mardi 16 octobre 2007

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Hep !! Taxi !!





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Oh !!! Ma péniche !!!

~ une petite info santé!!!~

L’actualité Santé du 16/10/07 21h40


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Cancer de la gorge : des virus de plus en plus mis en cause .

Des virus, déjà responsables de cancers féminins, sont de plus impliqués dans des cancers de la gorge survenant chez des patients, qui n'ont pas le facteur de risque "habituel" de l'intoxication alcool-tabac, selon les spécialistes.

Ces virus, appartenant à la famille des papilloma virus (HPV - Human Papilloma Virus) sont les mêmes que ceux reconnus responsables chez la femme du cancer du col de l'utérus.

"Ils semblent jouer un rôle important dans le développement de cancers de la gorge dans le monde occidental", indique à l'AFP le Pr Jean Lacau Saint Guilly (hôpital Tenon, Paris), membre de la société française d'ORL (Sforl; ORL: nez-gorge-oreilles) dont le 114e congrès s'est tenu à Paris du 14 au 16 octobre.

"On observe de plus en plus de cancers de la gorge, notamment chez des sujets jeunes, qui n'ont pas d'intoxication alcoolo-tabagique", remarque-t-il.

Ces cancers ORL touchent essentiellement des gens âgés d'une cinquantaine d'années. Or on découvre "des cancers sans facteurs de risque chez des gens de plus en plus jeunes : moins de quarante ans", renchérit le professeur Dominique Chevallier (Lille).

D'après plusieurs études, "ces virus sont retrouvés dans plus de 50 % des cancers oropharyngés, la partie moyenne du pharynx : cancer de la base de la langue, du voile du palais et particulièrement cancer de l'amygdale", détaille M. Lacau Saint Guilly.

A tel point que des spécialistes parlent d'une possible "épidémie" chez les non-fumeurs.

Aux Etats-Unis, l'incidence (nouveaux cas) des cancers liés à l'alcool-tabac (larynx, pharynx) baisse de 2,42% par an depuis 1983 tandis que l'on note une augmentation de l'incidence des cancers de l'oropharynx supposés liés à l'HPV de 0,65% par an. Des augmentations similaires sont retrouvées dans d'autres pays.

Une étude suédoise sur des tumeurs, avec recherche virale, montre un triplement des cancers liés aux virus HPV, ajoute le Pr Lacau Saint Guilly.

Par conséquent, l'absence des facteurs de risque "habituels" alcool-tabac ne doit pas faire méconnaître la possibilité d'un cancer de la gorge (surtout de l'oropharynx) ou de l'origine cancéreuse d'un ganglion du cou, notamment chez des patients jeunes, avertissent les spécialistes.

En France, 18.000 nouveaux cancers ORL sont diagnostiqués chaque année, dont 2.000 cancers de l'amygdale.

A terme, on saura si l'usage du vaccin préventif contre le cancer du col de l'utérus, actuellement destiné aux jeunes filles avant le début de la vie sexuelle, s'accompagne d'une baisse des cancers de la gorge impliquant les mêmes virus. "Si c'est le cas, il faudra alors envisager de vacciner les garçons" pour prévenir les cancers de l'oropharynx, avance le Pr Lacau Saint Guilly.

Pour les cancers de la gorge de mauvais pronostic avec métastases, des médicaments (Taxotère, Erbitux) ont permis d'améliorer la survie globale. Pour le futur, la recherche travaille sur les vaccins curatifs (vaccinothérapies) pour ces cancers de la gorge..

Plus généralement, les spécialistes français ont regretté que "les patients consultent à un stade tardif". Ce sont des "cancers de patients défavorisés", remarque M. Chevallier comme dans le Nord, Nord-Pas-de-Calais et la Seine-Saint-Denis.

Par ailleurs, "les cancers du larynx liés à l'amiante, indemnisés en Allemagne, sont de mieux en mieux reconnus en France", souligne M. Chevallier.

"Outre les facteurs alcool-tabac et certainement viraux, il existe probablement des facteurs environnementaux qu'on ne connaît pas", estime M. Lacau Saint Guilly.

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L’actualité Santé du 16/10/07 21h35


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


A Bayad al-Arab, en Egypte, la lutte contre l'excision bute sur la tradition .

