mercredi 22 août 2007

une petite info net !!

Publié le 21/08/2007 à 14:49 par Nicolas Aguila


Skype : la version de Microsoft

Suite et fin des problèmes concernant Skype, résolus depuis, mais dont le véritable coupable semble ne pas vouloir se montrer. Hier, Skype avançait en effet la théorie selon laquelle Windows Update serait en partie responsable de cette coupure, à cause des redémarrages effectués après une mise à jour au niveau mondial. On pouvait s’en douter, Microsoft n’a pas tardé à réagir à cette théorie, expliquant que son service de mise à jour n’est pas en cause.

Microsoft donne son avis

« L’interruption de service a été déclenchée par un redémarrage massif de nos utilisateurs après une mise à jour de Windows Update » expliquait hier le blog de Skype, avant d’expliquer qu’un bug interne à Skype a empêché le système de fonctionner correctement, causant les désagréments connus par les utilisateurs. Pour Microsoft, ces désagréments sont uniquement dûs à un bug interne, et Windows Update n’en est pas responsable.

« Les mises à jour de sécurité de mardi dernier n’ont pas causé l’interruption de service de Skype, et ces mises à jour ne différaient pas des mises à jour habituelles effectuées chaque mois par Windows Update » nous a expliqué aujourd’hui une porte-parole de Microsoft.

« Nous confirmons n’avoir rien remarqué d’inhabituel dans la mise à jour de ce mois-ci », explique Christopher Budd, responsable des programmes de sécurité au Microsoft Security Response Center, dans un des blogs de Microsoft. Qui est donc le véritable coupable de cette coupure, qui aura gêné le service durant plus de 48 heures ? Il semblerait que ce bug interne, mentionné conjointement par Skype et Microsoft, soit bien en cause.

Skype seul responsable

Skype a publié aujourd’hui une nouvelle note, dans laquelle le service clarifie quelques malentendus. Le blog indique qu’à chaque nouvelle mise à jour (et donc à chaque redémarrage massif) de Windows, Skype connaît des difficultés, qui sont généralement parfaitement gérées par le module mis en place à cet effet. Cette fois-ci, le module n’a pas fonctionné correctement, à cause d’un bug interne, tous les paramètres pour une « tempête parfaite » étaient donc réunis.

Skype ne jette donc pas la pierre à Microsoft, et indique que les équipes techniques des deux sociétés ont travaillé de pair pour repérer et éliminer tous les éventuels problèmes. Aujourd’hui, le bug a été corrigé, et un tel problème ne devrait plus se reproduire. Rendez-vous donc le mardi 11 septembre pour s’en assurer.



MTV et Real s'allient contre iTunes

Le leader du marché de la musique en ligne n’a pas fini de s’attirer la hargne de la concurrence. MTV et RealNetworks sont sur le point d’annoncer leur alliance pour contrer la domination du service d’Apple, comme l’indique aujourd’hui le Wall Street Journal.

L’alliance anti-iTunes

Les deux entreprises sont déjà bien connues dans le milieu de la musique en ligne. RealNetworks est le créateur du service Rhapsody, qui propose entre autres à ses abonnés de télécharger de la musique illimitée pour 12,99 dollars par mois. MTV, de son côté, est surtout connu pour avoir créé Urge, un service de téléchargement de musique créé en partenariat avec Microsoft. Aujourd’hui, c’est donc directement contre iTunes que les deux noms se tournent.

Toujours selon le Wall Street Journal, ce partenariat, qui n’a toujours pas été annoncé, devrait être rendu officiel au plus tard pour la cérémonie des MTV Video Music Awards, qui se tiendra le 9 septembre prochain. Un tel partenariat pourrait notamment permettre au service Rhapsody de RealNetworks d’avoir une bien meilleure présence dans le monde, grâce notamment à la popularité de MTV sur la planète. Les portes-paroles de MTV et RealNetworks ont refusé de s’exprimer à ce sujet.

une petite info santé!!!

L'actualité santé du 22/08/2007


Pratis news ( L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Sécu: hausse de 4,2% des dépenses maladie sur les 7 premiers mois de 2007

Les dépenses maladie du régime général (salariés) de la Sécurité sociale sont en hausse de 4,2% sur les sept premiers mois de cette année par rapport à la même période en 2006, a indiqué mercredi la Caisse nationale d'assurance maladie (Cnam).

