissent par développer une résistance à ces médications, selon l'étude réalisée par les chercheurs du Centre de recherche sur le cancer Fred Hutchinson, à Seattle (Washington, nord-ouest).

De fait, selon l'équipe de Toshiyasu Taniguchi, lorsqu'elles sont exposées au cisplatine, certaines cellules du cancer de l'ovaire développent des mutations secondaires du gène BRCA2, qui lui redonnent ses capacités à réparer l'ADN et permettent ainsi à la tumeur de devenir résistante aux attaques de la chimiothérapie.

Elizabeth Swisher, directrice du programme de prévention du cancer du sein et de l'ovaire à l'université de Washington, a qualifié de "jamais vu" ce mécanisme de résistance à la chimiothérapie. Selon elle, il pourrait aider à "trouver de nouveaux moyens de redonner à des tumeurs leur sensibilité à la chimiothérapie".

Les chercheurs espèrent pouvoir expliquer, grâce à cette découverte, la résistance aux traitements de nombre de cancers, dont ceux du sein, de la prostate et du pancréas.

Nature publie parallèlement les travaux de l'équipe du professeur Alan Ashworth (Institute of Cancer Research, Londres) sur le cancer du sein et le gène altéré BRCA2, qui décrivent également ce mécanisme d'adaptation (restauration des capacités de réparation de l'ADN) des cellules cancéreuses pour survivre à la chimiothérapie.

Environ 5% de tous les cancers du sein sont dus à des anomalies génétiques héréditaires prédisposant à la maladie, selon cette équipe.

Cette découverte "devrait aider à trouver des moyens de contrecarrer ce problème de résistance", estime le Pr Ashworth, qui souligne que "la résistance aux médications est un problème commun à tous les types de cancer".

~ une petite info santé!!!~


L’actualité Santé du 12/02/08 8h15


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Mode: trois mannequins anglais trop maigres écartés des défilés à Madrid Trois mannequins anglais, considérés comme trop maigres, ont été écartés des défilés de mode qui débutent lundi à Madrid, ont rapporté dimanches plusieurs médias espagnols.


Depuis septembre 2006, les modèles défilant au rendez-vous espagnol de la mode, Pasarela Cibeles, passent un contrôle médical pour déterminer leur indice de masse corporelle (IMC).

En cas d'IMC inférieur à 18 (1,75 mètre pour 55 kilos), seuil qui détermine la maigreur voire l'anorexie, les candidates sont recalées, ce qui a été le cas de 13 mannequins au total depuis la mise en place de ce contrôle.

Quelque 37 maisons ou créateurs, en majorité espagnols, présenteront leurs collections automne-hiver 2008/2009 lors de défilés dans les locaux de la foire exposition de Madrid (Ifema) de lundi à vendredi.