dimanche 2 mars 2008

~ CLIP VIDEO !!!~

Attention à la souris !!!

~ CLIP VIDEO !!!~

Y a du JUS !!!!!!


~ CLIP VIDEO !!!~

Regardez bien , l'élastique s'enroule autour du cou !!!

~ PETITE DECLARATION D' AMOUR, !!!~








Elle apparut, l'air d'un ange, comme un mirage,

Etrange inconnue, dotée d'un si doux visage.

Sa beauté naturelle, son charme enivrant,

Ses longs cheveux lisses, qui dansent avec le vent,

Ses yeux de malice, son regard captivant,

Font d'elle la plus belle, et de moi son servant.

Adieu à ma raison, bonjour folie nouvelle,

N'ai-je comme horizon que ce désir mortel?

Je ne peux rester indifférent devant elle,

Envahi par l'irrésistible attrait charnel.

Envoûté par sa pureté et son innocence,

Je ne sais plus quoi penser, plus rien n'a de sens.

Je ne peux que perdre la notion temporelle,

Tant pour elle mon amour restera éternel.

- Komenasai -

~ REMARQUE AMOUREUSE, !!!~








Se voir le plus possible et s'aimer seulement,

Sans ruse et sans détours, sans honte ni mensonge,

Sans qu'un désir nous trompe, ou qu'un remords nous ronge,

Vivre à deux et donner son coeur à tout moment.

- Alfred De Musset -

~ IMAGE (Pour un petit sourire)!!!~

Merci au bateau !!!

~ CLIP VIDEO !!!~

Je tombe !!!!!


~ une petite info santé!!!~

L’actualité Santé du 02/03/08 16h37


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Voir à nouveau grâce à une dent, c'est possible

Recouvrir la vue grâce à une dent, la sienne ou celle de son fils, comme l'a expérimenté un Irlandais, devenu aveugle après une explosion, ne relève ni du miracle ni d'un docteur Frankenstein, mais d'une opération chirurgicale imaginée il y a des décennies par un ingénieux spécialiste italien.

"500 à 600 interventions de ce type ont été pratiquées au total dans le monde", indique le Dr Bernard Duchesne (université de Liège, Belgique) dans un entretien avec l'AFP.

La technique, dite d'"ostéo-odonto-kératoprothèse, a été "inventée par (Benedetto) Strampelli en 1956", ajoute ainsi l'un des "huit" spécialistes au monde de cette opération, avec notamment le Français Emmanuel Lacombe.

"Il s'agit d'une alternative à la greffe de cornée, quand cette dernière n'est pas possible, mais aucunement bien sûr d'un remplacement de l'oeil entier par une dent", dit-il.

La technique, surtout utilisée dans les années 60, a été entre-temps modifiée par la famille Falcinelli, Giancarlo et Giovanni, qui ont publié en 2005 la première évaluation scientifique de la méthode sur 223 patients.

"On se sert beaucoup plus fréquemment d'une dent du patient, généralement une canine, précise-t-il, que de celle d'un donneur apparenté compatible avec le receveur", comme dans le cas de l'Irlandais Bob McNichol, 57 ans.

M. McNichol avait perdu la vue en 2005 lors d'une explosion dans une entreprise de recyclage d'aluminium.

Schématiquement, "tout matériau synthétique directement implanté dans l'oeil se voit expulser par la couche de surface, c'est-à-dire l'épithélium, et c'est encore plus vrai au niveau de la cornée", explique M. Duchesne.

"Or l'inventeur a observé que dans l'organisme, deux matériaux rigides pouvaient être en contact sans problème avec de l'épithélium, les ongles et les dents", poursuit-il.

"Il a observé par ailleurs que la muqueuse buccale tolère la dent, si le ligament alvéolo-dentaire est en bon état. Sinon (problème d'hygiène, maladies familiales...), la muqueuse cherche à l'expulser, provoquant le déchaussement de la dent". Une observation dont Benedetto Strampelli, "assez génial", a su tirer parti.

Concrètement, on prélève le bloc ostéo-dentaire où se trouve la racine de la dent avec ce fameux ligament, puis l'émail est enlevé. On meule ce bloc pour obtenir un parallélépipède rectangle de 7 à 8 mm de large, de 14 à 16 mm de long et 2,5 à 3 mm d'épaisseur.