Les remboursements de soins de ville (médecine libérale, médicaments) ont augmenté de 5,3% par rapport à la même période en 2006.

Dans un communiqué, la Cnam relève cependant un "ralentissement" de la croissance des dépenses d'honoraires.

"Pour les médecins et dentistes, la hausse est de 2,3% pour le seul mois de juillet, ramenant ainsi l'évolution globale depuis le début de l'année de +4,9% fin juin à +4,5% fin juillet, malgré l'impact de la hausse (d'un euro) du tarif de la consultation (des généralistes) au 1er juillet", souligne-t-elle.

Le mois de juillet reflète ainsi "une modération de l'activité des médecins généralistes, tant pour les consultations que pour les visites", selon la Cnam.

La tendance est la même pour les auxiliaires médicaux (infirmières etc.): "+4,8% pour le seul mois de juillet, ramenant l'évolution globale depuis le début de l'année de +8,6% fin juin à +8% fin juillet", souligne la Cnam.

Celle-ci pointe par ailleurs une "accélération" de la croissance des remboursements des produits de santé (médicaments, etc.). Le taux de croissance des médicaments est ainsi de +7,6% en juillet. Sur les sept premiers mois de l'année, la hausse est de 4%. La Cnam attribue notamment cette forte augmentation aux prescriptions d'anticancéreux et d'érythropoïétine.

Pour les dispositifs médicaux (pansements, seringues etc.), le taux de croissance du seul mois de juillet "atteint 13%, portant le taux de croissance de +11,3% fin juin à +11,6% fin juillet", explique l'assurance maladie.

Les versements aux hôpitaux publics ont pour leur part diminué de 3,5% en juillet "sous l'effet de la récupération par l'assurance maladie d'une partie des surplus de trésorerie versés en 2005 (...) portant le taux de croissance annuel à +3% sur les sept premiers mois, contre +4% fin juin", relève la Cnam.

Les versements aux établissements privés progressent en juillet de +3,8%, "soit à un rythme supérieur à l'ensemble du premier semestre (+0,8%)".

Les versements aux établissements pour personnes âgées progressent en juillet de +9,2%, "un rythme plus élevé", selon la Cnam, que ceux "pour les adultes handicapés (+8,3%) et les enfants inadaptés (+4,1%)".

Au total, les versements aux établissements médico-sociaux augmentent de +6,6% à fin juillet.



Vieillir altère peu l'appétit sexuel des Américains, selon une étude

La plupart des Américains âgés de 57 à 85 ans estiment que la sexualité est importante dans leur vie, selon la première enquête nationale approfondie sur ce sujet publiée mercredi et qui montre que l'activité sexuelle diminue peu entre 50 et 70 ans.

Cette étude conduite auprès d'un échantillon représentatif de 3.005 hommes et femmes de 57 à 85 ans, financée par les Instituts nationaux américains de la santé (NIH), constate que le sexe dépend étroitement de l'état de santé, un facteur qui devient décisif avec l'âge.

"Nous avons découvert que les adultes plus âgés conservent un intérêt pour le sexe et continuent à avoir des relations sexuelles mais qu'un grand nombre souffre de problèmes sexuels", relève le Dr Stacy Tesser Lindau, professeur de gynécologie et spécialiste de médecine gériatrique à l'Université de Chicago (Illinois, nord), principale auteur de ces travaux.

La fréquence des rapports sexuels diminue passé 70 ans alors que la condition physique décline régulièrement à partir de cet âge, selon cette étude parue dans le New England Journal of Medicine daté du 23 août.

Quelque 73% des personnes âgées entre 57 et 64 ans affirment demeurer sexuellement actives. Cette proportion passe à 53% pour la tranche d'âge 65-74 ans et à 26% au-delà.

Les femmes âgées éprouvent moins le désir d'avoir des rapports sexuels que les hommes âgés.

Parmi ceux qui restent actifs sexuellement, près de la moitié reconnaissent cependant avoir rencontré au moins un problème. Ainsi, 37% des hommes indiquent avoir eu des problèmes d'érection et 39% des femmes évoquent une sécheresse vaginale

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L'actualité santé du 22/08/2007

Pratis News ( L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Les jeux vidéo pourraient fournir des clés sur la propagation des épidémies


Une maladie virtuelle, qui s'est accidentellement propagée dans le jeu vidéo en ligne le plus populaire, pourrait aider les chercheurs à prédire l'impact de véritables épidémies, selon une étude publiée mardi.