Deux fois excisée, deux fois mère, Wafaa Helmy s'était jurée de ne jamais mutiler ses filles. La cadette y a échappé, mais l'aînée, emmenée par sa grand-mère chez une exciseuse de leur village de Haute-Egypte, a été opérée en secret un soir d'été.

Pour la mère de Wafaa, la peur de la stigmatisation a été la plus forte.

Comme beaucoup de ses compatriotes, elle reste convaincue que l'excision est un précepte religieux et qu'elle préserve la vertu et l'honneur des jeunes filles.

Dans un pays où près de 97% des femmes entre 15 et 49 ans, chrétiennes comme musulmanes, sont excisées selon des chiffres officiels, nombreuses sont celles qui se sentent garantes de l'ordre social et n'osent pas déroger à cette tradition remontant au temps des pharaons, communément appelée "purification" en Egypte.

Même si toutes racontent la douleur, les saignements, parfois les malaises, les infections. Et les séquelles.

"Voilà, c'est simple: je suis frigide", lâche Wafaa, venue assister à une réunion d'information sur l'excision organisée par une ONG, le Centre copte pour la formation et le développement, dans une salle attenante à l'église de Bayad al-Arab.

"C'est un gros problème avec mon mari, on se dispute tout le temps. Je n'ai jamais envie de faire l'amour, je n'ai aucune réaction, pas de sensations, pas de plaisir", explique à l'AFP cette Copte de 35 ans, deux fois excisée à dix ans "parce qu'il restait un petit bout à couper".

Kawkaba Fathi, elle, a trouvé la parade. "Je simule pour faire plaisir à mon mari, et ça va mieux", dit cette musulmane au visage placide et parfaitement rond, encadré par un voile noir.

Kawkaba a été excisée "à la soudanaise", c'est-à-dire que tous ses organes génitaux externes ont été enlevés. Traumatisée, elle a décidé, en accord avec son époux, de ne pas faire exciser ses trois filles.

Aujourd'hui, comme une soixantaine d'autres villageoises, en majorité chrétiennes et toutes excisées, Wafaa et Kawkaba sont venues écouter une gynécologue travaillant avec le Centre copte.

"L'excision est une vieille, très vieille tradition et n'a aucun lien avec la religion", commence Mariam Mounib, avant de se lancer dans une description de ses conséquences: hémorragie, incontinence, relations sexuelles douloureuses, accouchements difficiles...

Beaucoup opinent du chef, mais certaines s'inquiètent du qu'en-dira-t-on.

"Et si jamais le mari renvoie ma fille pendant la nuit de noces parce qu'elle n'est pas excisée?" s'alarme l'une d'elles.

"Il faut bien qu'on sache si la fille est normale, si ce n'est pas trop gros, si elle n'a pas de malformation?", demande une autre, en écho à la croyance que certaines femmes aux organes génitaux trop "saillants" doivent être excisées.

La présidente de l'ONG, soeur Joanna, une petite femme brune à poigne, entre alors vivement en scène.

"Emmènes-tu ta fille chez le médecin pour savoir si elle a un trop gros nez, ou des yeux trop grands ou trop petits? Alors pourquoi pour cette partie-là du corps?", tance-t-elle la villageoise.

Le Centre suit sans relâche les filles de huit à douze ans, "âge sensible" pour l'excision, dans quinze villages de Haute-Egypte. Tout est bon pour convaincre les villageois d'assister aux réunions, comme la distribution de thé, de lessive ou de savon.

Pour soeur Joanna, il ne fait pas de doute que la lutte contre l'excision a progressé. "Il y a dix ans", dit-elle, "rien que le mot +excision+ était tabou".

L'ONG reste toutefois confrontée à la méfiance et aux réticences, reconnaît-elle, comme lorsque ses volontaires sont accusés d'être des "suppôts de l'Occident" cherchant à "pourrir les filles égyptiennes".

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L’actualité Santé du 16/10/07 21h30


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Installation des médecins: "déçus", les internes entament une "grève totale".

Les internes ont maintenu lundi, après une rencontre jugée "décevante" avec la ministre de la Santé Roselyne Bachelot, leur appel à une "grève totale et illimitée" contre l'éventuelle limitation de l'installation de médecins libéraux dans les zones où ils sont assez nombreux.

"La réunion de ce matin a été extrêmement décevante. La ministre propose un cadre légal qui donne déjà les résultats des fameux Etats généraux" de la démographie médicale prévus dans quelques mois, a estimé Pierre Loulergue, président de l'ISNCCA (chefs de clinique assistants) au cours d'une conférence de presse des représentants des internes et étudiants en médecine.