On le perce pour y introduire une simple optique en plastique transparent, et ainsi le boucher. L'ensemble est alors placé sous la peau du patient pendant 3 mois minimum, pour qu'il soit colonisé par des cellules et entouré de tissus fibreux afin de permettre de faire les points de suture.

"Parallèlement, on prépare l'oeil en lui enlevant la fine couche qui le recouvre (opération dite kératotomie) et la remplaçant par de la muqueuse buccale afin que la dent retrouve le milieu auquel elle est habituée", poursuit l'ophtalmologue.

L'aspect n'est "pas très joli (pupille sans iris, couleur rosâtre)", mais esthétiquement une grande lentille de contact avec un iris dessiné dessus peut être "acceptable".

Des lunettes permettent d'adapter ensuite la vue, poursuit le spécialiste. "La récupération visuelle est suffisante pour conduire une voiture", ajoute-t-il, évoquant un chauffeur de taxi à Rome, opéré de cette manière.

"Cette technique, très lourde (en durée et personnels), n'a jamais été très en vogue", admet-il, mais elle reste "utile".

Pour sa part, le patient irlandais opéré à Brighton se réjouit de voir "suffisamment" pour se déplacer et regarder la télévision.

~ une petite info santé!!!~

L’actualité Santé du 02/03/08 16h35


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


En Suède, le congé parental ne rime pas toujours avec égalité des sexes Les papas suédois, qui bénéficient d'un congé parental, l'un des plus généreux au monde, sont très loin de tirer pleinement profit de cet avantage et dans le pays champion de l'égalité des sexes, ce sont encore largement les mamans qui pouponnent.

Les pères ne prennent en moyenne qu'un cinquième des jours du congé parental, qui indemnise les parents pendant seize mois, selon le Bureau central de la statistique suédois (SCB) et ce sont généralement les mères qui quittent leur emploi temporairement pour s'occuper des enfants.

"Il faut s'interroger sur les raisons qui poussent avant tout les femmes à rester chez elles, et l'une d'entre elles est que la personne qui gagne le plus est très souvent celle qui va travailler", fait valoir la ministre de l'Intégration et de l'Egalité entre les sexes, Nyamko Sabuni.

Les femmes, surreprésentées dans les secteurs faiblement rémunérés, tels que l'éducation ou les soins à la personne, ont un salaire moyen qui, selon le SCB, représentait environ 84% du salaire moyen des hommes en 2006.

Parents de deux jeunes enfants âgés de 7 et 5 ans, Charlotte Northman-Alm, 37 ans, et Carl-Johan Alm, 39 ans, constituent un couple dont la situation professionnelle et financière a été un frein à un partage équitable du congé parental.

Possédant son propre cabinet de conseil en architecture, Carl-Johan n'a pu rester auprès de ses enfants que dix jours, chaque fois à l'occasion de leur naissance.

La quasi totalité du congé parental est de ce fait revenue à Charlotte, professeur de collège, dont le salaire est nettement moins élevé que celui de son mari.

"Nous étions inquiets des difficultés qu'il aurait pu rencontrer, s'agissant de nouvelles tâches, s'il était revenu à son travail après en avoir été absent pendant une année", justifie Charlotte.

Si Carl-Johan, qui a beaucoup travaillé depuis son domicile, a eu la possibilité de voir ses enfants grandir, il concède que "cela aurait été évidemment beaucoup plus drôle d'être à leur contact au début".

Le changement de mentalité intervenu ces quinze dernières années permet toutefois de plus en plus aux pères de s'absenter de leur travail sans pour autant susciter des froncements de sourcils de leur employeur.

Un père poussant un landau ou réchauffant le biberon de son enfant dans un café bondé est désormais une scène de la vie quotidienne en Suède.

Une des critiques portées à l'encontre du congé parental est la possibilité laissée aux parents de se répartir à leur guise les seize mois, exception faite de 60 jours, réservés à chacun des parents.

Or, "on constate que c'est souvent l'homme qui transfère ses jours à la femme", avance la médiatrice pour l'Egalité des sexes, Anne-Marie Bergström.

Selon elle, cet état de fait est une "question de valeurs et de comportements". Elle note qu'un congé parental individualisé, sans possibilité de transfert des jours de congé, permettrait sans doute d'"aller un peu plus loin" dans l'égalité entre hommes et femmes.