Des jeux vidéo, tel World of Warcraft, lancé en 2004, pourraient bientôt devenir des espaces de test dans la lutte contre la grippe aviaire, le paludisme, ou un autre virus meurtrier encore inconnu, explique à l'AFP une des auteurs de l'étude, Nina Fefferman de l'Université Rutgers, dans le New Jersey.

Des discussions sont en cours avec Blizzard, le développeur de ce jeu, afin de voir comment de futures mises à jour du jeu pourraient venir en aide au monde scientifique, ajoute-t-elle.

"Alors que la technologie et la biologie deviennent de plus en plus partie intégrante de notre vie quotidienne, ce rapprochement entre des virus virtuels et des humains pourrait être très important", estime-t-elle.

L'improbable collaboration entre le monde médical et le jeu vidéo a débuté fin 2005, quand les développeurs de Blizzard, propriété du groupe français Vivendi, ont introduit dans leur jeu une maladie hautement contagieuse, appelée "Corrupted Blood", dans une nouvelle zone de leur univers virtuel.

World of Warcraft est un "jeu de rôle en ligne massivement multijoueurs", dans lequel des milliers d'avatars s'affrontent, forment des alliances ou dialoguent.

Au départ, la nouvelle maladie a fonctionné comme prévu: les personnages les plus forts subissaient les effets d'une simple mauvaise grippe, tandis que les plus faibles mouraient.

Lorsque les joueurs atteints ont rejoint d'autres zones de World of Warcraft, comme des villes densément peuplées, des avatars sans défense ont à leur tour été infectés, ce que n'avaient pas anticipé les programmeurs.

Les développeurs ont ensuite tenté d'imposer, sans succès, des périodes de quarantaine aux personnages contaminés. Au final, pour mettre un terme à cette épidémie, ils n'ont eu d'autre choix que de redémarrer les serveurs du jeu.

"C'était la première fois qu'un virus virtuel infectait un humain virtuel, d'une manière qui ressemblait à un vrai évènement épidémiologique", affirme Nina Fefferman, dont le collaborateur dans cette étude, Eric Lofgren, de l'Université de Boston, jouait au jeu quand cette maladie est apparue.

Les auteurs se sont immédiatement rendus compte des perspectives qu'offraient les jeux en ligne pour analyser la propagation d'une épidémie, jusqu'à présent étudiée uniquement grâce à des modèles mathématiques, qui n'ont pas réponse à tout.

"On ne peut pas prévoir comment les gens réagiront" en cas de crise sanitaire, juge Nina Fefferman. "Combien fuieront la quarantaine? Seront-ils plus ou moins coopératifs s'ils ont peur? Nous n'en savons rien", ajoute-t-elle.
C'est pourquoi ces univers virtuels pourraient aider les scientifiques à "intégrer des paramètres appropriés à des modèles épidémiologiques existants", poursuit-elle.

Certains sceptiques suggèrent que les joueurs prennent plus de risques sur internet que dans la vraie vie. "Nous ne disons pas que les réactions des gens dans le jeu seraient identiques dans la vraie vie", répond Mme Fefferman. "Mais je crois que c'est le comportement le plus ressemblant à ce qu'ils feraient pour se protéger réellement".






Cancer: le taux de survie des malades cinq ans après le diagnostic s'améliore en Europe


Les taux de survie des malades du cancer s'améliorent en Europe, et les écarts entre les différents pays semblent amorcer une réduction, selon des résultats publiés mardi d'une étude Eurocare-4 portant sur 23 pays

L'analyse, portant sur 2,7 millions de cas de cancer diagnostiqués chez l'adulte entre 1995 et 1999 et suivis jusque fin 2003, fait apparaître un taux de survie moyen de 52% dans les cinq ans suivant le diagnostic, avec un total d'environ 1,3 million de décès.

La Norvège, la Suède et la Finlande sont les pays les mieux placés avec un taux de survie moyen à 5 ans de 57%. Si ce taux avait été atteint par les 23 pays concernés par l'étude, il y aurait eu 150.000 décès par cancer en moins, relèvent Franco Berrino (Milan, Italie) et ses collègues.

Le taux de survie moyen à 5 ans varie en fonction de l'organe atteint: inférieur à 10% pour le pancréas et le foie, il dépasse 90% pour le cancer des lèvres ou des testicules, selon les résultats publiés en ligne par le revue médicale The Lancet Oncology.