Des représentants de l'Isnih (internes), SNJMG (jeunes généralistes), Isnar-IMG (internes de médecine générale) et de l'Anemf (étudiants en médecine) étaient également présents.

A l'issue de sa rencontre avec les syndicats, Mme Bachelot a pour sa part fait état de "points d'accord", comme l'organisation d'"Etats généraux de la démographie médicale" début 2008 et l'intégration des "jeunes médecins" aux "négociations conventionnelles entre les caisses d'assurance maladie et les syndicats de médecins représentatifs".

La ministre, qui a prévu "un entretien approfondi avec le président de la République sur ce sujet", a également assuré que le projet de budget de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2008 ne contenait "ni mesures coercitives, ni de déconventionnement" de médecins s'installant dans les zones où les praticiens libéraux sont déjà suffisamment nombreux.

Ces arguments n'ont toutefois pas convaincu les internes. Ainsi, le président du SNJMG, Fabien Quédeville, a estimé que les mesures de "désincitation" à l'installation dans les zones sur-médicalisées, envisagées par le gouvernement, étaient proches de celles ayant "aggravé la pénurie" de praticiens dans des pays comme l'Allemagne, la Suisse ou la Grande-Bretagne.

Futurs médecins, les internes ont rappelé que le nombre d'étudiants admis en médecine par les universités françaises avait sensiblement baissé entre 1978 et 1998, passant de plus de 8.000 par an à moins de 4.000, avant de remonter jusqu'à un peu plus de 7.000 en 2006. "Dans les années à venir, le territoire français dans sa globalité" manquera de médecins, ont-ils souligné.

Les internes, qui observent déjà depuis le 27 septembre une grève des gardes et astreintes -- pratiquement sans conséquences jusqu'à présent sur les soins à l'hôpital -- , ont confirmé leur appel à partir de ce lundi à "une grève totale illimitée".

Elle devrait surtout avoir des répercussions sur les soins non urgents.

Les rapports d'experts et de politiques se sont accumulés ces derniers mois pour souligner la mauvaise répartition des médecins libéraux sur le territoire et proposer de limiter leur nombre dans les régions où ils sont suffisamment nombreux, pour les inciter à s'installer dans les zones sous-médicalisées, comme les banlieues pauvres ou certaines régions rurales.

"La démographie médicale est un vrai problème, mais le gouvernement ne propose pas de vraies solutions", a estimé Vincent Garcia, président du Syndicat autonome des internes des hôpitaux universitaires de Strasbourg, où 200 d'entre eux ont manifesté lundi après-midi.

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L’actualité Santé du 16/10/07 21h20


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Ménopause: retrait du marché d'Agréal, médicament anti-bouffées de chaleur.

Les autorités sanitaires françaises ont annoncé lundi le retrait du marché d'Agréal, un médicament contre les bouffées de chaleur survenant au cours de la ménopause, en raison de risques d'effets indésirables psychiatriques et neurologiques.

A partir du 22 octobre, le médicament ne sera plus disponible dans les pharmacies.

"Le retrait de l'AMM (autorisation de mise sur le marché) sera effectif à compter du 24 octobre 2007. Cependant, le médicament Agréal sera disponible dans les officines jusqu'au 22 octobre 2007, date à laquelle sera effectué le rappel des lots", a annoncé l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps) lundi dans un communiqué.

"La réévaluation européenne du véralipride a en effet conclu à une balance bénéfice/risque défavorable du fait des risques d'effets indésirables psychiatriques et neurologiques, dont certains potentiellement irréversibles", a-t-elle précisé.

Agréal (dénomination commune internationale: véralipride) est un médicament neuroleptique indiqué dans le traitement des bouffées de chaleur de la ménopause, lorsqu'elles sont invalidantes et altèrent la qualité de vie.

En France, ce médicament bénéficiait d'une AMM depuis décembre 1979. Il était commercialisé dans 5 autres pays européens (Belgique, Espagne, Italie, Luxembourg et Portugal).

En 2005, l'Espagne avait décidé de retirer l'AMM d'Agréal, principalement du fait d'événements indésirables psychiatriques. En 2006, devant les différences de position des autres états, l'Agence européenne du médicament (EMEA) décidait de réévaluer Agréal afin d'adopter une position commune. Cette nouvelle évaluation a conclu à une balance bénéfice/risque défavorable et a conduit l'agence européenne à recommander le retrait d'Agréal en Europe.