Une solution qui n'a cependant pas les faveurs de la ministre.

"Certains préconisent de légiférer, d'autres d'instaurer des quotas (...) mais en tant que libérale, je souhaite que les parents aient la possibilité de choisir eux-mêmes la façon dont ils vont partager (le congé parental)", juge Mme Sabuni.

En toile de fond à la critique de la ministre pointe la crainte que l'Etat ne s'immisce dans la vie privée des familles.

Et Charlotte abonde en ce sens. "Je pense que chacun doit pouvoir décider seul", estime-t-elle.

~ une petite info santé!!!~

L’actualité Santé du 02/03/08 16h26


Pratis News (L’UNIVERS 100% MEDECIN + AFT)


Les dossiers médicaux personnels, nouvel enjeu pour Google et Microsoft Les deux rivaux américains Microsoft et Google déploient chacun un système pour que les particuliers gèrent et stockent leurs données médicales personnelles sur internet, un enjeu d'avenir qui peut leur ouvrir la porte de l'énorme marché de la santé.

Le groupe internet Google a présenté cette semaine son futur site Google Health, où "dans quelques mois" chacun pourra stocker et centraliser ses données médicales, qu'il aura -- en principe-- pu télécharger auprès de son docteur, son hôpital, son laboratoire d'analyses, son pharmacien, etc.

Encore conservés sous forme papier par l'immense majorité des patients et des médecins, les dossiers médicaux, une fois mis sous forme électronique et en ligne, seront le support idéal de publicités ciblées, mais pourront aussi susciter de nouvelles formes de politiques de santé et de prévention.

De quoi aiguiser l'appétit aussi de Microsoft, qui a lancé début octobre un projet similaire, baptisé HealthVault, ou de concurrents comme RevolutionHealth, lancé en 2007 par le fondateur d'AOL Steve Case.

La mise en place de ces dossiers numérisés intéresse aussi la France, où un projet similaire, mais piloté par le gouvernement, a pris du retard, devant les difficultés techniques. L'objectif est de créer un outil informatique centralisant toutes les informations médicales de chaque assuré social.

Les deux groupes privés américains proposent, eux, déjà des solutions pratiques, même s'il faudra du temps avant que les données soient effectivement disponibles sous forme numérique.

Google promet une palette de services personnalisées (renouvellement automatique d'ordonnances, rappel automatique de prise des médicaments, gestion des rendez-vous médicaux...). Chacun pourra contrôler son dossier, y accéder partout et gérer facilement le transfert de données entre services médicaux.

Google teste déjà son service avec la Cleveland Clinic, gros centre médical de Cleveland (nord), auprès de plusieurs milliers de patients. .

Microsoft propose une plate-forme plus large: un logiciel gratuit, HealthVault, qui se veut l'interface centrale entre particuliers et professionnels, ouvert aux programmeurs extérieurs.

Ce service réunit déjà une série d'applications de partenaires tiers, pour gérer son dossier médical mais aussi surveiller son poids, sa pression sanguine, son endurance, obtenir des conseils, etc.

Le leader mondial des logiciels a déjà réuni une centaine de partenaires -- associations professionnelles, entreprises, hôpitaux et fabricants de matériels, pour que les données soient directement transférées sur HealthVault.

Par exemple, un diabétique pourra transférer automatiquement son taux de glucose, que son médecin pourra consulter, plutôt que d'apporter des résultats sur papier et sur rendez-vous.

Les deux géants pourraient bien au final s'avérer complémentaire, note Andrew Rocklin, de Diamond Management & Technology Consultants: Google s'adresse aux particuliers alors que Microsoft veut d'abord aider les professionnels à mettre leurs données sous forme électronique.

Ce créneau est porteur: plus de la moitié des adultes américains cherchent régulièrement des informations de santé sur internet. Mais selon le New York Times, seuls 20% des patients américains ont des dossiers informatisés, détenus par des médecins ou des assureurs, difficiles à récupérer.

Autre souci, même si Google et Microsoft affirment qu'ils ne laisseront aucune tierce partie accéder aux données sans consentement explicite du patient, les associations de défense de la vie privée s'inquiètent déjà des risques des dossiers médicaux sur internet, comme le World Privacy Forum dans un rapport paru fin février.