Pour le cancer du poumon (plus de 343.000 cas), il reste inférieur à 13%. Il atteint 54% pour le cancer colorectal, 76% pour le cancer de la prostate et 79% pour le cancer du sein. Pour ces quatre cancers fréquents et celui de l'ovaire, le taux de survie est le plus élevé dans les pays nordiques (sauf le Danemark) et en Europe centrale, et le plus faible en Europe de l'Est.

Il se situe à un niveau intermédiaire en Europe méridionale, et est faible au Royaume Uni et en Irlande.
Alors que la précédente étude Eurocare-3 publiée en 2003 évoquait un fossé se creusant entre les pays de l'Est et de l'Ouest, les résultats d'Eurocare-4 laissent entrevoir un réduction des différences géographiques, principalement due à l'amélioration des services de santé dans les pays ayant précédemment un faible taux de survie, note le Dr Berrino.

Durant la période 1991-2002, le taux de survie à 5 ans dans les pays de l'est est passé de 30% à près de 45% pour le cancer colorectal, de 60% à 74% pour le cancer du sein et de 40% à 68% pour le cancer de la prostate, relève Arduino Verdecchia (Institut supérieur de Santé, Rome) dans un second article à paraître également dans le mensuel Lancet Oncology.
La survie s'améliore globalement, les pays où les dépenses totales nationales de santé sont les plus élevées ayant généralement (sauf notamment au Royaume Uni et au Danemark) de meilleurs résultats.

La Finlande enregistre toutefois un taux de survie élevé malgré un niveau modéré de dépenses.
Le Pr Verdecchia appelle à partager au niveau européen les acquis "des plans nationaux contre le cancer à succès" et à développer, à terme, un plan cancer pan-européen.





Sida: l'injection intradermique réduit la quantité du prototype de vaccin


L'injection dans la peau d'un prototype de vaccin anti-virus du sida permet d'avoir une réponse immunitaire dirigée contre le virus équivalente à celle obtenue par injection dans le muscle, mais "avec 5 fois moins de produit", selon les résultats d'un essai réalisé en France.

L'Agence nationale française de recherche sur le sida (ANRS) publie mercredi les résultats de cet essai baptisé "Vac 16" sur 68 volontaires séronégatifs dans la revue en ligne PLoS ONE, alors que se tient jusqu'à jeudi la conférence internationale "AIDS Vaccine" à Seattle (Etats-Unis).

Ces résultats sont intéressants dans la perspective d’une vaccination à large échelle dans les pays en développement pour réduire le coût de la diffusion d'un futur vaccin qui aura démontré son efficacité à grande échelle, souligne l'ANRS.

L'essai, conduit dans six centres de vaccination préventive, avait pour objectif de comparer la tolérance et la réponse immunitaire (développement de défenses dirigées contre le virus du sida, le VIH) de deux voies d'injection, intramusculaire et intradermique, du candidat-vaccin ou prototype.

La très grande majorité des vaccinations, par exemple contre la grippe ou l’hépatite B, recourt à l'injection intramusculaire. La vaccination contre la tuberculose avec le BCG se fait dans la peau.

La voie intradermique présente l'intérêt de requérir une plus faible quantité de produit et est d'ailleurs étudiée pour améliorer la vaccination contre la grippe, dans la perspective de pouvoir immuniser un grand nombre de personnes en cas de pandémie, selon l'ARNS.

"Dans le domaine du sida, la vaccination intradermique pourrait favoriser davantage la réponse des cellules-clés du système immunitaire dirigées contre le VIH : les CD4 et surtout les CD8, les cellules +tueuses+", expliquent les chercheurs.

Ce candidat-vaccin est un mélange de quatre lipopeptides de synthèse, composés de fragments de protéines du VIH - Gag, Pol, Nef et RT - dont on sait qu’ils déclenchent une bonne réponse immunitaire cellulaire contre le VIH, et de lipides. Ces derniers, des molécules graisseuses, favorisent la pénétration de la préparation vaccinale dans les cellules adéquates.

Ces résultats démontrent la capacité des lipopeptides à induire une bonne réponse immunitaire, en faisant intervenir les cellules tueuses, contre le VIH chez des individus non-infectés et ce avec "5 fois moins de produit quand l’injection est faite par voie intradermique".