L'Afssaps recommande aux femmes actuellement traitées avec Agréal de ne pas interrompre seules et brutalement leur traitement, mais de prendre contact avec leur médecin afin d'arrêter progressivement ce médicament et d'envisager les alternatives thérapeutiques possibles.

Un document questions/réponses destiné aux patientes est, par ailleurs, disponible sur le site internet de l'Afssaps (www.afssaps.sante.fr).

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Par Nicolas Aguila publié le 16/10/2007 à 12:51


Un quart des internautes français piratent

Un sondage publié aujourd’hui dans le quotidien « Les Échos » révèle qu’un français sur quatre avoue télécharger illégalement de la musique sur Internet. Ce sondage, réalisé par BVA pour The Phone House, a été mené auprès d’un échantillon représentatif de 1021 personnes âgées de 15 ans et plus.

Une pratique courante

À la question « Téléchargez-vous illégalement des musiques ou des films sur Internet », 23% des interrogés répondent par l’affirmative. Du côté des geeks, cette proportion monte à 45%. Le téléchargement illégal est devenu une pratique courante pour les internautes français, au même titre que la consultation de ses e-mails ou les discussions par messagerie.

Outre un certain manque de complexe dans l’acte, le sondage montre également que plus l’internaute français est jeune, plus il va avoir tendance à télécharger. Les jeunes internautes de 15 à 24 ans reconnaissent être 55% à télécharger, tandis que les geeks du même âge sont 63% à utiliser cette pratique.

Notre avis : on ne peut pas vraiment parler ici d’un manque d’information ou d’une ignorance des conséquences de l’acte. Les internautes interrogés savent qu’ils parlent de téléchargement illégal, et avouent tout de même le pratiquer pour près d’un quart. On constate donc une absence totale de complexe pour beaucoup, pour qui l’acte est devenu certainement moins grave qu’il était perçu auparavant. Faut-il le voir comme une aubaine pour le modèle gratuit, pour lequel Deezer est un exemple

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Par Nicolas Aguila publié le 15/10/2007 à 18:00





Détente : Rebound

Rebound est un jeu dans lequel vous devrez diriger une petite boule de poils rose vers la sortie. Celle-ci est propulsée par un canon et roule contre les barrières que vous placerez pour la diriger. Le but est donc de l’aider à atteindre la sortie, tout en ramassant les différents bonus du niveau autant que possible.

http://www.freegamesnews.com/en/games/Rebound.html

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Par Nicolas Aguila publié le 15/10/2007 à 17:41



45 millions d'amende pour France Télécom

France Télécom a été condamné à une amende de 45 millions d’euros par le Conseil de la Concurrence. Cette décision sanctionne l’opérateur historique pour des pratiques jugées déloyales, et dédommage Alice et Club Internet, les deux plaignants.

Pratiques déloyales

La sanction originelle était de 60 millions d’euros, mais a été réduite de 25%, après que l’opérateur se soit montré conciliant. « France Télécom n’a contesté ni les faits, ni leur qualification d’abus de position dominante », explique le communiqué du Conseil de la Concurrence.

Il faut remonter aux débuts de l’ADSL en France pour retrouver l’origine de cette histoire. À l’époque, France Télécom est accusé de conserver les informations personnelles de ses anciens clients. L’opérateur historique aurait recontacté ces derniers pour leur proposer de signer un nouveau contrat chez lui. Cette pratique, jugée anticoncurrentielle, a valu deux plaintes respectivement d’Alice en 2001 (anciennement Liberty Surf) et de Club Internet en 2002, auprès du Conseil de la Concurrence.

L’affaire aurait pu se terminer rapidement, alors que France Télécom avait trouvé un arrangement à l’amiable avec les plaignants. Mais le Conseil de la Concurrence, qui ne l’a pas entendu de cette oreille, a maintenu la procédure afin de dénoncer les faits. L’affaire vient donc de trouver une fin, et France Télécom n’a pas refusé le verdict, ni indiqué vouloir faire appel.

Notre avis : cette amende de 45 millions d’euros n’est pas une première pour France Télécom. L’opérateur a déjà été condamné en 2005 pour ses pratiques anticoncurrentielles