Billywill

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Publié le 21/08/2007 à 18:38 par Nicolas Aguila



Le nouveau Flash Player d'Adobe


Adobe vient d’annoncer la nouvelle version de son célèbre lecteur Flash Player, largement utilisé sur le Net. Actuellement en version 9, le lecteur en question se dotera donc d’un codec H.264, qui permettra entre autres la diffusion en streaming de contenus haute définition.

De la HD pour Flash
Adobe, qui a sous-titré cette nouvelle version MovieStar (en référence aux nouvelles capacités vidéo de son lecteur) entre donc de plain-pied dans le monde de la haute définition. Le lecteur Flash d’Adobe supportera en effet le codec H.264, qui permet entre autres une compression d’une vidéo en haute définition, et devrait permettre des diffusions en HD sur le Net. La vidéo n’est cependant pas le seul point sur lequel Adobe travaille, puisque la gestion de l’audio a également été améliorée, notamment avec la prise en charge du format AAC.

De même, Adobe a annoncé une meilleure prise en charge matérielle afin de tirer un meilleur parti des cartes graphiques, un paramètre important pour une diffusion en HD. Déjà considéré comme une référence pour la diffusion de vidéos sur Internet, utilisé par d’importants sites comme YouTube, Dailymotion ou Metacafe, Flash risque bien de se creuser un confortable écart face à la naissante concurrence d’alternatives comme Silverlight, de Microsoft. Pas encore disponible au téléchargement, une version bêta de cette nouvelle version sera mise en ligne sur le site d’Adobe.






Détente : battez Microsoft à son jeu


Microsoft est décidément très fort en ce qui concerne le marketing viral. On se souviendra par exemple des nombreuses publicités pour la Xbox 360 ou des jeux en ligne pour différents services de la marque. Bref, la firme de Redmond adule cette méthode de communication, et remet cette fois encore le couvert en lançant le site siteofchampions.com (littéralement « le site des champions »).

Fouillez, vous trouverez ...
Que vous propose ce site... Et bien c’est bien le problème, rien en apparence. Vous devrez chercher, fouiller et récupérer tant d’indices que vous pourrez. Mais avant cela, il vous faudra ouvrir la porte, cadenassée par un code secret que vous devrez découvrir.

Une fois à l’intérieur, à vous de déchiffrer les nombreux messages cachés dans cette étrange maison. Les nombreuses références au monde vidéoludique de Microsoft font fortement penser à une annonce concernant le jeu vidéo. Peut-être des informations sur Halo 3 ? Ou des nouveautés pour Xbox 360 ou même sur PC ? À vous de le découvrir.

http://www.siteofchampions.com/





Le retour de AllofMP3


La nouvelle était tombée comme un coup de masse sur le crâne des mélomanes du monde entier, mais le site AllofMP3 a bien été contraint de fermer ses portes au début du mois de juillet sous la pression de l’industrie du disque.Alors que l’auteur du site devait se voir jugé par rapport à sa création, et pendant que l’industrie musicale fêtait cette petite victoire contre le piratage, un autre site, MP3Sparks, ouvrait ses portes.

Acquitté par la justice
Il semblerait finalement que la fermeture (finalement provisoire) du site AllofMP3 ait causé plus de tort que de bien à l’industrie musicale. Quelques heures après la fermeture du site naissait en effet un « remplaçant » connu sous le nom de MP3Sparks. Mais ce n’est pas tout, puisque Denis Kvasov, créateur du premier site incriminé, vient de se voir acquitté par la justice russe. Il n’aura donc pas fallu longtemps au fondateur de AllofMP3 pour revenir sur le devant de la scène, annonçant presque tout de suite après son retour sur un site hébergé sous le nom de domaine AllofMP3.ru.

Un retour imminent
Pour l’instant, le site n’indique que peu de choses, à l’exception des péripéties judiciaires vécues par le site, et surtout une actualité titrée « Le service va revenir ». Et c’est là que tout devient intéressant, puisque Kvasov a effectivement la ferme intention de rouvrir son site, au grand désespoir des majors de la musique. Pas de date indiquée, pas de formule particulière annoncée (le retour des MP3 à 10 centimes ?), mais l’actualité indique que l’auteur « fait de son mieux pour assurer que les utilisateurs puissent utiliser leurs comptes et commander de la musique », pour un retour « dans un futur proche ».

Billywill